Le baril de brut restait à des plus hauts niveaux matin à New York après avoir franchi la veille, pour, la première fois de son histoire, le seuil des 90 dollars, sous l'effet conjoint de tensions géopolitiques, des craintes sur l'insuffisance de l'offre cet hiver et de la faiblesse continue du dollar. Vers 13h15 GMT sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre cédait 52 cents à 88,95 dollars, par rapport à la clôture jeudi soir. Lors des échanges électroniques la veille, le baril de brut avait franchi la barre des 90 dollars (à 90,02 dollars), niveau qu'il a encore dépassé hier avant l'ouverture de la séance, en s'établissant à 90,07 dollars. Depuis une semaine, le baril a pratiquement augmenté d'un dollar par jour de cotation et en un an la hausse est de près de 50%. Les craintes sur l'approvisionnement en pétrole cet hiver, les tensions irako-turques et la dépréciation du dollar sont autant de fondamentaux qui soutiennent cette envolée des cours, relèvent les spécialistes. Le baril de brut restait à des plus hauts niveaux matin à New York après avoir franchi la veille, pour, la première fois de son histoire, le seuil des 90 dollars, sous l'effet conjoint de tensions géopolitiques, des craintes sur l'insuffisance de l'offre cet hiver et de la faiblesse continue du dollar. Vers 13h15 GMT sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en novembre cédait 52 cents à 88,95 dollars, par rapport à la clôture jeudi soir. Lors des échanges électroniques la veille, le baril de brut avait franchi la barre des 90 dollars (à 90,02 dollars), niveau qu'il a encore dépassé hier avant l'ouverture de la séance, en s'établissant à 90,07 dollars. Depuis une semaine, le baril a pratiquement augmenté d'un dollar par jour de cotation et en un an la hausse est de près de 50%. Les craintes sur l'approvisionnement en pétrole cet hiver, les tensions irako-turques et la dépréciation du dollar sont autant de fondamentaux qui soutiennent cette envolée des cours, relèvent les spécialistes.