Le XV de France a vécu une fin de Mondial "cauchemardesque" pour la presse de samedi, subissant "une terrible humiliation" devant l'Argentine qui termine en bronze après avoir corrigé (34-10) les Bleus vendredi au Parc des Princes, pour la seconde fois en sept semaines. Le XV de France a vécu une fin de Mondial "cauchemardesque" pour la presse de samedi, subissant "une terrible humiliation" devant l'Argentine qui termine en bronze après avoir corrigé (34-10) les Bleus vendredi au Parc des Princes, pour la seconde fois en sept semaines. Tous les journaux français se penchent également sur les démêlés du désormais ex-entraîneur de l'équipe de France, Bernard Laporte, attendu dès lundi au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux Sports. A la une de son cahier spécial, L'Equipe évoque "l'inaccessible étoile". Un dessin adjacent représente un joueur juché sur une chaise où figure la mention "petite finale", scrutant à la jumelle le ciel dans lequel le trophée William Webb Ellis, entouré d'un halo, apparaît à des années lumières de la planète bleue. "Ridiculisée par l'Argentine, la France regardera de loin la finale de sa Coupe du monde, Angleterre-Afrique du Sud ce (samedi) soir au Stade de France", poursuit le quotidien sportif. "Une fin pitoyable" orne la une de son cahier général. Celui consacré au Mondial empile les "final cauchemardesque" et "naufrage général", un mois et demi après le match d'ouverture déjà perdu par les Français face aux Pumas (17-12). La consolation Lapasset Le rugby a toutefois connu la victoire en ce vendredi 19 octobre: "Le vainqueur est... (Bernard) Lapasset", élu président de l'International board (IRB, organe suprême du jeu) à la veille de ses 60 ans. Selon L'Equipe, "les Bleus ont raté leur Mondial, le président de la FFR (...) n'a pas raté le sien". Pour Le Parisien, "les Bleus de Bernard Laporte terminent piteusement leur Coupe du monde à la 4e place. Une prestation calamiteuse à l'image de celle de (Raphaël Ibanez), capitaine en déroute pour sa dernière sortie internationale". Le texte accompagne une photo d'Ibanez de dos, sanctionné d'un carton jaune samedi pour un vilain geste sur un Argentin, signe d'énervement et d'impuissance. Point de sport ou presque, pour Libération qui met en lumière "le côté obscur de Laporte" en une avec un cliché de l'ex-entraîneur sur la pelouse, bonnet vissé sur la tête et ballon en main, prolongé par son ombre. "Après une ultime défaite face à l'Argentine, le sélectionneur des Bleus devient lundi secrétaire d'Etat aux Sports alors qu'il est visé par une enquête fiscale ayant relevé des irrégularités", écrit le quotidien. Sur ce dossier, L'Equipe consacre elle aussi une page avec en gros titre ce "Sarkozy défend Laporte". En marge du Conseil européen samedi après-midi à Lisbonne, le président de la République a soutenu le secrétaire d'Etat mettant en avant "la présomption d'innoncence" qui "doit exister". Tous les journaux français se penchent également sur les démêlés du désormais ex-entraîneur de l'équipe de France, Bernard Laporte, attendu dès lundi au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux Sports. A la une de son cahier spécial, L'Equipe évoque "l'inaccessible étoile". Un dessin adjacent représente un joueur juché sur une chaise où figure la mention "petite finale", scrutant à la jumelle le ciel dans lequel le trophée William Webb Ellis, entouré d'un halo, apparaît à des années lumières de la planète bleue. "Ridiculisée par l'Argentine, la France regardera de loin la finale de sa Coupe du monde, Angleterre-Afrique du Sud ce (samedi) soir au Stade de France", poursuit le quotidien sportif. "Une fin pitoyable" orne la une de son cahier général. Celui consacré au Mondial empile les "final cauchemardesque" et "naufrage général", un mois et demi après le match d'ouverture déjà perdu par les Français face aux Pumas (17-12). La consolation Lapasset Le rugby a toutefois connu la victoire en ce vendredi 19 octobre: "Le vainqueur est... (Bernard) Lapasset", élu président de l'International board (IRB, organe suprême du jeu) à la veille de ses 60 ans. Selon L'Equipe, "les Bleus ont raté leur Mondial, le président de la FFR (...) n'a pas raté le sien". Pour Le Parisien, "les Bleus de Bernard Laporte terminent piteusement leur Coupe du monde à la 4e place. Une prestation calamiteuse à l'image de celle de (Raphaël Ibanez), capitaine en déroute pour sa dernière sortie internationale". Le texte accompagne une photo d'Ibanez de dos, sanctionné d'un carton jaune samedi pour un vilain geste sur un Argentin, signe d'énervement et d'impuissance. Point de sport ou presque, pour Libération qui met en lumière "le côté obscur de Laporte" en une avec un cliché de l'ex-entraîneur sur la pelouse, bonnet vissé sur la tête et ballon en main, prolongé par son ombre. "Après une ultime défaite face à l'Argentine, le sélectionneur des Bleus devient lundi secrétaire d'Etat aux Sports alors qu'il est visé par une enquête fiscale ayant relevé des irrégularités", écrit le quotidien. Sur ce dossier, L'Equipe consacre elle aussi une page avec en gros titre ce "Sarkozy défend Laporte". En marge du Conseil européen samedi après-midi à Lisbonne, le président de la République a soutenu le secrétaire d'Etat mettant en avant "la présomption d'innoncence" qui "doit exister".