Juan Clos, le ministre espagnol de l'Industrie, du Tourisme et du Commerce, s'est montré hier optimiste sur l'issue du conflit opposant Sonatrach à Repsol et Gas Natural dans le dossier Gassi Touil. En effet, auditionné hier matin par le Sénat à Madrid, Joan Clos, a évoqué « des perspectives favorables » pour le règlement de ce différend qui a éclaté début septembre. Ainsi, devant les sénateurs espagnols, M. Clos a rappelé que le conflit est purement commercial et ne concerne que les trois entreprises impliquées dans le projet Gassi Touil : Sonatrach, Repsol et Gas Natural. Il a souligné que la relation algéro-espagnole est « importante » et ne se limite pas seulement à la question de l'énergie. Dans ce contexte, a-t-il assuré, un règlement du conflit Gassi Touil est dans l'intérêt des deux pays qui souhaitent préserver leur relation. Mais la situation, a-t-il souligné, demande beaucoup de « sagesse » et d'intelligence pour arriver à un accord. Cependant, Joan Clos n'a fourni aucune indication sur les discussions qui seraient en cours entre les gouvernements algérien et espagnol en vue d'aboutir à une solution du conflit. De même qu'il n'a pas évoqué les difficultés d'un autre groupe espagnol, OHL, dans le secteur du BTP en Algérie. Pour rappel, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil a déclaré, à la fin du mois de septembre dernier, que Sonatrach a introduit une procédure d'arbitrage international à l'encontre de ses anciens partenaires espagnols, en indiquant qu'elle leur réclamait des "réparations substantielles". Néanmoins, il faut rappeler aussi que Chakib Khelil a fait part de sa volonté de trouver un arrangement à l'amiable durant cette période d'arbitrage international qui prendra, selon les observateurs, un à deux ans. "Si cette solution à l'amiable intervient avant que la décision de l'arbitrage ne tombe, tant mieux, sinon, c'est à celui-ci de trancher", a indiqué par ailleurs M. Khelil sur ce sujet. Juan Clos, le ministre espagnol de l'Industrie, du Tourisme et du Commerce, s'est montré hier optimiste sur l'issue du conflit opposant Sonatrach à Repsol et Gas Natural dans le dossier Gassi Touil. En effet, auditionné hier matin par le Sénat à Madrid, Joan Clos, a évoqué « des perspectives favorables » pour le règlement de ce différend qui a éclaté début septembre. Ainsi, devant les sénateurs espagnols, M. Clos a rappelé que le conflit est purement commercial et ne concerne que les trois entreprises impliquées dans le projet Gassi Touil : Sonatrach, Repsol et Gas Natural. Il a souligné que la relation algéro-espagnole est « importante » et ne se limite pas seulement à la question de l'énergie. Dans ce contexte, a-t-il assuré, un règlement du conflit Gassi Touil est dans l'intérêt des deux pays qui souhaitent préserver leur relation. Mais la situation, a-t-il souligné, demande beaucoup de « sagesse » et d'intelligence pour arriver à un accord. Cependant, Joan Clos n'a fourni aucune indication sur les discussions qui seraient en cours entre les gouvernements algérien et espagnol en vue d'aboutir à une solution du conflit. De même qu'il n'a pas évoqué les difficultés d'un autre groupe espagnol, OHL, dans le secteur du BTP en Algérie. Pour rappel, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil a déclaré, à la fin du mois de septembre dernier, que Sonatrach a introduit une procédure d'arbitrage international à l'encontre de ses anciens partenaires espagnols, en indiquant qu'elle leur réclamait des "réparations substantielles". Néanmoins, il faut rappeler aussi que Chakib Khelil a fait part de sa volonté de trouver un arrangement à l'amiable durant cette période d'arbitrage international qui prendra, selon les observateurs, un à deux ans. "Si cette solution à l'amiable intervient avant que la décision de l'arbitrage ne tombe, tant mieux, sinon, c'est à celui-ci de trancher", a indiqué par ailleurs M. Khelil sur ce sujet.