Lorsque votre enfant souffre d'une infection (causée par une bactérie ou un virus), il fait souvent de la fièvre. En effet, c'est à partir d'une température supérieure à 37.6°C qu'on peut parler de fièvre (moins de 38°, on parle surtout de fébricule qui est une toute légère fièvre). Lorsque votre enfant souffre d'une infection (causée par une bactérie ou un virus), il fait souvent de la fièvre. En effet, c'est à partir d'une température supérieure à 37.6°C qu'on peut parler de fièvre (moins de 38°, on parle surtout de fébricule qui est une toute légère fièvre). En fait, la fièvre est un symptôme et non une maladie en soi. En général, la fièvre est, toutefois, associée à d'autres agents infectieux comme des virus, bactéries ou champignon,...[refroidissement, grippe, méningite, angine, gastro-entérite, rougeole, rubéole,...] C'est un symptôme très fréquent chez le nourrisson et l'enfant. Chez le nourrisson, l'hyperthermie, (la fièvre), peut constituer un risque neurologique et vital, quelle que soit son étiologie, (sa cause). Mais elle est mieux supportée par l'enfant. Cependant, il devrait également voir un médecin si la fièvre dure plus de 48 heures. Les bébés de moins de 6 mois devraient voir systématiquement le médecin lorsqu'ils font de la fièvre. Quels en sont les signes ? Ils seront pris en considération : frissons traduisant une suppuration profonde, douleurs (rachialgies qui sont des douleurs au niveau du rachis, cervical, dorsal, etc., ou myalgies qui sont des douleurs musculaires), sueurs, altération de l'état général, amaigrissement, asthénie Relevons aussi que la fièvre est souvent un symptôme caractérisant un problème dans le corps humain et peut donc être associé aux autres symptômes de la maladie ou infection provoquant la fièvre comme des douleurs, des maux de tête,... Que peuvent être les conséquences ? La gravité de l'hyperthermie réside dans le risque de voir survenir, surtout chez le nourrisson, deux complications : la déshydratation et/ou les convulsions. La déshydratation Elle peut survenir en dehors de toute perte d'eau par vomissements et/ou diarrhée. Cette perte liée à l'hyperthermie est souvent aggravée par un défaut d'hydratation (manque d'apport, refus de boire). Le plus souvent, les troubles digestifs associés aggravent rapidement cette déshydratation. Les convulsions hyperthermiques La brutalité du décalage thermique en est responsable chez les nourrissons prédisposés. Les statistiques des dernières recherches médicales dans ce domaine estiment que six à sept pour cent des enfants faisant une forte fièvre sont sujets aux convulsions.) Ce décalage thermique réclame un traitement symptomatique d'urgence et ultérieurement une thérapeutique préventive. L'hyperthermie majeure Les symptômes sont gravissimes survenant surtout chez un nourrisson de moins de six mois, aussi bien en hiver qu'en été. A l'occasion d'une infection banale (rhinopharyngite, otite...), le nourrisson est retrouvé, le plus souvent le matin, en état de mal convulsif, inconscient, une lenteur à la recoloration des extrémités… Sa température atteint 41°, voire 42°. Un syndrome hémorragique, traduisant une atteinte hépatique, peut compliquer son état. Malgré la mise en oeuvre de moyens de réanimation, l'issue fatale est à redouter; la survie n'est le plus souvent observée qu'au prix de lourdes séquelles neurologiques. C'est dire l'importance des mesures préventives visant à éviter ces hyperthermies chez le nourrisson et la nécessité de réduire au maximum la durée de toute hyperthermie à cet âge. Comment la diagnostique-t-on ? Toute fièvre inexpliquée du nourrisson implique la recherche d'une infection. Avant de poser son diagnostic, le pédiatre fait un interrogatoire très rigoureux sur le mode de prise de température, le degré et la nature de la fièvre, régime alimentaire s'il s'agit d'un nourrisson, les symptômes observés et décrits par les parents, sur l'éventualité d'une contagion dans son entourage, les traitements éventuellement institués, vaccination BCG et état de l'allergie. Un examen clinique complet et minutieux comportant obligatoirement un examen ORL, sans oublier le bilan sanguin qui orientera éventuellement les investigations thérapeutiques, parfois urgentes, car le symptôme fièvre peut avoir des conséquences graves chez le nourrisson. En période néonatale, la cause la plus fréquente demeure l'infection, grave ou bénigne, bactérienne ou virale, Cependant, la fièvre n'est pas pour autant toujours d'origine infectieuse : il existe aussi en pédiatrie des fièvre métaboliques, inflammatoires … Comment la traiter? - par les médicaments : La fièvre réclame donc, chez le nourrisson, un traitement symptomatique (des signes de la fièvre) indépendant de la thérapeutique (du traitement) de l'affection causale. Les seuls médicaments qui peuvent être utilisés pour faire baisser la température sont les antipyrétiques ou les antalgiques qui ont un effet sur la fièvre et sur la douleur. Prendre des médicaments à base de vitamine C, de zinc, ces substances ont des effets positifs sur les maladies infectieuses (qui peuvent provoquer de la fièvre) et agissent comme immunostimulants. Utile si la fièvre est causée par une maladie infectieuse, car cela peut contribuer à soigner la cause. En fait, si on administre un médicament à son enfant, des antalgiques par exemple (médicament contre la douleur et la fièvre), il est important de respecter les doses - par les mesures d'hygiène et moyens physiques : - Déshabillage : enfant plus ou moins dévêtu (pas nu pour ne pas attraper froid) - Hydratation suffisante : faire boire l'enfant en quantité abondante pour compenser la déshydratation engendrée par la fièvre (boire de l'eau ou des tisanes). - Boire des boissons sucrées et des bouillons riches en sels minéraux) pour compenser la perte hydrique en substances nutritives. - Lui faire prendre un bain de un à plusieurs degrés en dessous de la température du corps pendant une quinzaine de minutes permet de faire baisser la fièvre. -Eviter de surchauffer les appartements en hiver En fait, la fièvre est un symptôme et non une maladie en soi. En général, la fièvre est, toutefois, associée à d'autres agents infectieux comme des virus, bactéries ou champignon,...