Un fumeur sur deux meurt de son tabac ! Ce dernier, en effet, diminue la capacité respiratoire, même au repos. Et au passage de la fumée dans les voies aériennes, l'acétone et les goudrons du tabac endommagent les muqueuses. Ce duo infernal nous fait tousser et provoque une inflammation des bronches. La nicotine, de son côté, provoque à chaque inhalation une contraction violente des voies respiratoires et une altération du fonctionnement des alvéoles pulmonaires. Et ce n'est pas tout… Le monoxyde de carbone dégagé par la combustion du tabac se combine à l'hémoglobine du sang. Et il empêche ce dernier d'assurer correctement le transport de l'oxygène. Celui-ci se fait alors plus rare, et les poumons fonctionnent avec une efficacité amoindrie. Combinés entre eux, les effets du tabac se traduisent donc par une augmentation de la fréquence respiratoire au repos… et un essoufflement plus rapide à l'effort. Un fumeur sur deux meurt de son tabac ! Ce dernier, en effet, diminue la capacité respiratoire, même au repos. Et au passage de la fumée dans les voies aériennes, l'acétone et les goudrons du tabac endommagent les muqueuses. Ce duo infernal nous fait tousser et provoque une inflammation des bronches. La nicotine, de son côté, provoque à chaque inhalation une contraction violente des voies respiratoires et une altération du fonctionnement des alvéoles pulmonaires. Et ce n'est pas tout… Le monoxyde de carbone dégagé par la combustion du tabac se combine à l'hémoglobine du sang. Et il empêche ce dernier d'assurer correctement le transport de l'oxygène. Celui-ci se fait alors plus rare, et les poumons fonctionnent avec une efficacité amoindrie. Combinés entre eux, les effets du tabac se traduisent donc par une augmentation de la fréquence respiratoire au repos… et un essoufflement plus rapide à l'effort.