Le secrétaire général de la Confédération africaine de basket-ball (FIBA-Afrique), l'Ivoirien Alphonse Bilé estime que les fédérations africaines de basket-ball doivent faire de ?gros efforts dans le domaine de la formation des cadres techniques», rapporte mardi l'agence de presse africaine APA. « Il va falloir, à l'avenir, beaucoup insister auprès des fédérations sur la formation de hauts cadres techniques», a-t-il indiqué à Dakar, en marge du 20èmes Championnats d'Afrique de basket-ball féminin qui a pris fin dimanche. Il a également ajouté que la FIBA-Afrique va faire des efforts pour que les fédérations en font une priorité pour offrir une bonne formation à nos jeunes avec un peu plus de temps et de moyens. Parlant des grands chantiers de sa structure, le secrétaire général de l'instance de gestion du basket-ball continental précise que « la FIBA-Afrique a changé de cap depuis cinq et nous essayons de promouvoir une nouvelle logique de compétition au niveau des cadres techniques, des infrastructures et de la qualité de nos compétitions». Le secrétaire général de la Confédération africaine de basket-ball (FIBA-Afrique), l'Ivoirien Alphonse Bilé estime que les fédérations africaines de basket-ball doivent faire de ?gros efforts dans le domaine de la formation des cadres techniques», rapporte mardi l'agence de presse africaine APA. « Il va falloir, à l'avenir, beaucoup insister auprès des fédérations sur la formation de hauts cadres techniques», a-t-il indiqué à Dakar, en marge du 20èmes Championnats d'Afrique de basket-ball féminin qui a pris fin dimanche. Il a également ajouté que la FIBA-Afrique va faire des efforts pour que les fédérations en font une priorité pour offrir une bonne formation à nos jeunes avec un peu plus de temps et de moyens. Parlant des grands chantiers de sa structure, le secrétaire général de l'instance de gestion du basket-ball continental précise que « la FIBA-Afrique a changé de cap depuis cinq et nous essayons de promouvoir une nouvelle logique de compétition au niveau des cadres techniques, des infrastructures et de la qualité de nos compétitions».