Il est quasiment impossible pour l'OPEP de relever sa production avant la réunion de ses pays membres prévue le 11 septembre prochain à Vienne. Il est quasiment impossible pour l'OPEP de relever sa production avant la réunion de ses pays membres prévue le 11 septembre prochain à Vienne. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) continue de recevoir des pressions des pays occidentaux afin de la contraindre à procéder à une éventuelle augmentation de son volume de production et ce, au moment où le prix du baril de pétrole a atteint son niveau historique. Mais, il est quasiment impossible pour l'OPEP de relever sa production avant la réunion de ses pays membres, prévue le 11 septembre prochain à Vienne. Les analystes estiment que la position intransigeante de l'OPEP concernant son refus de relever son niveau de production pourrait ébranler les habitudes de consommation d'énergie des pays occidentaux. Pour le moment, les pays producteurs n'ont donc pas l'intention de céder au chantage des pays consommateurs, attendant ainsi le moment propice pour doper les prix. Car une augmentation du niveau de la production, donc un changement radical dans le rapport de l'offre et de la demande pourrait se traduire par une chute des prix du baril. Par voie de conséquence, il y aura un énorme manque à gagner pour les pays de l'OPEP. En effet, les cours du baril du «light sweet crude» ont grimpé jusqu'à 78,77 dollars, mercredi dernier sur le marché pétrolier de New York, ces prix sont proches du seuil record de l'été 2006 où le baril était coté à 80 dollars. Les stocks américains du brut, qui ont eu un coup d'immersion durant cette semaine, sont à l'origine de cette hausse prévisible du baril de pétrole. Mais les grands départs en vacances de millions d'Américains sont également l'une des causes de l'augmentation des prix du baril. On assiste actuellement à une forte demande d'énergie notamment de la part des Etats-Unis d'Amérique où les raffineries de pétrole ont subi un dysfonctionnement suite au dérèglement des stocks de brut caractérisé par des diminutions inquiétantes. La situation est devenue critique dans ce pays ne badinant pas avec les réserves et les quantum de stockage. En effet, selon les Américains, l'augmentation de la demande est susceptible d'atteindre 2,8 millions de barils par jour lors des semaines prochaines. Les observateurs craignent, d'ores et déjà, une pénurie de pétrole si dans un proche avenir l'OPEP n'intervient pas pour rendre le marché pétrolier plus fluide et stable. L'Agence internationale de l'énergie, qui défend crânement les intérêts des pays consommateurs, tire la sonnette d'alarme et qualifie la situation présente de dangereuse pour la stabilité des approvisionnements énergétiques des pays riches. Face à cette fièvre dans la consommation de pétrole et des fluctuations au niveau des cours, l'OPEP veut se déculpabiliser et estime que les tensions géopolitiques et les crises sociales, ainsi que la spéculation et les difficultés de raffinage des complexes pétroliers américains, sont les principaux facteurs à l'origine de la hausse vertigineuse des prix du baril. Par voie de conséquence, cette organisation des pays exportateurs de pétrole affirme qu'une éventuelle augmentation du volume de production de ses pays membres n'aura aucun effet positif sur les réductions des prix du baril. Toutefois, selon le président de l'OPEP, Mohammed El-Hamedi, cette organisation pourrait réviser sa décision concernant l'augmentation du niveau de production lors de la prochaine réunion de Vienne, mais en tout cas, pas avant la fin de l'année en cours. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) continue de recevoir des pressions des pays occidentaux afin de la contraindre à procéder à une éventuelle augmentation de son volume de production et ce, au moment où le prix du baril de pétrole a atteint son niveau historique. Mais, il est quasiment impossible pour l'OPEP de relever sa production avant la réunion de ses pays membres, prévue le 11 septembre prochain à Vienne. Les analystes estiment que la position intransigeante de l'OPEP concernant son refus de relever son niveau de production pourrait ébranler les habitudes de consommation d'énergie des pays occidentaux. Pour le moment, les pays producteurs n'ont donc pas l'intention de céder au chantage des pays consommateurs, attendant ainsi le moment propice pour doper les prix. Car une augmentation du niveau de la production, donc un changement radical dans le rapport de l'offre et de la demande pourrait se traduire par une chute des prix du baril. Par voie de conséquence, il y aura un énorme manque à gagner pour les pays de l'OPEP. En effet, les cours du baril du «light sweet crude» ont grimpé jusqu'à 78,77 dollars, mercredi dernier sur le marché pétrolier de New York, ces prix sont proches du seuil record de l'été 2006 où le baril était coté à 80 dollars. Les stocks américains du brut, qui ont eu un coup d'immersion durant cette semaine, sont à l'origine de cette hausse prévisible du baril de pétrole. Mais les grands départs en vacances de millions d'Américains sont également l'une des causes de l'augmentation des prix du baril. On assiste actuellement à une forte demande d'énergie notamment de la part des Etats-Unis d'Amérique où les raffineries de pétrole ont subi un dysfonctionnement suite au dérèglement des stocks de brut caractérisé par des diminutions inquiétantes. La situation est devenue critique dans ce pays ne badinant pas avec les réserves et les quantum de stockage. En effet, selon les Américains, l'augmentation de la demande est susceptible d'atteindre 2,8 millions de barils par jour lors des semaines prochaines. Les observateurs craignent, d'ores et déjà, une pénurie de pétrole si dans un proche avenir l'OPEP n'intervient pas pour rendre le marché pétrolier plus fluide et stable. L'Agence internationale de l'énergie, qui défend crânement les intérêts des pays consommateurs, tire la sonnette d'alarme et qualifie la situation présente de dangereuse pour la stabilité des approvisionnements énergétiques des pays riches. Face à cette fièvre dans la consommation de pétrole et des fluctuations au niveau des cours, l'OPEP veut se déculpabiliser et estime que les tensions géopolitiques et les crises sociales, ainsi que la spéculation et les difficultés de raffinage des complexes pétroliers américains, sont les principaux facteurs à l'origine de la hausse vertigineuse des prix du baril. Par voie de conséquence, cette organisation des pays exportateurs de pétrole affirme qu'une éventuelle augmentation du volume de production de ses pays membres n'aura aucun effet positif sur les réductions des prix du baril. Toutefois, selon le président de l'OPEP, Mohammed El-Hamedi, cette organisation pourrait réviser sa décision concernant l'augmentation du niveau de production lors de la prochaine réunion de Vienne, mais en tout cas, pas avant la fin de l'année en cours.