Ce démenti met ainsi aux informations qui ont alimenté la chronique ces derniers temps. Refusant d'en dire plus, il a, affirmé qu'il animera bientôt une conférence de presse où il pourra préciser avec exactitude ces parties qui veulent le déstabiliser. Ce démenti met ainsi aux informations qui ont alimenté la chronique ces derniers temps. Refusant d'en dire plus, il a, affirmé qu'il animera bientôt une conférence de presse où il pourra préciser avec exactitude ces parties qui veulent le déstabiliser. Le Chef du gouvernement a fini par rompre le silence qu'il a observé jusque-là par rapport aux insistantes rumeurs qui le donnaient partant tant de la tête de l'Exécutif que du secrétariat général du FLN. «Ce ne sont que des spéculations et des rumeurs infondées » a-t-il déclaré, hier, en marge de la cérémonie d'ouverture par le président de la République de l'année judiciaire au siège de la Cour suprême. Ce démenti, qui lui a été «arraché» par les journalistes, après qu'il eut déclaré à maintes reprises : «Je ne vais pas réagir», met ainsi fin à ces informations qui ont alimenté la chronique ces derniers temps. Donnant la nette impression d'être imperturbable, Belkhadem a ajouté : «J'ai un travail à faire et je suis en train de le faire.» Pour le Chef du gouvernement, la seule personne qui peut le «destituer» de son poste, conformément aux prérogatives qui lui sont attribuées par la Constitution n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Interrogé alors sur les parties qui sont derrière ces rumeurs, qui occupent les devants de la scène politique, Abdelaziz Belkhadem a révélé que «ce sont ceux qui étaient contre ma désignation au poste de ministre des Affaires étrangerés qui sont derrière cette campagne de rumeurs, alors que je suis à la tête du gouvernement». Refusant d'en dire plus, il a, cependant, affirmé qu'il animera bientôt une conférence de presse où il pourra à l'occasion préciser avec exactitude ces parties qui veulent le déstabiliser. Nombre d'observateurs ont relevé avec curiosité le rappel par le Chef du gouvernement de l'épisode qui a suivi sa désignation par le Président Bouteflika à la tête de la diplomatie algérienne dans le premier gouvernement nommé par le chef de l'Etat après son élection à la magistrature suprême en 1999. A l'époque, il est vrai, quelques cercles politiques se sont élevés, par presse interposée pour certains et à visage découvert pour d'autres, contre cette nomination à un département de souveraineté. Une campagne a été déclenchée et Belkhadem avait alors été traité «de suppôt de l'intégrisme islamiste et d'agent du régime des mollahs, en Iran». Les rumeurs sur son départ du gouvernement, dont certaines, catégoriques, ont soutenu qu'il a même déposé sa démission sur le bureau du chef de l'Etat, ont déjà été démenties la semaine dernière par Abderrachid Boukerzaza, ministre de la Communication. Cette campagne survient au moment où Belkhadem est déjà affaibli au FLN, qui connaît des turbulences avec la montée au créneau des détracteurs du secrétaire général, qui réclament sa destitution de la tête du parti. Et, à ce propos, il a minimisé cette fronde, estimant que ce sont ceux dont la candidature pour les élections locales n'a pas été retenue par les instances du parti qui en sont à l'origine. Il a déclaré qu'ils sont au nombre de 30.000 militants, étant donné que sur les 53.000 dossiers de candidature déposés, seuls 23.000 ont été retenus et vont défendre les couleurs du parti le 29 novembre prochain. C'est donc dans ce même contexte que s'inscriraient, selon quelques observateurs, les récentes critiques adressées par le patron du RND, Ahmed Ouyahia, à l'endroit de nombre de mesures prises par le gouvernement Belkhadem, à l'exemple de l'annulation de la circulaire, émise du temps ou justement Ouyahia présidait aux destinées de l'Exécutif, interdisant aux entreprises publiques de déposer leurs fonds dans les banques