La polémique entre le ministère de l'Intérieur et le parti de Hocine Aït Ahmed n'est pas près de s'estomper au vu du dernier communiqué du ministère de l'Intérieur qui répond point par point aux multiples accusations de ce dernier et qui porteraient sur des «dépassements» dont ce serait rendu coupable l'administration à son égard. Outre l'entame d'une action en justice, le premier secrétaire du Front des forces socialistes, Karim Tabbou avait aussi saisi en fin de semaine passée le Chef du gouvernement pour dénoncer le «refus» des instances chargées des élections dans les wilayas de Khenchela, Chlef, Skikda, Jijel, M'sila, Sétif et Béchar «d'avaliser» les listes de candidatures aux APW. Dans le rapport transmis à Belkhadem et rendu public par le secrétariat national du FFS, celui-ci relève «les entraves multiples qui ont été dressées pour empêcher les responsables locaux du FFS de constituer et de déposer normalement et conformément à la réglementation les listes APC et APW du parti». Selon le FFS, ses listes de candidatures ont été «arbitrairement empêchées» ou «refusées» par l'administration. Le document transmis au Chef du gouvernement ajoute que les militants du FFS ont «été évacués manu militari de l'enceinte même de l'administration». En réponse aux «accusations» du FFS, le ministère de l'Intérieur a réagi promptement et publiquement, jeudi dernier, via l'APS, au lendemain de la rencontre entre le Chef du gouvernement et le SG du FFS, Karim Tabbou, par le biais d'un long communiqué dans lequel il tente de répondre aux «assertions infondées et déplacées» du Front des forces socialistes (FFS) relatives à «de prétendus manquements» constatés au niveau des services habilités de certaines wilayas. Tout en s'interrogeant sur «les véritables et réelles motivations de telles assertions à cette période précise du dépôt des candidatures», le communiqué ajoute que la loi «demeure l'unique référence (...) et prévoit les procédures de recours pouvant être intentées auprès des juridictions compétentes». En conclave extraordinaire destiné à répondre au communiqué du ministère de l'Intérieur, aucun responsable du FFS n'était joignable hier. On évoque une seconde conférence de presse dans les jours à venir. La polémique entre le ministère de l'Intérieur et le parti de Hocine Aït Ahmed n'est pas près de s'estomper au vu du dernier communiqué du ministère de l'Intérieur qui répond point par point aux multiples accusations de ce dernier et qui porteraient sur des «dépassements» dont ce serait rendu coupable l'administration à son égard. Outre l'entame d'une action en justice, le premier secrétaire du Front des forces socialistes, Karim Tabbou avait aussi saisi en fin de semaine passée le Chef du gouvernement pour dénoncer le «refus» des instances chargées des élections dans les wilayas de Khenchela, Chlef, Skikda, Jijel, M'sila, Sétif et Béchar «d'avaliser» les listes de candidatures aux APW. Dans le rapport transmis à Belkhadem et rendu public par le secrétariat national du FFS, celui-ci relève «les entraves multiples qui ont été dressées pour empêcher les responsables locaux du FFS de constituer et de déposer normalement et conformément à la réglementation les listes APC et APW du parti». Selon le FFS, ses listes de candidatures ont été «arbitrairement empêchées» ou «refusées» par l'administration. Le document transmis au Chef du gouvernement ajoute que les militants du FFS ont «été évacués manu militari de l'enceinte même de l'administration». En réponse aux «accusations» du FFS, le ministère de l'Intérieur a réagi promptement et publiquement, jeudi dernier, via l'APS, au lendemain de la rencontre entre le Chef du gouvernement et le SG du FFS, Karim Tabbou, par le biais d'un long communiqué dans lequel il tente de répondre aux «assertions infondées et déplacées» du Front des forces socialistes (FFS) relatives à «de prétendus manquements» constatés au niveau des services habilités de certaines wilayas. Tout en s'interrogeant sur «les véritables et réelles motivations de telles assertions à cette période précise du dépôt des candidatures», le communiqué ajoute que la loi «demeure l'unique référence (...) et prévoit les procédures de recours pouvant être intentées auprès des juridictions compétentes». En conclave extraordinaire destiné à répondre au communiqué du ministère de l'Intérieur, aucun responsable du FFS n'était joignable hier. On évoque une seconde conférence de presse dans les jours à venir.