[refroidissement, grippe, méningite, angine, gastro-entérite, rougeole, rubéole,...] C'est un symptôme très fréquent chez le nourrisson et l'enfant. Chez le nourrisson, l'hyperthermie, (la fièvre), peut constituer un risque neurologique et vital, quelle que soit son étiologie, (sa cause). Mais elle est mieux supportée par l'enfant. Cependant, il devrait également voir un médecin si la fièvre dure plus de 48 heures. Les bébés de moins de 6 mois devraient voir systématiquement le médecin lorsqu'ils font de la fièvre. Quels en sont les signes ? Ils seront pris en considération : frissons traduisant une suppuration profonde, douleurs (rachialgies qui sont des douleurs au niveau du rachis, cervical, dorsal, etc., ou myalgies qui sont des douleurs musculaires), sueurs, altération de l'état général, amaigrissement, asthénie Relevons aussi que la fièvre est souvent un symptôme caractérisant un problème dans le corps humain et peut donc être associé aux autres symptômes de la maladie ou infection provoquant la fièvre comme des douleurs, des maux de tête,... Que peuvent être les conséquences ? La gravité de l'hyperthermie réside dans le risque de voir survenir, surtout chez le nourrisson, deux complications : la déshydratation et/ou les convulsions. La déshydratation Elle peut survenir en dehors de toute perte d'eau par vomissements et/ou diarrhée. Cette perte liée à l'hyperthermie est souvent aggravée par un défaut d'hydratation (manque d'apport, refus de boire). Le plus souvent, les troubles digestifs associés aggravent rapidement cette déshydratation. Les convulsions hyperthermiques La brutalité du décalage thermique en est responsable chez les nourrissons prédisposés. Les statistiques des dernières recherches médicales dans ce domaine estiment que six à sept pour cent des enfants faisant une forte fièvre sont sujets aux convulsions.) Ce décalage thermique réclame un traitement symptomatique d'urgence et ultérieurement une thérapeutique préventive. L'hyperthermie majeure Les symptômes sont gravissimes survenant surtout chez un nourrisson de moins de six mois, aussi bien en hiver qu'en été. A l'occasion d'une infection banale (rhinopharyngite, otite...), le nourrisson est retrouvé, le plus souvent le matin, en état de mal convulsif, inconscient, une lenteur à la recoloration des extrémités… Sa température atteint 41°, voire 42°. Un syndrome hémorragique, traduisant une atteinte hépatique, peut compliquer son état. Malgré la mise en oeuvre de moyens de réanimation, l'issue fatale est à redouter; la survie n'est le plus souvent observée qu'au prix de lourdes séquelles neurologiques. C'est dire l'importance des mesures préventives visant à éviter ces hyperthermies chez le nourrisson et la nécessité de réduire au maximum la durée de toute hyperthermie à cet âge. Comment la diagnostique-t-on ? Toute fièvre inexpliquée du nourrisson implique la recherche d'une infection. Avant de poser son diagnostic, le pédiatre fait un interrogatoire très rigoureux sur le mode de prise de température, le degré et la nature de la fièvre, régime alimentaire s'il s'agit d'un nourrisson, les symptômes observés et décrits par les parents, sur l'éventualité d'une contagion dans son entourage, les traitements éventuellement institués, vaccination BCG et état de l'allergie. Un examen clinique complet et minutieux comportant obligatoirement un examen ORL, sans oublier le bilan sanguin qui orientera éventuellement les investigations thérapeutiques, parfois urgentes, car le symptôme fièvre peut avoir des conséquences graves chez le nourrisson. En période néonatale, la cause la plus fréquente demeure l'infection, grave ou bénigne, bactérienne ou virale, Cependant, la fièvre n'est pas pour autant toujours d'origine infectieuse : il existe aussi en pédiatrie des fièvre métaboliques, inflammatoires … Comment la traiter? - par les médicaments : La fièvre réclame donc, chez le nourrisson, un traitement symptomatique (des signes de la fièvre) indépendant de la thérapeutique (du traitement) de l'affection causale. Les seuls médicaments qui peuvent être utilisés pour faire baisser la température sont les antipyrétiques ou les antalgiques qui ont un effet sur la fièvre et sur la douleur. Prendre des médicaments à base de vitamine C, de zinc, ces substances ont des effets positifs sur les maladies infectieuses (qui peuvent provoquer de la fièvre) et agissent comme immunostimulants. Utile si la fièvre est causée par une maladie infectieuse, car cela peut contribuer à soigner la cause. En fait, si on administre un médicament à son enfant, des antalgiques par exemple (médicament contre la douleur et la fièvre), il est important de respecter les doses - par les mesures d'hygiène et moyens physiques : - Déshabillage : enfant plus ou moins dévêtu (pas nu pour ne pas attraper froid) - Hydratation suffisante : faire boire l'enfant en quantité abondante pour compenser la déshydratation engendrée par la fièvre (boire de l'eau ou des tisanes). - Boire des boissons sucrées et des bouillons riches en sels minéraux) pour compenser la perte hydrique en substances nutritives. - Lui faire prendre un bain de un à plusieurs degrés en dessous de la température du corps pendant une quinzaine de minutes permet de faire baisser la fièvre. -Eviter de surchauffer les appartements en hiver