Lancés voilà maintenant six ans, les logements de type location-vente AADL présentent déjà des carences liées notamment à la gestion immobilière. Lancés voilà maintenant six ans, les logements de type location-vente AADL présentent déjà des carences liées notamment à la gestion immobilière. C'est dans le but de se pencher sur la problématique de la gestion immobilière des sites AADL qu'ont été organisés, hier, au siège de la direction générale de l'AADL des ateliers de réflexion consacrés aux problèmes de gestion rencontrés sur le terrain, les réformes à prévoir et les ressources à mobiliser. La cérémonie d'ouverture de ces ateliers a été présidée par le ministre de l'Habitat et du Logement, Noureddine Moussa. Lancés voilà maintenant six ans, les logements type location-vente AADL présentent déjà des carences liées notamment à la gestion immobilière. En effet, que de fois des propriétaires ont eu à relever certaines insuffisances inhérentes à la gestion des parties communes. Même s'il elle s'est avérée elle-même insuffisante, l'expérience des OPGI servira de point de départ pour opérer une amélioration des services, nous apprend M. le ministre. Ces ateliers qui regrouperont les promoteurs des cités AADL, les gestionnaires OPGI et EPLF, professionnels et experts de la gestion immobilière ainsi que des associations de propriétaires AADL, auront à susciter un débat à même d'aboutir à une gestion optimale des cités AADL. Le ministre de l'Habitat et du Logement, Nourredine Moussa, nous indique que ces ateliers serviront de plateforme de propositions en vue de faire évoluer les insuffisances constatées sur le terrain. ainsi, la maitrise d'ouvrage améliorée en aval reste le problème de la gestion des cités en amont qui, faut-il le rappeler, à fait défaut jusque-là : «La problématique de la gestion immobilière est réelle, il ne suffit plus de construire des bâtiments, encore faut-il mettre en place un dispositif adéquat devant les gérer correctement», affirme Nourredine Moussa. Dans un premier temps, et comme point de départ à ces ateliers, la réglementation doit changer passant de la gestion des copropriétés par les promoteurs à des administrateurs de biens, il s'agit, dès lors, d'une nouvelle fonction, précise le ministre. Toutefois, il impute l'état de dégradation à l'inexistence de syndic de propriétaires s'organisant comme étant le premier responsable de la gestion immobilière de proximité. A cet égard, le ministre de l'Habitat et du Logement avance que «face au manque d'organisation des syndics, l'administration doit se substituer aux syndics au départ, en créant des mécanismes leur permettant de prendre le relais par la suite, c'est de cette manière qu'ont évolué les autres pays à savoir une démarche vers la mise en place de véritables syndics de propriétaires capables de prendre en charge leurs cités», assure le ministre. D'autre part, le manque de ressources se dresse comme un obstacle à la gestion immobilière des sites AADL. Les promoteurs de ce type de logements mettent en cause le montant des charges mensuelles en deçà des besoins réels de la gestion immobilière au quotidien à savoir l'entretien des ascenseurs, des bâches à eau, la conciergerie, le gardiennage et la sécurité, la sous-traitance des travaux, le nettoiement et l'assainissement VRD ( voierie, réseaux divers) etc. Donc, selon les promoteurs, les ressources financières consacrées à la gestion immobilière s'avèrent limitées bien qu'une étude préalable a situé le montant des charges à 2.267 DA pour un F3 et 2.753 DA pour un F4, nous indique-t-on. Toujours selon les promoteurs présents à ces ateliers, une bonne prise en charge des espaces communs passe inévitablement par la réévaluation des charges mensuelles. En outre, en guise de proposition, les promoteurs suggèrent également l'externalisation des prestations de services en les confiant, par conventionnement à des entreprises jugées sur leurs aptitudes à gérer ce genre de sites, la filialisation de la gestion immobilière, l'encouragement et l'implication des associations de propriétaires ou de locataires jouant leur rôle de médiateur à même de limiter les effets de l'incivisme. Notons que ces ateliers seront sanctionnés