La rencontre entre le principal négociateur nucléaire iranien, Saïd Jalili, et le diplomate en chef européen, Javier Solana, aura lieu la semaine prochaine, a déclaré hier, un responsable du bureau de M. Jalili. «La rencontre aura lieu la semaine prochaine, mais le jour exact et le lieu de la rencontre ne sont pas encore fixés», a déclaré ce responsable. Une rencontre prévue à Rome entre Javad Vaïdi, un adjoint de M. Jalili, et Robert Cooper, un conseiller de M. Solana a été reporté de quelques jours, a déclaré hier une source au Conseil suprême de la sécurité nationale. La rencontre entre Javad Vaïdi et Robert Cooper, qui était prévue hier , devait servir à fixer une date pour des entretiens entre MM. Jalili et Solana. M. Solana a émis l'espoir que les négociateurs iraniens sur le nucléaire «trouveraient le temps» de le rencontrer cette semaine, avant le rapport qu'il doit faire fin novembre aux six grandes puissances sur la volonté de Téhéran ou pas de considérer leur offre à Téhéran. Le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) a demandé depuis juin 2006 à l'Iran de suspendre son enrichissement d'uranium en échange d'une coopération politique et économique. Téhéran a refusé, et le groupe a annoncé fin septembre qu'une troisième résolution incluant des sanctions serait soumise à l'approbation du Conseil de sécurité de l'ONU si les rapports de l'AIEA et de M. Solana «ne faisaient pas état d'un résultat positif de leurs efforts». L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a estimé jeudi passé, que l'Iran avait fait des «progrès substantiels» pour révéler la nature et l'étendue de son programme nucléaire controversé, mais que cela restait «insuffisant». Les Occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert de programme civil, ce que Téhéran dément. La rencontre entre le principal négociateur nucléaire iranien, Saïd Jalili, et le diplomate en chef européen, Javier Solana, aura lieu la semaine prochaine, a déclaré hier, un responsable du bureau de M. Jalili. «La rencontre aura lieu la semaine prochaine, mais le jour exact et le lieu de la rencontre ne sont pas encore fixés», a déclaré ce responsable. Une rencontre prévue à Rome entre Javad Vaïdi, un adjoint de M. Jalili, et Robert Cooper, un conseiller de M. Solana a été reporté de quelques jours, a déclaré hier une source au Conseil suprême de la sécurité nationale. La rencontre entre Javad Vaïdi et Robert Cooper, qui était prévue hier , devait servir à fixer une date pour des entretiens entre MM. Jalili et Solana. M. Solana a émis l'espoir que les négociateurs iraniens sur le nucléaire «trouveraient le temps» de le rencontrer cette semaine, avant le rapport qu'il doit faire fin novembre aux six grandes puissances sur la volonté de Téhéran ou pas de considérer leur offre à Téhéran. Le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) a demandé depuis juin 2006 à l'Iran de suspendre son enrichissement d'uranium en échange d'une coopération politique et économique. Téhéran a refusé, et le groupe a annoncé fin septembre qu'une troisième résolution incluant des sanctions serait soumise à l'approbation du Conseil de sécurité de l'ONU si les rapports de l'AIEA et de M. Solana «ne faisaient pas état d'un résultat positif de leurs efforts». L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a estimé jeudi passé, que l'Iran avait fait des «progrès substantiels» pour révéler la nature et l'étendue de son programme nucléaire controversé, mais que cela restait «insuffisant». Les Occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert de programme civil, ce que Téhéran dément.