La commission d'appel de la Fédération italienne de cyclisme (FIC) s'est déclarée incompétente hier pour se prononcer sur le cas du cycliste Alessandro Petacchi, contrôlé positif lors du dernier Tour d'Italie, suggérant de recourir au Tribunal arbitral du sport de Lausanne. Petacchi (Milram), 33 ans, contrôlé positif au salbutamol, avait été acquitté le 24 juillet dernier par la Fédération italienne de cyclisme qui avait estimé que le test positif était "la conséquence de l'inhalation d'un produit thérapeutique, des faits qui ne constituent pas une violation des règlements antidopage", le coureur étant asthmatique. Le Comité national olympique italien (Coni) ayant fait appel de cet acquittement, la cour d'appel fédérale de la FIC a de nouveau entendu le cycliste samedi matin. Le procureur antidopage du Coni avait en effet requis un an de suspension contre Petacchi, auquel il reprochait d'avoir violé l'article 2.1 du code mondial antidopage (présence d'une substance interdite ou de ses métabolites). Samedi, à l'issue de l'audition de Petacchi, la commission d'appel de la fédération a estimé qu'elle n'était pas compétente pour juger les cas de dopage, en appel, concernant les sportifs internationaux, jugeant que le Coni devait s'adresser pour sa requête au Tribunal arbitral du sport (TAS) de Lausanne, a rapporté l'agence Ansa. Le Coni, sitôt le rejet de la FIC connu, a indiqué qu'il irait "très certainement" au TAS, selon les propos du procureur antidopage Ettore Torri cité par l'Ansa. Pour sa défense, Petacchi avait argué que son contrôle positif n'était pas le fait du dopage mais résultait de l'utilisation d'un traitement, autorisé, contre l'asthme. Le salbutamol est un médicament autorisé sur prescription thérapeutique afin de soigner notamment l'asthme, sous réserve de respecter le mode d'utilisation réglementaire (inhalation) et le plafond autorisé. Au-delà d'un certain seuil, il est considéré comme ayant des effets anabolisants. La commission d'appel de la Fédération italienne de cyclisme (FIC) s'est déclarée incompétente hier pour se prononcer sur le cas du cycliste Alessandro Petacchi, contrôlé positif lors du dernier Tour d'Italie, suggérant de recourir au Tribunal arbitral du sport de Lausanne. Petacchi (Milram), 33 ans, contrôlé positif au salbutamol, avait été acquitté le 24 juillet dernier par la Fédération italienne de cyclisme qui avait estimé que le test positif était "la conséquence de l'inhalation d'un produit thérapeutique, des faits qui ne constituent pas une violation des règlements antidopage", le coureur étant asthmatique. Le Comité national olympique italien (Coni) ayant fait appel de cet acquittement, la cour d'appel fédérale de la FIC a de nouveau entendu le cycliste samedi matin. Le procureur antidopage du Coni avait en effet requis un an de suspension contre Petacchi, auquel il reprochait d'avoir violé l'article 2.1 du code mondial antidopage (présence d'une substance interdite ou de ses métabolites). Samedi, à l'issue de l'audition de Petacchi, la commission d'appel de la fédération a estimé qu'elle n'était pas compétente pour juger les cas de dopage, en appel, concernant les sportifs internationaux, jugeant que le Coni devait s'adresser pour sa requête au Tribunal arbitral du sport (TAS) de Lausanne, a rapporté l'agence Ansa. Le Coni, sitôt le rejet de la FIC connu, a indiqué qu'il irait "très certainement" au TAS, selon les propos du procureur antidopage Ettore Torri cité par l'Ansa. Pour sa défense, Petacchi avait argué que son contrôle positif n'était pas le fait du dopage mais résultait de l'utilisation d'un traitement, autorisé, contre l'asthme. Le salbutamol est un médicament autorisé sur prescription thérapeutique afin de soigner notamment l'asthme, sous réserve de respecter le mode d'utilisation réglementaire (inhalation) et le plafond autorisé. Au-delà d'un certain seuil, il est considéré comme ayant des effets anabolisants.