L'Algérie compte plus de 600.000 personnes handicapées, dont le type de handicap n'a pas été déterminé. En vue de procéder au recensement de cette catégorie, une enquête nationale a été lancée. C'est ce qui a été relevé, hier, au ministère de la Solidarité nationale, lors de l'ouverture des journées d'étude sur le rôle et le fonctionnement des comités locaux de solidarité et des bureaux communaux de l'action sociale. A cette occasion, le secrétaire général du ministère de la Solidarité nationale, Abdallah Bouchenak, a annoncé le lancement prochain par son département d'une enquête nationale approfondie sur les personnes handicapées en Algérie dont le nombre s'élève à « plus de 1.752.000 handicapés ». Cette enquête, précise Bouchenak, s'avère nécessaire d'autant plus que « le type de handicap chez un grand nombre de personnes handicapées n'a pas été encore déterminé ». Evoquant le nouveau plan élaboré par le ministère de la Solidarité nationale, Bouchenak a annoncé la création d'une direction générale pour la catégorie des handicapés et d'une autre direction pour « la cohésion sociale ». Le rôle de ces dernières, explique l'intervenant, consiste dans la prise en charge des catégories vulnérables de la société, notamment des enfants et des adolescents confrontés à des difficultés sociales, des familles nécessiteuses et des personnes âgées. En outre, les travaux de ces deux journées d'étude se poursuivront au niveau de trois ateliers thématiques. Ils engageront des réflexions sur les mécanismes de coordination entre les commissions locales de solidarité et les bureaux communaux de l'action sociale dans le cadre de la nouvelle stratégie du secteur, la mise en place d'un réseau de communication et d'échange d'informations sur les activités des bureaux communaux, des cellules de proximité et des commissions locales de solidarité, la coordination entre les différents ministères concernés en vue d'enrichir le concept de la solidarité et de la cohésion sociale, notamment dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, et la mise en œuvre de la Charte pour la réconciliation nationale. L'Algérie compte plus de 600.000 personnes handicapées, dont le type de handicap n'a pas été déterminé. En vue de procéder au recensement de cette catégorie, une enquête nationale a été lancée. C'est ce qui a été relevé, hier, au ministère de la Solidarité nationale, lors de l'ouverture des journées d'étude sur le rôle et le fonctionnement des comités locaux de solidarité et des bureaux communaux de l'action sociale. A cette occasion, le secrétaire général du ministère de la Solidarité nationale, Abdallah Bouchenak, a annoncé le lancement prochain par son département d'une enquête nationale approfondie sur les personnes handicapées en Algérie dont le nombre s'élève à « plus de 1.752.000 handicapés ». Cette enquête, précise Bouchenak, s'avère nécessaire d'autant plus que « le type de handicap chez un grand nombre de personnes handicapées n'a pas été encore déterminé ». Evoquant le nouveau plan élaboré par le ministère de la Solidarité nationale, Bouchenak a annoncé la création d'une direction générale pour la catégorie des handicapés et d'une autre direction pour « la cohésion sociale ». Le rôle de ces dernières, explique l'intervenant, consiste dans la prise en charge des catégories vulnérables de la société, notamment des enfants et des adolescents confrontés à des difficultés sociales, des familles nécessiteuses et des personnes âgées. En outre, les travaux de ces deux journées d'étude se poursuivront au niveau de trois ateliers thématiques. Ils engageront des réflexions sur les mécanismes de coordination entre les commissions locales de solidarité et les bureaux communaux de l'action sociale dans le cadre de la nouvelle stratégie du secteur, la mise en place d'un réseau de communication et d'échange d'informations sur les activités des bureaux communaux, des cellules de proximité et des commissions locales de solidarité, la coordination entre les différents ministères concernés en vue d'enrichir le concept de la solidarité et de la cohésion sociale, notamment dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, et la mise en œuvre de la Charte pour la réconciliation nationale.