Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati n'observe pas de répit en ces jours caniculaires et continue sa tournée à travers le pays. Revigoré par le score obtenu lors des législatives du 17 mai dernier, il multiple ses sorties pour galvaniser ses troupes en prévision des prochaines élections APC et APW qui se tiendront dans le courant du mois de novembre. Jeudi, il était à Constantine où il a animé un meeting, axé sur les échéances électorales à venir. Il avance certaines vérités toutes crues sur le paysage politique national. Le premier responsable du Front national algérien n'a pas manqué d'aborder dans son intervention la situation interne du pays qui vit une crise morale. Dans ce cadre, Moussa Touati souligne que son parti aspire à «un changement qui accorderait la primauté aux valeurs morales et civilisationnelles au peuple algérien, sur les richesses du sol et du sous-sol», précisant que le changement «ne peut être réalisé que par l'alternance au pouvoir qui viendrait par le bulletin de vote». Moussa Touati a appelé, dans ce contexte ses militants et son auditoire «à faire le bon choix et à bien user de ce bulletin lors des prochaines élections locales». Revenant sur le déroulement des élections législatives, Moussa Touati a dressé un véritable réquisitoire contre les conditions qui ont présidé aux dernières consultations électorales qui ont abouti à une faible participation populaire. De ce fait, il qualifie l'actuelle Assemblée populaire nationale (APN), dont sa formation politique fait partie, de «non-représentative et illégale». Le leader du FNA enfonce le clou en appelant tout simplement à la dissolution de la chambre basse du Parlement, mal élue. Sur les causes qui ont fait le lit de la désertion des bureaux de vote par les électeurs, le patron du FNA estime que le sondage que compte organiser le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales sur les raisons du fort taux d'abstention qui a caractérisé ces législatives, est une bonne chose et «est tout à fait légal», tout en appelant les sondés à y répondre «en toute franchise». Par ailleurs et sur un autre registre, Moussa Touati juge que l'Etat a été défaillant dans sa mission première et pérenne qui est la protection du pays et du citoyen, en rappelant le cas de la banque E-Khalifa où, a-t-il souligné, «les clients de la banque ont été lâchés». Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati n'observe pas de répit en ces jours caniculaires et continue sa tournée à travers le pays. Revigoré par le score obtenu lors des législatives du 17 mai dernier, il multiple ses sorties pour galvaniser ses troupes en prévision des prochaines élections APC et APW qui se tiendront dans le courant du mois de novembre. Jeudi, il était à Constantine où il a animé un meeting, axé sur les échéances électorales à venir. Il avance certaines vérités toutes crues sur le paysage politique national. Le premier responsable du Front national algérien n'a pas manqué d'aborder dans son intervention la situation interne du pays qui vit une crise morale. Dans ce cadre, Moussa Touati souligne que son parti aspire à «un changement qui accorderait la primauté aux valeurs morales et civilisationnelles au peuple algérien, sur les richesses du sol et du sous-sol», précisant que le changement «ne peut être réalisé que par l'alternance au pouvoir qui viendrait par le bulletin de vote». Moussa Touati a appelé, dans ce contexte ses militants et son auditoire «à faire le bon choix et à bien user de ce bulletin lors des prochaines élections locales». Revenant sur le déroulement des élections législatives, Moussa Touati a dressé un véritable réquisitoire contre les conditions qui ont présidé aux dernières consultations électorales qui ont abouti à une faible participation populaire. De ce fait, il qualifie l'actuelle Assemblée populaire nationale (APN), dont sa formation politique fait partie, de «non-représentative et illégale». Le leader du FNA enfonce le clou en appelant tout simplement à la dissolution de la chambre basse du Parlement, mal élue. Sur les causes qui ont fait le lit de la désertion des bureaux de vote par les électeurs, le patron du FNA estime que le sondage que compte organiser le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales sur les raisons du fort taux d'abstention qui a caractérisé ces législatives, est une bonne chose et «est tout à fait légal», tout en appelant les sondés à y répondre «en toute franchise». Par ailleurs et sur un autre registre, Moussa Touati juge que l'Etat a été défaillant dans sa mission première et pérenne qui est la protection du pays et du citoyen, en rappelant le cas de la banque E-Khalifa où, a-t-il souligné, «les clients de la banque ont été lâchés».