Le bilan, tout aussi satisfaisant pour les services des douanes, laisse entrevoir en filigrane l'étendue des dégâts occasionnés par les pratiques illicites dans le secteur de l'import-export, au grand dam de l'économie nationale. Le bilan, tout aussi satisfaisant pour les services des douanes, laisse entrevoir en filigrane l'étendue des dégâts occasionnés par les pratiques illicites dans le secteur de l'import-export, au grand dam de l'économie nationale. Le flux des intervenants dans le circuit de l'import-export a enregistré, au cours de l'année dernière, 27.133 importateurs dont 93,25% relevant du secteur privé pour un volume global de 21,85 millions de tonnes de marchandises importées. La collaboration des partenaires dans le processus import-export est par ailleurs sérieusement souhaitée par la direction des Douanes qui, dans un souci de bonne maîtrise des données statistiques, envisage la réalisation de connexions avec les consignataires, les banques, les services des impôts, les ports ainsi qu'avec le Centre national du registre du commerce (CNRC) et les commissionnaires en douane. Le redéploiement de ces services devra avoir également un double impact, notamment sur la facilitation des procédures de dédouanement, ainsi que sur la généralisation de l'utilisation du SIGAD par les fonctionnaires des Douanes comme outil de gestion. Le bilan annuel des services des douanes fait ressortir deux types de performances, d'abord le recouvrement des recettes douanières pour l'exercice 2006 et dont le volume est de 284 milliards de DA, les deux tiers étant inscrits à l'actif des seules directions régionales d'Alger-Port et d'Alger-Extérieur. Quant à l'autre performance, elle se mesure en la capacité des services de M. A. Bouderbala à débusquer les sources de la fraude douanière pour laquelle il a été établi pas moins de 10.000 infractions. Le bilan, tout aussi satisfaisant pour les services des douanes, laisse entrevoir en filigrane l'étendue des dégâts occasionnés par les pratiques illicites dans le secteur de l'import-export et la facilité avec laquelle sont conclues les transactions douteuses, au grand dam de l'économie nationale. Sur les 10.840 infractions douanières enregistrées au courant de l'année dernière, 791 infractions ont concerné le produit de la contrebande, dont tous types de drogues introduits sur le marché national frauduleusement. Les services des douanes ont procédé durant cette période à la saisie de plus de deux tonnes de cannabis et 628 unités de substances psychotropes. Les contrebandiers semblent jeter leur dévolu sur les mêmes produits prohibés ainsi que les cigarettes, bétail, carburants et or. Le bilan des services des douanes fait ressortir des quantités énormes de ces produits dont la saisie de 515.861 cartouches de cigarettes, 970 têtes de bétail, 909.502 litres de carburant et 24 kg de matières aurifères. La valeur de ces infractions devra tout de même rapporter au Trésor public quelque 55 milliards de dinars. Le commerce extérieur en pleine évolution continue de poser des problèmes de gestion, notamment aux frontières où sévit la contrebande, faute de moyens conséquents de répression. La direction des Douanes envisage la révision de son système d'information et de gestion automatisée des Douanes (SIGAD). Ce matériel, vieux de plus de 10 ans, n'arrive plus à satisfaire les besoins des services des douanes en matière de gestion et de contrôle de la marchandise. Sa refonte, qui devra lui conférer une fiabilité jusqu'à 2010, entre dans un plan de modernisation généralisé du système d'informatisation et la réorganisation du Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) devant être conforté par la mise en place d'un réseau privé de transmission de données. Le flux des intervenants dans le circuit de l'import-export a enregistré, au cours de l'année dernière, 27.133 importateurs dont 93,25% relevant du secteur privé pour un volume global de 21,85 millions de tonnes de marchandises importées. La collaboration des partenaires dans le processus import-export est par ailleurs sérieusement souhaitée par la direction des Douanes qui, dans un souci de bonne maîtrise des données statistiques, envisage la réalisation de connexions avec les consignataires, les banques, les services des impôts, les ports ainsi qu'avec le Centre national du registre du commerce (CNRC) et les commissionnaires en douane. Le redéploiement de ces services devra avoir également un double impact, notamment sur la facilitation des procédures de dédouanement, ainsi que sur la généralisation de l'utilisation du SIGAD par les fonctionnaires des Douanes comme outil de gestion. Le bilan annuel des services des douanes fait ressortir deux types de performances, d'abord le recouvrement des recettes douanières pour l'exercice 2006 et dont le volume est de 284 milliards de DA, les deux tiers étant inscrits à l'actif des seules directions régionales d'Alger-Port et d'Alger-Extérieur. Quant à l'autre performance, elle se mesure en la capacité des services de M. A. Bouderbala à débusquer les sources de la fraude douanière pour laquelle il a été établi pas moins de 10.000 infractions. Le bilan, tout aussi satisfaisant pour les services des douanes, laisse entrevoir en filigrane l'étendue des dégâts occasionnés par les pratiques illicites dans le secteur de l'import-export et la facilité avec laquelle sont conclues les transactions douteuses, au grand dam de l'économie nationale. Sur les 10.840 infractions douanières enregistrées au courant de l'année dernière, 791 infractions ont concerné le produit de la contrebande, dont tous types de drogues introduits sur le marché national frauduleusement. Les services des douanes ont procédé durant cette période à la saisie de plus de deux tonnes de cannabis et 628 unités de substances psychotropes. Les contrebandiers semblent jeter leur dévolu sur les mêmes produits prohibés ainsi que les cigarettes, bétail, carburants et or. Le bilan des services des douanes fait ressortir des quantités énormes de ces produits dont la saisie de 515.861 cartouches de cigarettes, 970 têtes de bétail, 909.502 litres de carburant et 24 kg de matières aurifères. La valeur de ces infractions devra tout de même rapporter au Trésor public quelque 55 milliards de dinars. Le commerce extérieur en pleine évolution continue de poser des problèmes de gestion, notamment aux frontières où sévit la contrebande, faute de moyens conséquents de répression. La direction des Douanes envisage la révision de son système d'information et de gestion automatisée des Douanes (SIGAD). Ce matériel, vieux de plus de 10 ans, n'arrive plus à satisfaire les besoins des services des douanes en matière de gestion et de contrôle de la marchandise. Sa refonte, qui devra lui conférer une fiabilité jusqu'à 2010, entre dans un plan de modernisation généralisé du système d'informatisation et la réorganisation du Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) devant être conforté par la mise en place d'un réseau privé de transmission de données.