L'Algérie, l'Egypte, le Nigeria et l'Afrique du Sud, sont officiellement reconnus comme étant la locomotive du développement économique en Afrique, a indiqué hier un rapport de la Banque africaine développement (BAD). L'Algérie, l'Egypte, le Nigeria et l'Afrique du Sud, sont officiellement reconnus comme étant la locomotive du développement économique en Afrique, a indiqué hier un rapport de la Banque africaine développement (BAD). En effet, la croissance soutenue et les performances économiques de ces pays durant l'année précédente ont largement contribué à l'évolution du produit intérieur brut (PIB). Selon le rapport de la BAD, les progrès et la réussite de la politique économique et sociale prônée par ces pays émergents ont grandement contribué à l'augmentation substantielle du PIB qui était de l'ordre de 5 % depuis 2001, mais en 2006, il a atteint le taux de 5,5 %. Ce pourcentage est susceptible de connaître une hausse en 2007, selon les prévisions des analystes et experts de la BAD. Les investissements directs étrangers et la bonne gouvernance ont également été à l'origine du bon classement de ces pays parmi les quatre premiers en développement par la BAD. L'état des finances de ces pays est en pleine évolution ces dernières années, sachant que l'Algérie dépasse les 70 milliards de réserves de change depuis l'année 2006, et durant le premier semestre de l'année en cours, les hydrocarbures ont rapporté plus de 13 milliards de dollars. L'Afrique ambitionne d'atteindre un PIB variant entre 7 % et 8 % annuellement pour espérer concrétiser les projets et les objectifs de développement économique, social et humain du millénaire. Rappelons que l'Algérie a remboursé durant l'année 2006 12 crédits contractés auprès de la BAD. Par ailleurs, cette institution financière continentale a participé au développement de plusieurs projets du secteur privé algérien. Elle possède un capital de plus de 27.200 millions de dollars et contribue à la réalisation de certains projets de développement et de construction d'infrastructures en Algérie. Elle participe aussi au programme de soutien aux réformes économiques et sectorielles. Dans cet ordre d'idées, la BAD a accordé des prêts financiers et des lignes de crédits à des banques algériennes dont la BADR et le CPA pour rétrocession au secteur privé. A préciser que le montant minimal des projets retenus par la BAD est de l'ordre de 9 millions de dollars, puisque la BAD refuse le financement de petits projets. Il y a trois mois, la BAD a consenti une augmentation de 50 % en 2007 (par rapport à l'année 2006) pour le financement de plusieurs projets hydriques en Afrique. Un montrant global de 490 millions de dollars a été, en effet, consacré cette année à l'amélioration de l'alimentation des populations en eau potable et à l'assainissement des conduites d'eau. Il y a trois décennies, seulement 70 millions de dollars ont été investis dans le secteur de l'eau. La BAD est une banque multinationale de développement créée en 1964. Elle comprend 53 pays membres et elle est soutenue par 24 pays européens, sud et nord américains et asiatiques. Elle a pour mission de promouvoir le développement économique et le progrès social dans les pays africains. Le groupe de la Banque africaine de développement comprend aussi le Fonds africain pour le développement, créé en 1972, et le Nigeria Trust Fund (NTF), créé par le Nigeria en 1976. En effet, la croissance soutenue et les performances économiques de ces pays durant l'année précédente ont largement contribué à l'évolution du produit intérieur brut (PIB). Selon le rapport de la BAD, les progrès et la réussite de la politique économique et sociale prônée par ces pays émergents ont grandement contribué à l'augmentation substantielle du PIB qui était de l'ordre de 5 % depuis 2001, mais en 2006, il a atteint le taux de 5,5 %. Ce pourcentage est susceptible de connaître une hausse en 2007, selon les prévisions des analystes et experts de la BAD. Les investissements directs étrangers et la bonne gouvernance ont également été à l'origine du bon classement de ces pays parmi les quatre premiers en développement par la BAD. L'état des finances de ces pays est en pleine évolution ces dernières années, sachant que l'Algérie dépasse les 70 milliards de réserves de change depuis l'année 2006, et durant le premier semestre de l'année en cours, les hydrocarbures ont rapporté plus de 13 milliards de dollars. L'Afrique ambitionne d'atteindre un PIB variant entre 7 % et 8 % annuellement pour espérer concrétiser les projets et les objectifs de développement économique, social et humain du millénaire. Rappelons que l'Algérie a remboursé durant l'année 2006 12 crédits contractés auprès de la BAD. Par ailleurs, cette institution financière continentale a participé au développement de plusieurs projets du secteur privé algérien. Elle possède un capital de plus de 27.200 millions de dollars et contribue à la réalisation de certains projets de développement et de construction d'infrastructures en Algérie. Elle participe aussi au programme de soutien aux réformes économiques et sectorielles. Dans cet ordre d'idées, la BAD a accordé des prêts financiers et des lignes de crédits à des banques algériennes dont la BADR et le CPA pour rétrocession au secteur privé. A préciser que le montant minimal des projets retenus par la BAD est de l'ordre de 9 millions de dollars, puisque la BAD refuse le financement de petits projets. Il y a trois mois, la BAD a consenti une augmentation de 50 % en 2007 (par rapport à l'année 2006) pour le financement de plusieurs projets hydriques en Afrique. Un montrant global de 490 millions de dollars a été, en effet, consacré cette année à l'amélioration de l'alimentation des populations en eau potable et à l'assainissement des conduites d'eau. Il y a trois décennies, seulement 70 millions de dollars ont été investis dans le secteur de l'eau. La BAD est une banque multinationale de développement créée en 1964. Elle comprend 53 pays membres et elle est soutenue par 24 pays européens, sud et nord américains et asiatiques. Elle a pour mission de promouvoir le développement économique et le progrès social dans les pays africains. Le groupe de la Banque africaine de développement comprend aussi le Fonds africain pour le développement, créé en 1972, et le Nigeria Trust Fund (NTF), créé par le Nigeria en 1976.