Cette rencontre verra la présentation de plusieurs travaux par des scientifiques africains dans le domaine de la radiothérapie et de la physique médicale sur le problème de la gestion de cancers digestifs et pulmonaires en Afrique. Cette rencontre verra la présentation de plusieurs travaux par des scientifiques africains dans le domaine de la radiothérapie et de la physique médicale sur le problème de la gestion de cancers digestifs et pulmonaires en Afrique. La 4e conférence du Groupe africain de radio-oncologie (AFROG IV) a réuni, samedi à Alger, un panel d'experts algériens et étrangers autour du thème "la gestion des cancers digestifs et du poumon en Afrique". Cette rencontre scientifique de deux jours, qui se tient au Centre de recherche nucléaire d'Alger (CRNA), vise, selon M. Derdour Mohamed, le commissaire à l'énergie atomique, à évaluer et à comparer les méthodes et techniques nucléaires utilisées dans les pays africains dans le domaine de la lutte contre le cancer. Cette 4e conférence, organisée par le Groupe africain de radio-oncologie (AFROG), en collaboration avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), le centre anticancéreux Pierre et Marie Curie (CPMC), le Commissariat à l'énergie atomique et le CRNA, vise également à faire le point sur deux projets africains lancés dans le domaine de la gestion technique des cancers et celui des nouvelles technologies de la radiothérapie. Dans ce contexte, M. Derdour a mis en exergue les avancées réalisées par l'Algérie dans le domaine de la radiothérapie, notamment par l'acquisition d'équipements de pointe tels que l'accélérateur linéaire d'électrons utilisé dans la radiochirurgie stéréotaxique, installé au centre anticancéreux de Blida. Cette rencontre verra la présentation de plusieurs travaux par des scientifiques africains dans le domaine de la radiothérapie et de la physique médicale sur le problème de la gestion de cancers digestifs et pulmonaires en Afrique. La conférence constitue aussi, selon les organisateurs, un espace de rencontre et d'échange entre les spécialistes algériens et leurs homologues venus notamment du Maroc, de Tunisie, d'Afrique du Sud, d'Egypte, du Soudan, du Sénégal et de Madagascar. Le secrétaire général du ministère de l'Energie et des mines, M. Fayçal Abbas, a estimé, pour sa part, que cette rencontre permet notamment de mettre en lumière l'utilité de l'énergie nucléaire dans la santé publique notamment dans le cadre de l'ambitieux programme national de lutte contre le cancer. M. Abbas a relevé les efforts consentis dans le domaine de la formation du personnel spécialisé dans la radiothérapie, la radiologie, la médecine nucléaire et la physique médicale, d'une part, et leur protection contre les risques des rayonnements ionisants, d'autre part. La 4e conférence du Groupe africain de radio-oncologie (AFROG IV) a réuni, samedi à Alger, un panel d'experts algériens et étrangers autour du thème "la gestion des cancers digestifs et du poumon en Afrique". Cette rencontre scientifique de deux jours, qui se tient au Centre de recherche nucléaire d'Alger (CRNA), vise, selon M. Derdour Mohamed, le commissaire à l'énergie atomique, à évaluer et à comparer les méthodes et techniques nucléaires utilisées dans les pays africains dans le domaine de la lutte contre le cancer. Cette 4e conférence, organisée par le Groupe africain de radio-oncologie (AFROG), en collaboration avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), le centre anticancéreux Pierre et Marie Curie (CPMC), le Commissariat à l'énergie atomique et le CRNA, vise également à faire le point sur deux projets africains lancés dans le domaine de la gestion technique des cancers et celui des nouvelles technologies de la radiothérapie. Dans ce contexte, M. Derdour a mis en exergue les avancées réalisées par l'Algérie dans le domaine de la radiothérapie, notamment par l'acquisition d'équipements de pointe tels que l'accélérateur linéaire d'électrons utilisé dans la radiochirurgie stéréotaxique, installé au centre anticancéreux de Blida. Cette rencontre verra la présentation de plusieurs travaux par des scientifiques africains dans le domaine de la radiothérapie et de la physique médicale sur le problème de la gestion de cancers digestifs et pulmonaires en Afrique. La conférence constitue aussi, selon les organisateurs, un espace de rencontre et d'échange entre les spécialistes algériens et leurs homologues venus notamment du Maroc, de Tunisie, d'Afrique du Sud, d'Egypte, du Soudan, du Sénégal et de Madagascar. Le secrétaire général du ministère de l'Energie et des mines, M. Fayçal Abbas, a estimé, pour sa part, que cette rencontre permet notamment de mettre en lumière l'utilité de l'énergie nucléaire dans la santé publique notamment dans le cadre de l'ambitieux programme national de lutte contre le cancer. M. Abbas a relevé les efforts consentis dans le domaine de la formation du personnel spécialisé dans la radiothérapie, la radiologie, la médecine nucléaire et la physique médicale, d'une part, et leur protection contre les risques des rayonnements ionisants, d'autre part.