Un public connaisseur et amateur de l'art marocain a, deux heures durant, apprécié les tubes de la star marocaine lors de son passage sur l'esplanade du théâtre antique. Un public connaisseur et amateur de l'art marocain a, deux heures durant, apprécié les tubes de la star marocaine lors de son passage sur l'esplanade du théâtre antique. Une soirée entrant dans le cadre du programme organisé par l'ONCI qui a débuté le 19 juillet et qui s'étalera jusqu'au 31 août. A la faveur du doux climat de la soirée d'avant-hier, des centaines de familles se sont rendues au Casif pour assister au tour de chant d'une des plus célèbres figures artistiques marocaines, en l'occurrence Abdelhadi Belkhayat. Dès son apparition sur scène, ce dernier fut accueilli par des youyous et des applaudissements nourris de la part du public entassé sur la partie inférieure du théâtre. Attitude traduisant la satisfaction du public séduit par l'humilité de cet homme qui sut, durant son passage, entretenir une atmosphère bon enfant. Femmes, enfants, jeunes et moins jeunes, connaissant par cœur les paroles des chansons, accompagnaient le chantre marocain sous le regard d'une armada d'agents de sécurité et de gendarmes assurant la sécurité. Sur ce volet, la plupart des familles étaient soulagées de constater l'omniprésence des services de sécurité au sein du Casif de même qu'au sein du complexe touristique de Sidi-Fredj. «Quitar El Hayat» (le train de la vie), «Ya Bent Ennass» (fille de famille), «Enta Fin Ouana Fin» (où es-tu et où suis-je) et bien d'autres chansons très appréciées du public algérien ont été interprétées par Belkhayat accompagné par un orchestre dont la dextérité et la cohérence ont subjugué plus d'un. Sous le rythme infernal et ensorcelant des trois « drabki » (tambourin, toumba et batterie) composant la partie percussion, des dizaines de femmes et d'hommes se sont adonnées, sans retenue, à la danse. «Une bonne façon de nous défouler agréablement» dira une femme en sueur, accompagnée de ses deux filles et de son époux. Deux heures durant, c'était l'extase et l'euphorie pour une grande partie des familles pour qui «ces soirées constituent des moment de soulagement et de détente». «Malheureusement, les familles ne possédant pas de véhicule ne peuvent se rendre sur les lieux et sont obligées à suivre le récital à travers le petit écran», dira une dame quinquagénaire sur un ton de désolation mettant en évidence les carences en matière de transport mis à la disposition du grand public désirant se rendre d'Alger au complexe de Sidi-Fredj. Ce n'est que vers 00h45, soit 45 minutes après le temps de passage prévu que Belkhayat salua le public qui s'est agglutiné sous la scène soit pour lui serrer la main ou alors pour prendre des photos à l'aide de caméras et de portables. Pour sa part, le chanteur marocain, apparemment très touché par le chaleureux accueil et l'engouement dont a fait montre le public, ne manqua pas de féliciter l'assistance. Il est à souligner que les soirées artistiques organisées par l'ONCI au Casif sous le patronage du président de la République et entrant dans le cadre d'"Alger capitale de la culture arabe 2007", se tiendront jusqu'au 31 août, date de clôture du riche programme. Hier encore, le chanteur égyptien Ihab Toufik était à l'affiche à la grande satisfaction du public. Une soirée entrant dans le cadre du programme organisé par l'ONCI qui a débuté le 19 juillet et qui s'étalera jusqu'au 31 août. A la faveur du doux climat de la soirée d'avant-hier, des centaines de familles se sont rendues au Casif pour assister au tour de chant d'une des plus célèbres figures artistiques marocaines, en l'occurrence Abdelhadi Belkhayat. Dès son apparition sur scène, ce dernier fut accueilli par des youyous et des applaudissements nourris de la part du public entassé sur la partie inférieure du théâtre. Attitude traduisant la satisfaction du public séduit par l'humilité de cet homme qui sut, durant son passage, entretenir une atmosphère bon enfant. Femmes, enfants, jeunes et moins jeunes, connaissant par cœur les paroles des chansons, accompagnaient le chantre marocain sous le regard d'une armada d'agents de sécurité et de gendarmes assurant la sécurité. Sur ce volet, la plupart des familles étaient soulagées de constater l'omniprésence des services de sécurité au sein du Casif de même qu'au sein du complexe touristique de Sidi-Fredj. «Quitar El Hayat» (le train de la vie), «Ya Bent Ennass» (fille de famille), «Enta Fin Ouana Fin» (où es-tu et où suis-je) et bien d'autres chansons très appréciées du public algérien ont été interprétées par Belkhayat accompagné par un orchestre dont la dextérité et la cohérence ont subjugué plus d'un. Sous le rythme infernal et ensorcelant des trois « drabki » (tambourin, toumba et batterie) composant la partie percussion, des dizaines de femmes et d'hommes se sont adonnées, sans retenue, à la danse. «Une bonne façon de nous défouler agréablement» dira une femme en sueur, accompagnée de ses deux filles et de son époux. Deux heures durant, c'était l'extase et l'euphorie pour une grande partie des familles pour qui «ces soirées constituent des moment de soulagement et de détente». «Malheureusement, les familles ne possédant pas de véhicule ne peuvent se rendre sur les lieux et sont obligées à suivre le récital à travers le petit écran», dira une dame quinquagénaire sur un ton de désolation mettant en évidence les carences en matière de transport mis à la disposition du grand public désirant se rendre d'Alger au complexe de Sidi-Fredj. Ce n'est que vers 00h45, soit 45 minutes après le temps de passage prévu que Belkhayat salua le public qui s'est agglutiné sous la scène soit pour lui serrer la main ou alors pour prendre des photos à l'aide de caméras et de portables. Pour sa part, le chanteur marocain, apparemment très touché par le chaleureux accueil et l'engouement dont a fait montre le public, ne manqua pas de féliciter l'assistance. Il est à souligner que les soirées artistiques organisées par l'ONCI au Casif sous le patronage du président de la République et entrant dans le cadre d'"Alger capitale de la culture arabe 2007", se tiendront jusqu'au 31 août, date de clôture du riche programme. Hier encore, le chanteur égyptien Ihab Toufik était à l'affiche à la grande satisfaction du public.