1944 : IBRAHIM RUGOVA Naissance de cet écrivain kosovar de réputation internationale, diplômé de Lettres de la Sorbonne et Président élu et réélu (de 2002 jusqu'à sa mort, victime d'un cancer du poumon en 2006) du Kosovo indépendant (capitale Pristina). Surnommé le «Gandhi des Balkans» pour son choix de la non-violence face à la répression, il a incarné la lutte des Albanophones contre la présence et l'occupation des Serbes. 1981 : BRITNEY (JEAN) SPEAR Née dans l'Etat du Mississipi, cette chanteuse, danseuse, actrice et compositrice américaine connue du monde entier aurait vendu plus de 80 millions de disques. Elle devient célèbre lorsque son titre «Baby, one more time», classé N°1, est vendu en single et album à près de 30 millions d'exemplaires. Sa vie personnelle tumultueuse lui fait partager celle de Justin Timberlake (entre 1998 et 2002) puis celle d'un «ami» en janvier 2004, pour un mariage qui a duré à peine plus de deux jours, avant d'épouser son danseur Federline en novembre, donne la vie à deux reprises puis divorce en fin 2006 en disputant à leur père la garde des enfants. Se raser le crâne, suivre des cures de désintoxication ou multiplier les démêlés avec la justice et les photographes de presse servent à alimenter les rubriques people qui s'en donnent à cœur joie…jusqu'à ce que ça casse. 1984 : CHEIKH EL ARBAOUI Mort par le diabète (à l'âge de 72 ans) de ce membre de l'association des oulémas, initié à l'exégèse et aux fondements du fiqh dans la zaouia de sidi Mehdi, où il enseigne par la suite ainsi qu'en divers quartiers d'Alger avant d'être arrêté par l'occupant en 1955. Libéré en 1961, ce natif de Sidi Aïssa (wilaya de Msila) enseigne dans l'Algérie indépendante et mène par la suite des activités de prédication fortement radicalisée jusqu'à sa retraite en 1975 en livrant un dernier «combat», deux années plus tard, pour l'interdiction de la pièce «Mohamed, prends ta valise» de Kateb Yacine. 1993 : PABLO ESCOBAR Tué ce jour à Medellin, sa ville natale (où il est né un 1er décembre 1949). Trafiquant notoire de cocaïne, sa fortune (estimée à environ 4 milliards de dollars déposés dans une banque privée en Suisse et au Panama) lui avait permis de forcer l'admiration des pauvres en faisant construire des routes, des centaines de maisons et des hôpitaux. A partir de 1984, il terrorise son pays, la Colombie, par des assassinats de juges, policiers, journalistes et hommes politiques grâce à ses milliers de tueurs de la pire espèce et même l'armée colombienne ne peut s'emparer de lui malgré les 510 morts que fera l'assaut militaire lorsqu'elle cerne son siège en avril 1990. Ayant accepté de se rendre en 1991, il s'évade de prison l'année suivante et six millions $ sont alors offerts comme récompense pour sa capture. Sa mort est finalement le résultat d'une longue opération secrète et combinée des services fédéraux de sécurité américains (CIA, DEA, FBI et NSA) et a coûté plusieurs dizaines de millions de dollars aux Etats-Unis. 1944 : IBRAHIM RUGOVA Naissance de cet écrivain kosovar de réputation internationale, diplômé de Lettres de la Sorbonne et Président élu et réélu (de 2002 jusqu'à sa mort, victime d'un cancer du poumon en 2006) du Kosovo indépendant (capitale Pristina). Surnommé le «Gandhi des Balkans» pour son choix de la non-violence face à la répression, il a incarné la lutte des Albanophones contre la présence et l'occupation des Serbes. 1981 : BRITNEY (JEAN) SPEAR Née dans l'Etat du Mississipi, cette chanteuse, danseuse, actrice et compositrice américaine connue du monde entier aurait vendu plus de 80 millions de disques. Elle devient célèbre lorsque son titre «Baby, one more time», classé N°1, est vendu en single et album à près de 30 millions d'exemplaires. Sa vie personnelle tumultueuse lui fait partager celle de Justin Timberlake (entre 1998 et 2002) puis celle d'un «ami» en janvier 2004, pour un mariage qui a duré à peine plus de deux jours, avant d'épouser son danseur Federline en novembre, donne la vie à deux reprises puis divorce en fin 2006 en disputant à leur père la garde des enfants. Se raser le crâne, suivre des cures de désintoxication ou multiplier les démêlés avec la justice et les photographes de presse servent à alimenter les rubriques people qui s'en donnent à cœur joie…jusqu'à ce que ça casse. 1984 : CHEIKH EL ARBAOUI Mort par le diabète (à l'âge de 72 ans) de ce membre de l'association des oulémas, initié à l'exégèse et aux fondements du fiqh dans la zaouia de sidi Mehdi, où il enseigne par la suite ainsi qu'en divers quartiers d'Alger avant d'être arrêté par l'occupant en 1955. Libéré en 1961, ce natif de Sidi Aïssa (wilaya de Msila) enseigne dans l'Algérie indépendante et mène par la suite des activités de prédication fortement radicalisée jusqu'à sa retraite en 1975 en livrant un dernier «combat», deux années plus tard, pour l'interdiction de la pièce «Mohamed, prends ta valise» de Kateb Yacine. 1993 : PABLO ESCOBAR Tué ce jour à Medellin, sa ville natale (où il est né un 1er décembre 1949). Trafiquant notoire de cocaïne, sa fortune (estimée à environ 4 milliards de dollars déposés dans une banque privée en Suisse et au Panama) lui avait permis de forcer l'admiration des pauvres en faisant construire des routes, des centaines de maisons et des hôpitaux. A partir de 1984, il terrorise son pays, la Colombie, par des assassinats de juges, policiers, journalistes et hommes politiques grâce à ses milliers de tueurs de la pire espèce et même l'armée colombienne ne peut s'emparer de lui malgré les 510 morts que fera l'assaut militaire lorsqu'elle cerne son siège en avril 1990. Ayant accepté de se rendre en 1991, il s'évade de prison l'année suivante et six millions $ sont alors offerts comme récompense pour sa capture. Sa mort est finalement le résultat d'une longue opération secrète et combinée des services fédéraux de sécurité américains (CIA, DEA, FBI et NSA) et a coûté plusieurs dizaines de millions de dollars aux Etats-Unis.