privées. Pour plusieurs analystes, ces rumeurs sont à mettre dans le contexte global de la lutte que se livrent plusieurs cercles influents, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Pouvoir, dans la perspective de la présidentielle de 2009. Le Chef du gouvernement a fini par rompre le silence qu'il a observé jusque-là par rapport aux insistantes rumeurs qui le donnaient partant tant de la tête de l'Exécutif que du secrétariat général du FLN. «Ce ne sont que des spéculations et des rumeurs infondées » a-t-il déclaré, hier, en marge de la cérémonie d'ouverture par le président de la République de l'année judiciaire au siège de la Cour suprême. Ce démenti, qui lui a été «arraché» par les journalistes, après qu'il eut déclaré à maintes reprises : «Je ne vais pas réagir», met ainsi fin à ces informations qui ont alimenté la chronique ces derniers temps. Donnant la nette impression d'être imperturbable, Belkhadem a ajouté : «J'ai un travail à faire et je suis en train de le faire.» Pour le Chef du gouvernement, la seule personne qui peut le «destituer» de son poste, conformément aux prérogatives qui lui sont attribuées par la Constitution n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Interrogé alors sur les parties qui sont derrière ces rumeurs, qui occupent les devants de la scène politique, Abdelaziz Belkhadem a révélé que «ce sont ceux qui étaient contre ma désignation au poste de ministre des Affaires étrangerés qui sont derrière cette campagne de rumeurs, alors que je suis à la tête du gouvernement». Refusant d'en dire plus, il a, cependant, affirmé qu'il animera bientôt une conférence de presse où il pourra à l'occasion préciser avec exactitude ces parties qui veulent le déstabiliser. Nombre d'observateurs ont relevé avec curiosité le rappel par le Chef du gouvernement de l'épisode qui a suivi sa désignation par le Président Bouteflika à la tête de la diplomatie algérienne dans le premier gouvernement nommé par le chef de l'Etat après son élection à la magistrature suprême en 1999. A l'époque, il est vrai, quelques cercles politiques se sont élevés, par presse interposée pour certains et à visage découvert pour d'autres, contre cette nomination à un département de souveraineté. Une campagne a été déclenchée et Belkhadem avait alors été traité «de suppôt de l'intégrisme islamiste et d'agent du régime des mollahs, en Iran». Les rumeurs sur son départ du gouvernement, dont certaines, catégoriques, ont soutenu qu'il a même déposé sa démission sur le bureau du chef de l'Etat, ont déjà été démenties la semaine dernière par Abderrachid Boukerzaza, ministre de la Communication. Cette campagne survient au moment où Belkhadem est déjà affaibli au FLN, qui connaît des turbulences avec la montée au créneau des détracteurs du secrétaire général, qui réclament sa destitution de la tête du parti. Et, à ce propos, il a minimisé cette fronde, estimant que ce sont ceux dont la candidature pour les élections locales n'a pas été retenue par les instances du parti qui en sont à l'origine. Il a déclaré qu'ils sont au nombre de 30.000 militants, étant donné que sur les 53.000 dossiers de candidature déposés, seuls 23.000 ont été retenus et vont défendre les couleurs du parti le 29 novembre prochain. C'est donc dans ce même contexte que s'inscriraient, selon quelques observateurs, les récentes critiques adressées par le patron du RND, Ahmed Ouyahia, à l'endroit de nombre de mesures prises par le gouvernement Belkhadem, à l'exemple de l'annulation de la circulaire, émise du temps ou justement Ouyahia présidait aux destinées de l'Exécutif, interdisant aux entreprises publiques de déposer leurs fonds dans les banques privées. Pour plusieurs analystes, ces rumeurs sont à mettre dans le contexte global de la lutte que se livrent plusieurs cercles influents, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Pouvoir, dans la perspective de la présidentielle de 2009.