L'auteur, Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de l'ALN, nous livre dans cet ouvrage un témoignage authentique portant sur des actions menées par deux unités d'élite de l'ALN dans la wilaya IV, auxquelles il a activement participé de 1956 à 1959. L'auteur, Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de l'ALN, nous livre dans cet ouvrage un témoignage authentique portant sur des actions menées par deux unités d'élite de l'ALN dans la wilaya IV, auxquelles il a activement participé de 1956 à 1959. Les éditions «Casbah» ont organisé, dimanche une vente dédicace du livre traduit en arabe «Au cœur du combat», récits authentiques des batailles du commando Si Zoubir et de la Katiba El Hamdania ALN- wilaya IV historique. L'auteur, Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de l'ALN, nous livre dans cet ouvrage un témoignage sous forme de témoignages authentiques portant sur des actions militaires menées par deux unités d'élite de l'ALN dans la wilaya IV, auxquelles il a activement participé de 1956 à 1959. L'ancien baroudeur de l'ALN comble en partie en publiant ce livre témoignage une grande lacune de notre prestigieuse ALN. Sur les commandos et les katibas, peu de choses ont été écrites à ce jour. Aussi, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine raconte à travers ces témoignages, sans fioritures, ni bavardage, mais honnêtement et simplement la vie et le combat de moudjahidine narguant continuellement l'armée française dans les région de Médéa, de Blida, Chechell et les monts du Zaccar. «Je considère que c'est une mission et un message à cette jeunesse», concède l'auteur qui par ailleurs, nous fait découvrir davantage, tout au long de ses récits, ses compagnons d'armes morts au combat, que lui-même, à l'image du personnage, Tayeb Benmira « l'Istiqlal », mort un 27ème jour du mois sacré de Ramadhan, de Braham Brakni, ancien footballeur de l'USM Blida, de Si Zoubir (Tayeb Souleiman), mort en affrontant seul une quinzaine d'hélicoptères pour permettre à plus de 400 (quatre cents) étudiants, lycéens et lycéennes qui venaient de rejoindre les rangs de l'ALN et dont il avait la responsabilité de faire fuir et de les mettre à l'abri. C'est dire que l'Ouvrage de Mohamed Chérif Ould El Hocine est conçu pour redonner vie, ne fût-ce que l'instant d'une lecture à des compagnons d'armes qui n'ont pas eu le bonheur de connaître la fin de la nuit coloniale. Il reste qu'il ne faut pas se méprendre sur les convictions de l'auteur. Malgré un hommage appuyé et mérité à ces chouhada, Ould El Hocine n'oublie pas de souligner avec force que le seul héros, c'est le peuple. «En plus de ces hommes (combattants de l'ALN), l'ALN comptait beaucoup sur l'appui que lui fournissait la population, sans lequel le combat n'aurait jamais abouti», assure-t-il. En somme, résume la préface de Hadj Benalla, membre du Conseil National de la Révolution Algérienne (CNRA), ancien Président de l'Assemblée Nationale, «l'ouvrage du moudjahid Ould El Hocine, bien que portant sur une période limitée aux années 1956 à 1959 est une précieuse contribution à l'écriture de l'histoire de la guerre de Libération nationale en général et de l'Armée de Libération Nationale dans la wilaya IV historique en particulier». L'auteur, né à Hadjout (ex Marengo), le 11 août 1933 est issu d'une famille originaire de Ain El Hammam (Tizi-Ouzou). Ayant pris conscience très tôt de l'injustice de l'ordre colonial, il rejoint les rangs de l'ALN en 1956 dans la wilaya IV. D'abord, moussebel puis fidaï, il est intégré au sein du commando Si Zoubir (zone II) au lendemain de l'attentat du 13 janvier 1957 dans la ville de Marengo. Il fait partie ensuite de la valeureuse katiba El Hamdania (zone II, région 3) qui inflige de cuisants revers à l'ennemi. Membre du conseil sectoriel de Cherchell (commissaire politique) responsable des renseignements et liaisons, il est nommé, par la suite, chef de secteur politico-militaire dans l'Ouarsenis (zone III), puis membre du conseil régional de Théniet El Had (zone III). En 1958, blessé au cours de la bataille de Douar Siouf (Taza- Trolard), il est