La tension entre la Turquie et l'Irak, provoquée par la recrudescence des attaques des séparatistes kurdes en Turquie, embarrasse les Etats-Unis qui tentent vainement depuis des mois d'encourager la coopération entre deux de leurs alliés les plus importants dans la région. M. McCormack, porte-parole américain, avait condamné lundi dans un communiqué les deux récentes attaques menées par le PKK. "La violence du PKK ne menace pas seulement la Turquie, mais sape aussi la sécurité et le bien-être de l'Irak", précisait-il. Les Etats-Unis qui, comme l'Union Européenne et la Turquie, considèrent le PKK comme une organisation terroriste, tentent depuis des mois de faciliter une meilleure coopération entre les gouvernements turc et irakien. Fin septembre, les gouvernements turc et irakien ont signé à Ankara un accord de coopération pour lutter contre le PKK mais il ne permet pas aux troupes turques de poursuivre les rebelles en fuite en territoire irakien, comme ce fut le cas dans les années 1990. La tension entre la Turquie et l'Irak, provoquée par la recrudescence des attaques des séparatistes kurdes en Turquie, embarrasse les Etats-Unis qui tentent vainement depuis des mois d'encourager la coopération entre deux de leurs alliés les plus importants dans la région. M. McCormack, porte-parole américain, avait condamné lundi dans un communiqué les deux récentes attaques menées par le PKK. "La violence du PKK ne menace pas seulement la Turquie, mais sape aussi la sécurité et le bien-être de l'Irak", précisait-il. Les Etats-Unis qui, comme l'Union Européenne et la Turquie, considèrent le PKK comme une organisation terroriste, tentent depuis des mois de faciliter une meilleure coopération entre les gouvernements turc et irakien. Fin septembre, les gouvernements turc et irakien ont signé à Ankara un accord de coopération pour lutter contre le PKK mais il ne permet pas aux troupes turques de poursuivre les rebelles en fuite en territoire irakien, comme ce fut le cas dans les années 1990.