Les prochaines échéances électorales constituent une «opportunité à la réhabilitation de la confiance et de la dignité des jeunes», a indiqué hier à Mostaganem le secrétaire général du mouvement Islah, Djahid Younsi. Le SG d'El islah a axé son discours sur la situation socio-économique du pays, en général, et sur la problématique du chômage chez les jeunes, en particulier. «Le chômage est la porte ouverte à la marginalisation. La priorité est à la création de postes d'emplois», a indiqué le successeur de Djaballah, en exhortant les militants de sa formation politique à accomplir leur devoir électoral pour «mettre un terme aux souffrances des jeunes». Djahid Younsi qui voit dans la jeunesse «une force vive incontournable, à l'édification d'une Algérie prospère», a estimé, à cet égard, que «brimer cette frange de la société revient à violer le serment fait aux chouhada». Le phénomène de l'émigration clandestine, témoigne de l'ampleur du malheur qui frappe les jeunes, parmi lesquels de nombreux diplômés sans-emploi, a-t-il dit. Le SG du mouvement Islah a, par ailleurs, réitéré la position de son parti concernant diverses questions socio-économiques, tout en insistant sur deux points essentiels, à savoir donner «de plus larges prérogatives aux élus locaux et un salaire minimum de 15.000 dinars aux travailleurs». Les prochaines échéances électorales constituent une «opportunité à la réhabilitation de la confiance et de la dignité des jeunes», a indiqué hier à Mostaganem le secrétaire général du mouvement Islah, Djahid Younsi. Le SG d'El islah a axé son discours sur la situation socio-économique du pays, en général, et sur la problématique du chômage chez les jeunes, en particulier. «Le chômage est la porte ouverte à la marginalisation. La priorité est à la création de postes d'emplois», a indiqué le successeur de Djaballah, en exhortant les militants de sa formation politique à accomplir leur devoir électoral pour «mettre un terme aux souffrances des jeunes». Djahid Younsi qui voit dans la jeunesse «une force vive incontournable, à l'édification d'une Algérie prospère», a estimé, à cet égard, que «brimer cette frange de la société revient à violer le serment fait aux chouhada». Le phénomène de l'émigration clandestine, témoigne de l'ampleur du malheur qui frappe les jeunes, parmi lesquels de nombreux diplômés sans-emploi, a-t-il dit. Le SG du mouvement Islah a, par ailleurs, réitéré la position de son parti concernant diverses questions socio-économiques, tout en insistant sur deux points essentiels, à savoir donner «de plus larges prérogatives aux élus locaux et un salaire minimum de 15.000 dinars aux travailleurs».