Des représentants de joueurs, des dirigeants de clubs, de ligues ou de fédérations et des membres de l'UEFA se retrouvent aujourd'hui à Nyon pour une "réunion informelle" du Conseil stratégique qui constitue une étape vers la réforme de la Ligue des champions, souhaitée par le président Platini. Aucune décision ne doit être prise lors de cette réunion de la "famille du football" chère à Michel Platini. Entouré de quatre vice-présidents, représentants du Comité exécutif, il va entendre les contre-propositions à son projet de réforme de l'épreuve reine, comme il avait été décidé fin août à Monaco lors du Conseil stratégique, institution mise en place par M. Platini (dont une des missions au long cours est l'élaboration d'une charte du football européen). Le président de l'UEFA avait laissé quelques mois de réflexions aux clubs, ligues et fédérations et joueurs pour qu'ils présentent leurs idées. Le Comité exécutif du 30 novembre, réuni à Lucerne, prendra une décision. Les réticences restent fortes autour de cette réforme. Le G14, qui rassemble les grands clubs européens, est opposé dans ses grandes lignes au projet Platini. Les fédérations, elles, ont demandé un temps de réflexion de trois ans, délai salué par l'association des ligues européennes (EPFL), "unanimement" opposées au projet. Les présidents des principales fédérations européennes, réunis fin octobre à Paris, avaient approuvé "le principe d'ouverture" de la C1 et la "revalorisation" des coupes nationales induits par la réforme Platini mais demandé "un délai raisonnable de réflexion et de concertation", "trois ans" selon Jean-Pierre Escalettes, de la Fédération française (FFF). M. Platini propose, notamment, une revalorisation des coupes nationales (les vainqueurs des coupes nationales des 16 meilleures nations UEFA pourraient s'affronter pour récupérer 4 places de poule en C1). Des représentants de joueurs, des dirigeants de clubs, de ligues ou de fédérations et des membres de l'UEFA se retrouvent aujourd'hui à Nyon pour une "réunion informelle" du Conseil stratégique qui constitue une étape vers la réforme de la Ligue des champions, souhaitée par le président Platini. Aucune décision ne doit être prise lors de cette réunion de la "famille du football" chère à Michel Platini. Entouré de quatre vice-présidents, représentants du Comité exécutif, il va entendre les contre-propositions à son projet de réforme de l'épreuve reine, comme il avait été décidé fin août à Monaco lors du Conseil stratégique, institution mise en place par M. Platini (dont une des missions au long cours est l'élaboration d'une charte du football européen). Le président de l'UEFA avait laissé quelques mois de réflexions aux clubs, ligues et fédérations et joueurs pour qu'ils présentent leurs idées. Le Comité exécutif du 30 novembre, réuni à Lucerne, prendra une décision. Les réticences restent fortes autour de cette réforme. Le G14, qui rassemble les grands clubs européens, est opposé dans ses grandes lignes au projet Platini. Les fédérations, elles, ont demandé un temps de réflexion de trois ans, délai salué par l'association des ligues européennes (EPFL), "unanimement" opposées au projet. Les présidents des principales fédérations européennes, réunis fin octobre à Paris, avaient approuvé "le principe d'ouverture" de la C1 et la "revalorisation" des coupes nationales induits par la réforme Platini mais demandé "un délai raisonnable de réflexion et de concertation", "trois ans" selon Jean-Pierre Escalettes, de la Fédération française (FFF). M. Platini propose, notamment, une revalorisation des coupes nationales (les vainqueurs des coupes nationales des 16 meilleures nations UEFA pourraient s'affronter pour récupérer 4 places de poule en C1).