C'est un spectacle de désolation et de chaos qu'offre le Pérou après le tremblement de terre qui l'a secoué mercredi soir, peu avant sept heures. C'est un spectacle de désolation et de chaos qu'offre le Pérou après le tremblement de terre qui l'a secoué mercredi soir, peu avant sept heures. Selon l'institut sismologique du Pérou, le violent séisme était d'une magnitude de 7,7 sur l'échelle de Richter. L'institut de géophysique américain USGS, qui observe les séismes dans le monde entier, a porté, pour sa part, à 8 la magnitude de ce tremblement de terre dont l'épicentre a été localisé en mer à 169 km au sud-ouest de la capitale Lima, à une profondeur de 47 km. Pas moins de 16.700 habitations ont été détruites, annonce une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara. C'est un spectacle de désolation et de chaos qu'offre le Pérou après le tremblement de terre qui l'a secoué mercredi soir, peu avant sept heures. Un séisme dont le bilan, annoncé par le commandant général des pompiers, Roberto Ognio pourrait s'alourdir d'avantage «en raison des problèmes de liaisons téléphoniques» avait précisé une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara, ajoutant que quelques 16.700 habitations avaient été détruites. Des dizaines de cadavres jonchant les rues, des maisons détruites, des hôpitaux débordés: un chaos total régnait jeudi à Pisco, sur la côte sud du Pérou, l'une des villes les plus touchées par le séisme. Pisco où le président péruvien Alan Garcia s'est rendu et deux villes voisines, Ica et Chincha, sont les villes qui ont enregistré le plus grand nombre de victimes. Le maire de Pisco, Juan Mendoza, a lancé jeudi un appel au secours au gouvernement. «Nous avons des centaines de morts gisant dans les rues, des blessés dans les hôpitaux. C'est totalement indescriptible», a-t-il déclaré, estimant que la ville était ravagée à 70%. «Nous n'avons pas d'eau, pas de communications, les maisons se sont effondrées, les églises sont détruites», a dit l'élu en larmes. Des marées provoquées par le séisme au large de la baie de Paracas ont partiellement inondé la région, provoquant des dégâts matériels selon des témoignages de pêcheurs diffusés par les radios locales. «C'était un petit tsunami», a indiqué le directeur de l'Institut géophysique du Pérou, Ronald Woodman, à la radio locale RPP. Une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara, a précisé que quelques 16.700 habitations avaient été détruites, notamment dans la capitale Lima, dans les villes côtières du sud du pays telles que Ica, Pisco et Chincha, qui sont parmi les plus affectées par le séisme, ainsi que dans la région andine de Huancavelica. Pour l'heure, les sauveteurs accentuent les recherches de survivants prisonniers des décombres tout en bravant les répliques du séisme de mercredi au Pérou, dont le bilan s'alourdit à mesure que des corps étaient extraits des décombres. Plus de 300 répliques ont été enregistrées depuis le tremblement de terre de mercredi soir, le plus dévastateur (sa magnitude a été de 7,7 sur l'échelle de Richter, de 8 sur l'échelle de magnitude du moment (Mw) qui mesure l'énergie dégagée par le séisme) en près de quarante ans dans ce pays andin. Des répliques qui minimisent les chances des personnes vivantes et ensevelies sous les décombres. Il est à signaler que le Pérou avait, en 1970, subit un des plus violents séismes qui avait tué 70.000 personnes dans la localité montagneuse de Huaraz. Selon l'institut sismologique du Pérou, le violent séisme était d'une magnitude de 7,7 sur l'échelle de Richter. L'institut de géophysique américain USGS, qui observe les séismes dans le monde entier, a porté, pour sa part, à 8 la magnitude de ce tremblement de terre dont l'épicentre a été localisé en mer à 169 km au sud-ouest de la capitale Lima, à une profondeur de 47 km. Pas moins de 16.700 habitations ont été détruites, annonce une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara. C'est un spectacle de désolation et de chaos qu'offre le Pérou après le tremblement de terre qui l'a secoué mercredi soir, peu avant sept heures. Un séisme dont le bilan, annoncé par le commandant général des pompiers, Roberto Ognio pourrait s'alourdir d'avantage «en raison des problèmes de liaisons téléphoniques» avait précisé une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara, ajoutant que quelques 16.700 habitations avaient été détruites. Des dizaines de cadavres jonchant les rues, des maisons détruites, des hôpitaux débordés: un chaos total régnait jeudi à Pisco, sur la côte sud du Pérou, l'une des villes les plus touchées par le séisme. Pisco où le président péruvien Alan Garcia s'est rendu et deux villes voisines, Ica et Chincha, sont les villes qui ont enregistré le plus grand nombre de victimes. Le maire de Pisco, Juan Mendoza, a lancé jeudi un appel au secours au gouvernement. «Nous avons des centaines de morts gisant dans les rues, des blessés dans les hôpitaux. C'est totalement indescriptible», a-t-il déclaré, estimant que la ville était ravagée à 70%. «Nous n'avons pas d'eau, pas de communications, les maisons se sont effondrées, les églises sont détruites», a dit l'élu en larmes. Des marées provoquées par le séisme au large de la baie de Paracas ont partiellement inondé la région, provoquant des dégâts matériels selon des témoignages de pêcheurs diffusés par les radios locales. «C'était un petit tsunami», a indiqué le directeur de l'Institut géophysique du Pérou, Ronald Woodman, à la radio locale RPP. Une responsable de l'Indeci, Rosario Guevara, a précisé que quelques 16.700 habitations avaient été détruites, notamment dans la capitale Lima, dans les villes côtières du sud du pays telles que Ica, Pisco et Chincha, qui sont parmi les plus affectées par le séisme, ainsi que dans la région andine de Huancavelica. Pour l'heure, les sauveteurs accentuent les recherches de survivants prisonniers des décombres tout en bravant les répliques du séisme de mercredi au Pérou, dont le bilan s'alourdit à mesure que des corps étaient extraits des décombres. Plus de 300 répliques ont été enregistrées depuis le tremblement de terre de mercredi soir, le plus dévastateur (sa magnitude a été de 7,7 sur l'échelle de Richter, de 8 sur l'échelle de magnitude du moment (Mw) qui mesure l'énergie dégagée par le séisme) en près de quarante ans dans ce pays andin. Des répliques qui minimisent les chances des personnes vivantes et ensevelies sous les décombres. Il est à signaler que le Pérou avait, en 1970, subit un des plus violents séismes qui avait tué 70.000 personnes dans la localité montagneuse de Huaraz.