La campagne électorale à Chlef, à l'instar des autres wilayas, n'a pas manqué de susciter des mécontentements au sein de la population. Notamment chez les parents d'élèves dont les enfants se trouvent dans des classes où un certain nombre de cours ne sont pas assurés parce que leurs enseignants sont candidats aux élections locales. «Un congé exceptionnel» est également accordé en vertu d'une note émanant du ministère de l'Intérieur, datant du 6 novembre dernier et portant le numéro 2.616, qui instruit toutes les institutions à libérer les candidats durant la campagne, soit plus d'une vingtaine de jours. Ce qui se traduit à Chlef dans le secteur de l'enseignement par une «récré» de l'encadrement pédagogique dont le nombre des candidats enseignants s'élève à 486 personnes. 446 pour les APC et 40 pour l'APW avec des taux respectifs de l'ensemble des listes de 13,63% pour les premiers et 15,38% pour les seconds. Ce qui n'est pas négligeable de l'avis des parents qui ne comprennent pas que l'on puisse se permettre de perturber le cursus scolaire de leurs enfants, même pour une durée aussi limitée soit-elle. Du côté de la Direction de l'éducation et concernant les dispositions prises pour combler ce déficit temporaire, l'on a tenté de nous rassurer en nous déclarant que la situation est maîtrisée et qu'il a été signifié aux chefs d'établissements de prendre en charge ce problème. Primo : ces derniers ont toute latitude de faire appel à des enseignants suppléants si l'absence du titulaire du poste dure sept jours et plus, comme le stipulent les textes. Secundo : à défaut, il y est indiqué que le chef d'établissement peut procéder à un «dispatching» des élèves dans les classes de même niveau. Pour le premier cas, nous avons eu connaissance que certains responsables d'établissements ne se sont pas rués en direction de cette option par négligence ou inconscience et nous en avons fait état en signalant cette défection au niveau des CEM et lycées. Mais notre interlocuteur, quelque dépassé par ce problème, surtout national, a de nouveau tenté une parade en essayant de défendre ce qui ne peut l'être. La campagne électorale à Chlef, à l'instar des autres wilayas, n'a pas manqué de susciter des mécontentements au sein de la population. Notamment chez les parents d'élèves dont les enfants se trouvent dans des classes où un certain nombre de cours ne sont pas assurés parce que leurs enseignants sont candidats aux élections locales. «Un congé exceptionnel» est également accordé en vertu d'une note émanant du ministère de l'Intérieur, datant du 6 novembre dernier et portant le numéro 2.616, qui instruit toutes les institutions à libérer les candidats durant la campagne, soit plus d'une vingtaine de jours. Ce qui se traduit à Chlef dans le secteur de l'enseignement par une «récré» de l'encadrement pédagogique dont le nombre des candidats enseignants s'élève à 486 personnes. 446 pour les APC et 40 pour l'APW avec des taux respectifs de l'ensemble des listes de 13,63% pour les premiers et 15,38% pour les seconds. Ce qui n'est pas négligeable de l'avis des parents qui ne comprennent pas que l'on puisse se permettre de perturber le cursus scolaire de leurs enfants, même pour une durée aussi limitée soit-elle. Du côté de la Direction de l'éducation et concernant les dispositions prises pour combler ce déficit temporaire, l'on a tenté de nous rassurer en nous déclarant que la situation est maîtrisée et qu'il a été signifié aux chefs d'établissements de prendre en charge ce problème. Primo : ces derniers ont toute latitude de faire appel à des enseignants suppléants si l'absence du titulaire du poste dure sept jours et plus, comme le stipulent les textes. Secundo : à défaut, il y est indiqué que le chef d'établissement peut procéder à un «dispatching» des élèves dans les classes de même niveau. Pour le premier cas, nous avons eu connaissance que certains responsables d'établissements ne se sont pas rués en direction de cette option par négligence ou inconscience et nous en avons fait état en signalant cette défection au niveau des CEM et lycées. Mais notre interlocuteur, quelque dépassé par ce problème, surtout national, a de nouveau tenté une parade en essayant de défendre ce qui ne peut l'être.