Une élection en chasse une autre. Après les législatives du 17 mai dernier, une nouvelle échéance électorale se profile à l'horizon. Celle du renouvellement des composantes des exécutifs communaux et de wilayas. Plusieurs partis politiques se sont d'ores et déjà inscrits dans cette perspective qui approche à grands pas. Les préparatifs vont bon train pour le PT (Parti des travailleurs). «Nous avons pris option de participer à ces élections», nous confie Ramdane Tazibt, membre de la direction du Parti des travailleurs de Louisa Hanoune, qui qualifie ces joutes de «moment important». Le Parti des travailleurs a réussi la prouesse d'augmenter d'une manière substantielle le nombre de ses députés siégeant dans cette nouvelle législature, grâce au discours cohérent et aux positions constantes, notamment la défense du service public et des couches défavorisées, de ses dirigeants. «Les citoyens attendent beaucoup de nous» avoue notre interlocuteur qui souligne que «c'est à la commune, cellule de base, que les citoyens expriment leurs préoccupations, que ce soit pour l'éducation, l'hygiène, les routes et même l'emploi». Pour Ramdane Tazibt «la situation est difficile» du fait que plus de 1.300 communes sont déficitaires et de ce fait «elles ne peuvent s'en tirer toutes seules, le concours des pouvoirs publics est indispensable dans une république d'égalité». Toujours est-il que pour le responsable du PT, «les assemblées locales doivent reprendre leur place pour agir dans l'intérêt des citoyens». Sans moyens humains et matériels, « nos militants ont été instruits de ne pas faire de promesses aux citoyens, mais de tenir des engagements» dit-il, tout en affirmant que «les militants du parti sont prêts à aider dans l'intérêt de la localité ou au niveau national». Pour ce faire, selon lui, «l'Etat doit doter les assemblées locales de moyens et de budgets conséquents» pour faire face aux besoins grandissants des citoyens. «L'élu doit également jouir de larges prérogatives» plaide-t-il en confessant qu' «on entend parler d'amendements, depuis 27 mois, du code communal et de wilaya sans qu'il ait d'actes concrets à ce jour». Pour en revenir aux élections municipales, le Parti des travailleurs a balisé le terrain pour les postulants aux postes de responsabilité au sein des exécutifs locaux. « Ils doivent être militants du parti depuis au moins 5 mois, avoir une pratique politique avérée et respecter les idéaux du parti (...) Le niveau scolaire n'est pas déterminant, mais il s'insère dans un ensemble de critères qui déterminent le choix des candidats». Le Parti des travailleurs sera présent dans l'ensemble des 48 wilayas pour les assemblées de wilaya et dans un maximum de communes pour les municipales, fera-t-il savoir, soulignant que le parti «participera avec ses propres forces (...) Nous ne serons pas présent là où nous ne sommes pas bien représentés», déclare-t-il. Une élection en chasse une autre. Après les législatives du 17 mai dernier, une nouvelle échéance électorale se profile à l'horizon. Celle du renouvellement des composantes des exécutifs communaux et de wilayas. Plusieurs partis politiques se sont d'ores et déjà inscrits dans cette perspective qui approche à grands pas. Les préparatifs vont bon train pour le PT (Parti des travailleurs). «Nous avons pris option de participer à ces élections», nous confie Ramdane Tazibt, membre de la direction du Parti des travailleurs de Louisa Hanoune, qui qualifie ces joutes de «moment important». Le Parti des travailleurs a réussi la prouesse d'augmenter d'une manière substantielle le nombre de ses députés siégeant dans cette nouvelle législature, grâce au discours cohérent et aux positions constantes, notamment la défense du service public et des couches défavorisées, de ses dirigeants. «Les citoyens attendent beaucoup de nous» avoue notre interlocuteur qui souligne que «c'est à la commune, cellule de base, que les citoyens expriment leurs préoccupations, que ce soit pour l'éducation, l'hygiène, les routes et même l'emploi». Pour Ramdane Tazibt «la situation est difficile» du fait que plus de 1.300 communes sont déficitaires et de ce fait «elles ne peuvent s'en tirer toutes seules, le concours des pouvoirs publics est indispensable dans une république d'égalité». Toujours est-il que pour le responsable du PT, «les assemblées locales doivent reprendre leur place pour agir dans l'intérêt des citoyens». Sans moyens humains et matériels, « nos militants ont été instruits de ne pas faire de promesses aux citoyens, mais de tenir des engagements» dit-il, tout en affirmant que «les militants du parti sont prêts à aider dans l'intérêt de la localité ou au niveau national». Pour ce faire, selon lui, «l'Etat doit doter les assemblées locales de moyens et de budgets conséquents» pour faire face aux besoins grandissants des citoyens. «L'élu doit également jouir de larges prérogatives» plaide-t-il en confessant qu' «on entend parler d'amendements, depuis 27 mois, du code communal et de wilaya sans qu'il ait d'actes concrets à ce jour». Pour en revenir aux élections municipales, le Parti des travailleurs a balisé le terrain pour les postulants aux postes de responsabilité au sein des exécutifs locaux. « Ils doivent être militants du parti depuis au moins 5 mois, avoir une pratique politique avérée et respecter les idéaux du parti (...) Le niveau scolaire n'est pas déterminant, mais il s'insère dans un ensemble de critères qui déterminent le choix des candidats». Le Parti des travailleurs sera présent dans l'ensemble des 48 wilayas pour les assemblées de wilaya et dans un maximum de communes pour les municipales, fera-t-il savoir, soulignant que le parti «participera avec ses propres forces (...) Nous ne serons pas présent là où nous ne sommes pas bien représentés», déclare-t-il.