par une séance plénière prévue le 29 octobre prochain consacrée à un bilan global de ces ateliers qui s'étaleront durant cinq lundis de suite. C'est dans le but de se pencher sur la problématique de la gestion immobilière des sites AADL qu'ont été organisés, hier, au siège de la direction générale de l'AADL des ateliers de réflexion consacrés aux problèmes de gestion rencontrés sur le terrain, les réformes à prévoir et les ressources à mobiliser. La cérémonie d'ouverture de ces ateliers a été présidée par le ministre de l'Habitat et du Logement, Noureddine Moussa. Lancés voilà maintenant six ans, les logements type location-vente AADL présentent déjà des carences liées notamment à la gestion immobilière. En effet, que de fois des propriétaires ont eu à relever certaines insuffisances inhérentes à la gestion des parties communes. Même s'il elle s'est avérée elle-même insuffisante, l'expérience des OPGI servira de point de départ pour opérer une amélioration des services, nous apprend M. le ministre. Ces ateliers qui regrouperont les promoteurs des cités AADL, les gestionnaires OPGI et EPLF, professionnels et experts de la gestion immobilière ainsi que des associations de propriétaires AADL, auront à susciter un débat à même d'aboutir à une gestion optimale des cités AADL. Le ministre de l'Habitat et du Logement, Nourredine Moussa, nous indique que ces ateliers serviront de plateforme de propositions en vue de faire évoluer les insuffisances constatées sur le terrain. ainsi, la maitrise d'ouvrage améliorée en aval reste le problème de la gestion des cités en amont qui, faut-il le rappeler, à fait défaut jusque-là : «La problématique de la gestion immobilière est réelle, il ne suffit plus de construire des bâtiments, encore faut-il mettre en place un dispositif adéquat devant les gérer correctement», affirme Nourredine Moussa. Dans un premier temps, et comme point de départ à ces ateliers, la réglementation doit changer passant de la gestion des copropriétés par les promoteurs à des administrateurs de biens, il s'agit, dès lors, d'une nouvelle fonction, précise le ministre. Toutefois, il impute l'état de dégradation à l'inexistence de syndic de propriétaires s'organisant comme étant le premier responsable de la gestion immobilière de proximité. A cet égard, le ministre de l'Habitat et du Logement avance que «face au manque d'organisation des syndics, l'administration doit se substituer aux syndics au départ, en créant des mécanismes leur permettant de prendre le relais par la suite, c'est de cette manière qu'ont évolué les autres pays à savoir une démarche vers la mise en place de véritables syndics de propriétaires capables de prendre en charge leurs cités», assure le ministre. D'autre part, le manque de ressources se dresse comme un obstacle à la gestion immobilière des sites AADL. Les promoteurs de ce type de logements mettent en cause le montant des charges mensuelles en deçà des besoins réels de la gestion immobilière au quotidien à savoir l'entretien des ascenseurs, des bâches à eau, la conciergerie, le gardiennage et la sécurité, la sous-traitance des travaux, le nettoiement et l'assainissement VRD ( voierie, réseaux divers) etc. Donc, selon les promoteurs, les ressources financières consacrées à la gestion immobilière s'avèrent limitées bien qu'une étude préalable a situé le montant des charges à 2.267 DA pour un F3 et 2.753 DA pour un F4, nous indique-t-on. Toujours selon les promoteurs présents à ces ateliers, une bonne prise en charge des espaces communs passe inévitablement par la réévaluation des charges mensuelles. En outre, en guise de proposition, les promoteurs suggèrent également l'externalisation des prestations de services en les confiant, par conventionnement à des entreprises jugées sur leurs aptitudes à gérer ce genre de sites, la filialisation de la gestion immobilière, l'encouragement et l'implication des associations de propriétaires ou de locataires jouant leur rôle de médiateur à même de limiter les effets de l'incivisme. Notons que ces ateliers seront sanctionnés par une séance plénière prévue le 29 octobre prochain consacrée à un bilan global de ces ateliers qui s'étaleront durant cinq lundis de suite.