Au sixième jour du Ramadhan, ces familles dépourvues de ressources observent un sit-in devant les caméras de surveillance de l'APC et sous le regard des policiers et agents de sécurité. Au sixième jour du Ramadhan, ces familles dépourvues de ressources observent un sit-in devant les caméras de surveillance de l'APC et sous le regard des policiers et agents de sécurité. Depuis le premier jour du Ramadhan et après la première distribution de couffins dont le prix n'excède pas 2.200 DA, un nombre important de familles se sentant lésées se sont regroupées devant le siège de l'APC pour réclamer leurs couffins. Déjà, le sixième jour de Ramadhan est là et les pauvres familles nécessiteuses de Zeralda n'ont pas encore obtenu leurs couffins. Elles ne trouvent aucun vis-à-vis pour exposer leur problème. Désespérées, elles apostrophent les agents de la commune espérant une intervention de quelque nature que ce soit. Au sixième jour du Ramadhan, ces familles dépourvues de ressources dont la plupart ont été recensées en tant que tels par les services de la commune, observent un sit-in devant les caméras de l'APC et sous le regard des policiers et agents de sécurité. Ces derniers gardent les yeux grands ouverts car la protestation pourrait déraper. Les familles ne se lassent pas et exigent de l'équité de la part de leurs administrateurs. «Je ne comprends pas comment je suis recensé par les services de l'APC lesquels me refusent le couffin qui me revient de droit» s'étonne une mère de famille tenant sa fille. Les familles se groupent, se dispersent, se regroupent mais ne perdent pas espoir d'acquérir leurs couffins. Une femme d'un certain âge nous apostrophe avec véhémence pour nous exprimer ses doléances. Elle se dit avoir été «privée de son couffin en dépit du fait qu'elle figure sur la fiche de recensement établie par les services de l'APC». D'autres personnes se rallient à elle et très vite, nous sommes assaillis par les réclamations. «Je ne comprends pas comment des tickets qui nous sont destinés sont revendus sans que cela fasse réagir quiconque ?» s'interroge une vielle mère de famille. Grave accusation que beaucoup d'autres personnes confirmeront par la suite. Les réclamations et dénonciations tombent en cascade. Le président de l'APC que nous avons rencontré dans son bureau s'est dit affligé par le spectacle de ces familles qu'il regarde dans un écran de télésurveillance. A demi-mot, il reconnaît «que l'opération de distribution a enregistré quelques insuffisances et par conséquent, des victimes». Tout en nous exposant la situation de son APC et déplorant l'absence de soutien de la part de mécénes, il nous rassure sur le devenir de ces familles en affirmant qu'elles seront prises en charge. «Jeudi sera le deuxième jour de distribution des couffins et toutes les familles recensées seront destinataires de couffins» dira-t-il en précisant que le financement de cette opération est prise en charge à partir du budget de la commune et que 2.400 couffins ont déjà été remis à leurs propriétaires. Depuis le premier jour du Ramadhan et après la première distribution de couffins dont le prix n'excède pas 2.200 DA, un nombre important de familles se sentant lésées se sont regroupées devant le siège de l'APC pour réclamer leurs couffins. Déjà, le sixième jour de Ramadhan est là et les pauvres familles nécessiteuses de Zeralda n'ont pas encore obtenu leurs couffins. Elles ne trouvent aucun vis-à-vis pour exposer leur problème. Désespérées, elles apostrophent les agents de la commune espérant une intervention de quelque nature que ce soit. Au sixième jour du Ramadhan, ces familles dépourvues de ressources dont la plupart ont été recensées en tant que tels par les services de la commune, observent un sit-in devant les caméras de l'APC et sous le regard des policiers et agents de sécurité. Ces derniers gardent les yeux grands ouverts car la protestation pourrait déraper. Les familles ne se lassent pas et exigent de l'équité de la part de leurs administrateurs. «Je ne comprends pas comment je suis recensé par les services de l'APC lesquels me refusent le couffin qui me revient de droit» s'étonne une mère de famille tenant sa fille. Les familles se groupent, se dispersent, se regroupent mais ne perdent pas espoir d'acquérir leurs couffins. Une femme d'un certain âge nous apostrophe avec véhémence pour nous exprimer ses doléances. Elle se dit avoir été «privée de son couffin en dépit du fait qu'elle figure sur la fiche de recensement établie par les services de l'APC». D'autres personnes se rallient à elle et très vite, nous sommes assaillis par les réclamations. «Je ne comprends pas comment des tickets qui nous sont destinés sont revendus sans que cela fasse réagir quiconque ?» s'interroge une vielle mère de famille. Grave accusation que beaucoup d'autres personnes confirmeront par la suite. Les réclamations et dénonciations tombent en cascade. Le président de l'APC que nous avons rencontré dans son bureau s'est dit affligé par le spectacle de ces familles qu'il regarde dans un écran de télésurveillance. A demi-mot, il reconnaît «que l'opération de distribution a enregistré quelques insuffisances et par conséquent, des victimes». Tout en nous exposant la situation de son APC et déplorant l'absence de soutien de la part de mécénes, il nous rassure sur le devenir de ces familles en affirmant qu'elles seront prises en charge. «Jeudi sera le deuxième jour de distribution des couffins et toutes les familles recensées seront destinataires de couffins» dira-t-il en précisant que le financement de cette opération est prise en charge à partir du budget de la commune et que 2.400 couffins ont déjà été remis à leurs propriétaires.