La Banque Extérieure d'Algérie (BEA) a procédé récemment à l'augmentation du capital de l'Arab Bank for Investment and Foreign Trade (ARBIFT), une de ses filiales à Abou Dhabi aux Emirats Arabes Unis (EAU), nous indique-t-on. Selon les responsables de la BEA, cette procédure d'augmentation de capital avait reçu au préalable l'approbation du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) en juillet dernier. Outre la BEA, les autres actionnaires de cette filiale bancaire (banques émiraties et une banque libyenne) ont également procédé à la même opération, à savoir l'augmentation de capital, précise la même source. La raison essentielle qui motive les actionnaires est de propulser la banque du 15ème rang au peloton des cinq premières banques activant aux Emirats arabes unis, une motivation qui lui donne toute latitude à intensifier les investissements sur les marchés. Aussi, cette progression dans le classement des banques, du point de vue du capital, lui permet d'être en phase avec les exigences de « Bâle 2 » en termes de fonds propres, nous explique-t-on. Il sied de noter que « Bâle 2 » est un outil de réglementation bancaire prudentielle élaboré par le Comité de Bâle lié à la Banque des Règlements Internationaux (BRI). Il y a lieu de rappeler que l'ARBIFT a été créé en 1974 par la Libyan Foreign Bank, une banque des Emirats arabes unis et la BEA. Elle compte un réseau d'agences assez développé dans tous les Emirats, notamment Abu Dhabi, Dubaï et El Aïn. Présente depuis plus de trente ans, l'ARBIFT, appelée également Banque Al Masraf, est très active au niveau international en favorisant, par ailleurs, l'immobilier comme secteur privilégié. Pour sa part, la banque publique BEA au capital social de 24 milliards de DA est en plein renouveau. En cela, une vaste opération de modernisation des installations a été engagée ainsi qu'un développement du réseau d'agences. Il faut savoir que la BEA a réalisé un bond spectaculaire en termes de revenus en doublant son bénéfice net en seulement 2 ans passant de 1,24 milliard, de DA en 2005 à 2,5 milliards, soit 34 millions de dollars en 2006. Cela étant, 2006 représente une année charnière pour la Banque extérieure d'Algérie (BEA) puisqu'elle a procédé en cette même année et pour la première fois à la certification de ses comptes par un cabinet international d'expertise. Créée en 1967, la Banque extérieure d'Algérie finance essentiellement les entreprises énergétiques et industrielles avec une part de 60 % des investissements destinés au secteur des hydrocarbures. La Banque Extérieure d'Algérie (BEA) a procédé récemment à l'augmentation du capital de l'Arab Bank for Investment and Foreign Trade (ARBIFT), une de ses filiales à Abou Dhabi aux Emirats Arabes Unis (EAU), nous indique-t-on. Selon les responsables de la BEA, cette procédure d'augmentation de capital avait reçu au préalable l'approbation du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) en juillet dernier. Outre la BEA, les autres actionnaires de cette filiale bancaire (banques émiraties et une banque libyenne) ont également procédé à la même opération, à savoir l'augmentation de capital, précise la même source. La raison essentielle qui motive les actionnaires est de propulser la banque du 15ème rang au peloton des cinq premières banques activant aux Emirats arabes unis, une motivation qui lui donne toute latitude à intensifier les investissements sur les marchés. Aussi, cette progression dans le classement des banques, du point de vue du capital, lui permet d'être en phase avec les exigences de « Bâle 2 » en termes de fonds propres, nous explique-t-on. Il sied de noter que « Bâle 2 » est un outil de réglementation bancaire prudentielle élaboré par le Comité de Bâle lié à la Banque des Règlements Internationaux (BRI). Il y a lieu de rappeler que l'ARBIFT a été créé en 1974 par la Libyan Foreign Bank, une banque des Emirats arabes unis et la BEA. Elle compte un réseau d'agences assez développé dans tous les Emirats, notamment Abu Dhabi, Dubaï et El Aïn. Présente depuis plus de trente ans, l'ARBIFT, appelée également Banque Al Masraf, est très active au niveau international en favorisant, par ailleurs, l'immobilier comme secteur privilégié. Pour sa part, la banque publique BEA au capital social de 24 milliards de DA est en plein renouveau. En cela, une vaste opération de modernisation des installations a été engagée ainsi qu'un développement du réseau d'agences. Il faut savoir que la BEA a réalisé un bond spectaculaire en termes de revenus en doublant son bénéfice net en seulement 2 ans passant de 1,24 milliard, de DA en 2005 à 2,5 milliards, soit 34 millions de dollars en 2006. Cela étant, 2006 représente une année charnière pour la Banque extérieure d'Algérie (BEA) puisqu'elle a procédé en cette même année et pour la première fois à la certification de ses comptes par un cabinet international d'expertise. Créée en 1967, la Banque extérieure d'Algérie finance essentiellement les entreprises énergétiques et industrielles avec une part de 60 % des investissements destinés au secteur des hydrocarbures.