Le siège du HCR et l'immeuble abritant les bureaux de l'annexe du Programme des nations Unies pour le développement (PNUD) ont été gravement atteints par le souffle de l'explosion. Un grand nombre de personnes étaient encore ensevelies sous les décombres, quelques heures après la déflagration. Le siège du HCR et l'immeuble abritant les bureaux de l'annexe du Programme des nations Unies pour le développement (PNUD) ont été gravement atteints par le souffle de l'explosion. Un grand nombre de personnes étaient encore ensevelies sous les décombres, quelques heures après la déflagration. La grande quantité d'explosif utilisé était dissimulée dans un camion-citerne de 2.000 litres, conduit par un Kamikaze, selon des sources policières. On dénomre plusieurs morts et blessés parmi les employés du HCR, le voisinage et élèves des écoles avoisinantes C'est vers les coups de 10h00 du matin soit quelques minutes après l'attentat ayant visé le siège du conseil constitutionnel, à Ben Aknoun, que le siège du Haut Commissariat aux Réfugiés de l'Organisation des Nations Unies (UN-HCR), sis à la rue Parmentier à Hydra, a été ciblé par un attentat au camion piégé. Selon les premières informations que nous avons pu recueillir auprès de témoins oculaires et résidentes non loin du lieu de l'attentat, « deux terroristes auraient immobilisé le policier en faction à l'aide d'une arme à feu afin que ce dernier ne puisse donner l'alerte, ce qui aurait permis au Kamikaze qui conduisait le camion-citerne de foncer droit sur l'édifice onusien». Les immeubles situés aux alentours, ainsi que les deux écoles, Fatma N'Soumer et les Frères Ouabed ont été, elles, gravement endommagées. Plusieurs enfants ont été légèrement blessés par les éclats des vitres et évacués vers les hôpitaux et centres de santé. Le siège du HCR et l'immeuble abritant les bureaux de l'annexe du Programme des nations Unies pour le développement (PNUD) ont été gravement atteints par le souffle de l'explosion. Un grand nombre de personnes étaient encore ensevelies sous les décombres, quelques heures après la déflagration. Devant la gravité de la situation, et pendant que les brigades canines de la Protection civile effectuaient des recherches, les services de sécurité, ont procédé au bouclage hermétique des lieux du drame, rendant très difficile le travail des reporters de presse. « Nous supposons la présence d'autres bombes sur les lieux », nous lance un policier le visage livide. Tous les véhicules stationnés dans le périmètre de sécurité ainsi dégagé étaient passés au peigne fin par les artificiers. Le dispositif était également hermétique aux personnes résidentes à proximité. « Mes enfants sont encore à la maison et les policiers ne me permettent pas de passer », clame une femme en pleurs. Les ambulanciers, mobilisés en grand nombre, donnaient les premiers soins aux dizaines de blessés avant leur évacuation. Sur les lieux de l'attentat, une grande panique s'est emparée de la population mais également des services de sécurité. Les liaisons téléphoniques sont impossibles. Un policier en civil très affairé, nous dira au passage que « l'attentat de Hydra de même que celui du conseil constitutionnel sont l'œuvre de Kamikazes ». Sur le terrain, des éléments de la police scientifique, déployés aussitôt sur les lieux, effectuaient des prélèvements d'indices, et d'autres de la Protection civile, à l'aide d'outillages spécialisés, tentaient de sauver les victimes coincées sous des tonnes de béton et d'acier. Selon un bilan approximatif établi sur place, suite à des recoupements, une source ayant requis l'anonymat faisait état « d'une quinzaines de morts et plusieurs centaines de blessés, dont une infime partie est atteint gravement ». Le maire de Hydra que nous avons rencontré sur les lieux du drame, nous annonce, lui, une douzaine de victimes, dont cinq ressortissants étrangers travaillant pour le compte de l'organisme onusien ciblé par cet odieux attentat. La grande quantité d'explosif utilisé était dissimulée dans un camion-citerne de 2.000 litres, conduit par un Kamikaze, selon des sources policières. On dénomre plusieurs morts et blessés parmi les employés du HCR, le voisinage et élèves des écoles avoisinantes C'est vers les coups de 10h00 du matin soit quelques minutes après l'attentat ayant visé le siège du conseil constitutionnel, à Ben Aknoun, que le siège du Haut Commissariat aux Réfugiés de l'Organisation des Nations Unies (UN-HCR), sis à la rue Parmentier à Hydra, a été ciblé par un attentat au camion piégé. Selon les premières informations que nous avons pu recueillir auprès de témoins oculaires et résidentes non loin du lieu de l'attentat, « deux terroristes auraient immobilisé le policier en faction à l'aide d'une arme à feu afin que ce dernier ne puisse donner l'alerte, ce qui aurait permis au Kamikaze qui conduisait le camion-citerne de foncer droit sur l'édifice onusien». Les immeubles situés aux alentours, ainsi que les deux écoles, Fatma N'Soumer et les Frères Ouabed ont été, elles, gravement endommagées. Plusieurs enfants ont été légèrement blessés par les éclats des vitres et évacués vers les hôpitaux et centres de santé. Le siège du HCR et l'immeuble abritant les bureaux de l'annexe du Programme des nations Unies pour le développement (PNUD) ont été gravement atteints par le souffle de l'explosion. Un grand nombre de personnes étaient encore ensevelies sous les décombres, quelques heures après la déflagration. Devant la gravité de la situation, et pendant que les brigades canines de la Protection civile effectuaient des recherches, les services de sécurité, ont procédé au bouclage hermétique des lieux du drame, rendant très difficile le travail des reporters de presse. « Nous supposons la présence d'autres bombes sur les lieux », nous lance un policier le visage livide. Tous les véhicules stationnés dans le périmètre de sécurité ainsi dégagé étaient passés au peigne fin par les artificiers. Le dispositif était également hermétique aux personnes résidentes à proximité. « Mes enfants sont encore à la maison et les policiers ne me permettent pas de passer », clame une femme en pleurs. Les ambulanciers, mobilisés en grand nombre, donnaient les premiers soins aux dizaines de blessés avant leur évacuation. Sur les lieux de l'attentat, une grande panique s'est emparée de la population mais également des services de sécurité. Les liaisons téléphoniques sont impossibles. Un policier en civil très affairé, nous dira au passage que « l'attentat de Hydra de même que celui du conseil constitutionnel sont l'œuvre de Kamikazes ». Sur le terrain, des éléments de la police scientifique, déployés aussitôt sur les lieux, effectuaient des prélèvements d'indices, et d'autres de la Protection civile, à l'aide d'outillages spécialisés, tentaient de sauver les victimes coincées sous des tonnes de béton et d'acier. Selon un bilan approximatif établi sur place, suite à des recoupements, une source ayant requis l'anonymat faisait état « d'une quinzaines de morts et plusieurs centaines de blessés, dont une infime partie est atteint gravement ». Le maire de Hydra que nous avons rencontré sur les lieux du drame, nous annonce, lui, une douzaine de victimes, dont cinq ressortissants étrangers travaillant pour le compte de l'organisme onusien ciblé par cet odieux attentat.