évacué vers le Maroc pour y subir des soins. Invalide de guerre, cadre supérieur de la nation, aujourd'hui à la retraite, Mohamed Chérif Ould El Hocine se consacre à son affaire industrielle et à la rédaction de témoignages sur la Révolution du 1er novembre 1954. Les éditions «Casbah» ont organisé, dimanche une vente dédicace du livre traduit en arabe «Au cœur du combat», récits authentiques des batailles du commando Si Zoubir et de la Katiba El Hamdania ALN- wilaya IV historique. L'auteur, Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de l'ALN, nous livre dans cet ouvrage un témoignage sous forme de témoignages authentiques portant sur des actions militaires menées par deux unités d'élite de l'ALN dans la wilaya IV, auxquelles il a activement participé de 1956 à 1959. L'ancien baroudeur de l'ALN comble en partie en publiant ce livre témoignage une grande lacune de notre prestigieuse ALN. Sur les commandos et les katibas, peu de choses ont été écrites à ce jour. Aussi, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine raconte à travers ces témoignages, sans fioritures, ni bavardage, mais honnêtement et simplement la vie et le combat de moudjahidine narguant continuellement l'armée française dans les région de Médéa, de Blida, Chechell et les monts du Zaccar. «Je considère que c'est une mission et un message à cette jeunesse», concède l'auteur qui par ailleurs, nous fait découvrir davantage, tout au long de ses récits, ses compagnons d'armes morts au combat, que lui-même, à l'image du personnage, Tayeb Benmira « l'Istiqlal », mort un 27ème jour du mois sacré de Ramadhan, de Braham Brakni, ancien footballeur de l'USM Blida, de Si Zoubir (Tayeb Souleiman), mort en affrontant seul une quinzaine d'hélicoptères pour permettre à plus de 400 (quatre cents) étudiants, lycéens et lycéennes qui venaient de rejoindre les rangs de l'ALN et dont il avait la responsabilité de faire fuir et de les mettre à l'abri. C'est dire que l'Ouvrage de Mohamed Chérif Ould El Hocine est conçu pour redonner vie, ne fût-ce que l'instant d'une lecture à des compagnons d'armes qui n'ont pas eu le bonheur de connaître la fin de la nuit coloniale. Il reste qu'il ne faut pas se méprendre sur les convictions de l'auteur. Malgré un hommage appuyé et mérité à ces chouhada, Ould El Hocine n'oublie pas de souligner avec force que le seul héros, c'est le peuple. «En plus de ces hommes (combattants de l'ALN), l'ALN comptait beaucoup sur l'appui que lui fournissait la population, sans lequel le combat n'aurait jamais abouti», assure-t-il. En somme, résume la préface de Hadj Benalla, membre du Conseil National de la Révolution Algérienne (CNRA), ancien Président de l'Assemblée Nationale, «l'ouvrage du moudjahid Ould El Hocine, bien que portant sur une période limitée aux années 1956 à 1959 est une précieuse contribution à l'écriture de l'histoire de la guerre de Libération nationale en général et de l'Armée de Libération Nationale dans la wilaya IV historique en particulier». L'auteur, né à Hadjout (ex Marengo), le 11 août 1933 est issu d'une famille originaire de Ain El Hammam (Tizi-Ouzou). Ayant pris conscience très tôt de l'injustice de l'ordre colonial, il rejoint les rangs de l'ALN en 1956 dans la wilaya IV. D'abord, moussebel puis fidaï, il est intégré au sein du commando Si Zoubir (zone II) au lendemain de l'attentat du 13 janvier 1957 dans la ville de Marengo. Il fait partie ensuite de la valeureuse katiba El Hamdania (zone II, région 3) qui inflige de cuisants revers à l'ennemi. Membre du conseil sectoriel de Cherchell (commissaire politique) responsable des renseignements et liaisons, il est nommé, par la suite, chef de secteur politico-militaire dans l'Ouarsenis (zone III), puis membre du conseil régional de Théniet El Had (zone III). En 1958, blessé au cours de la bataille de Douar Siouf (Taza- Trolard), il est évacué vers le Maroc pour y subir des soins. Invalide de guerre, cadre supérieur de la nation, aujourd'hui à la retraite, Mohamed Chérif Ould El Hocine se consacre à son affaire industrielle et à la rédaction de témoignages sur la Révolution du 1er novembre 1954.