Les deux attentats de la capitale ont fait réagir la classe politique. Dans un communiqué, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), tout en s'inclinant devant la mémoire des victimes, condamne « ces actes barbares » et assure la famille des victimes de son entière solidarité. « Ces nouvelles victimes viennent rappeler que la sauvegarde de la Nation est une entreprise plus que jamais d'actualité. Elle appelle vigilance et mobilisation des citoyens, clarté des positions et détermination dans l'engagement des responsables », note le communiqué, ajoutant que le RCD demeure toujours persuadé que les avancées socioéconomiques et la crédibilité institutionnelle sont les meilleures garanties contre les périls qui accablent notre pays. Lui emboîtant le pas, le parti des travailleurs (PT), condamne les attentats, les qualifiants d'ignobles sans omettre d'appeler « à la mobilisation » pour faire barrage aux « ennemis » du pays. L'objectif de l'attentat perpétré contre l'institution de l'ONU « répond à une stratégie de ces criminels pour tenter d'internationaliser les événements vécu par notre pays ». En réponse aux propos des autorités sur la démobilisation des citoyens, le PT s'interroge : « Comment mobiliser la rue à nouveau contre le terrorisme, au moment où les autorités gèrent cette question avec ambiguïté ? Le terrorisme profite de toutes les défaillances pour reprendre du terrain et frapper … Un sursaut national est capital. Il ne peut s'appuyer que sur une nouvelle dynamique politique qui combat l'immobilisme, le renoncement et toutes formes de faiblesse », conclut le communiqué. De son côté, le Front de libération nationale (FLN) a exprimé sa vive indignation et condamné avec fermeté l'acte terroriste, œuvre « des forces du mal qui ne veulent pas que l'Algérie vive dans la sécurité et la stabilité et que notre peuple accède au progrès et à la prospérité ». Le plus vieux parti du paysage politique algérien souligne que ceux qui « pratiquent le terrorisme et tuent des citoyens sont un groupe de mercenaires et des ennemis de la nation et du pays qui ont choisi les fêtes nationales et religieuses pour frapper, tuer et détruire. Ils n'atteindront pas leurs visées qui sont, l'anarchie et le trouble ». Son partenaire de l'Alliance, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), dénonce ces attentats les qualifiant d'actes « lâches et ignobles dont les instigateurs n'ont aucun avenir » soulignant «que cela ne fait que dévoiler leurs plans et desseins devant l'opinion nationale et internationale». Pour sa part, le Rassemblement national démocratique (RND) a indiqué que les deux attentats perpétrés à Alger appellent à « la vigilance et à la mobilisation de tous les citoyens et interpellent les responsables quant à la nécessité davantage de rigueur tout en soulignant l'impératif d'une coopération régionale et internationale claire et honnête entre les pays concernés par la lutte antiterroriste ». Après s'être recueilli à la mémoire des victimes, le RND a exprimé son entière « solidarité » avec leurs familles. Le front national algérien (FNA), quant à lui, condamne cet acte qui « vise la déstabilisation de l'Etat et à semer la peur et la haine entre les Algériens ». Pour le FNA, les attentats de la capitale ont pour objectif la « prolongation des lois d'exception et la poursuite de la démoralisation du peuple dans la réappropriation de ses droits dans l'exercice de sa souveraineté ». Le mouvement Ennahda a dénoncé de son côté cet acte criminel qui fait fi « de la religion, de la morale et des mois sacrés » appelant tous les enfants de la nation à « une coopération sérieuse et à la mobilisation de tous les moyens afin de parvenir à une stabilité politique et sécuritaire durables ». Les deux attentats de la capitale ont fait réagir la classe politique. Dans un communiqué, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), tout en s'inclinant devant la mémoire des victimes, condamne « ces actes barbares » et assure la famille des victimes de son entière solidarité. « Ces nouvelles victimes viennent rappeler que la sauvegarde de la Nation est une entreprise plus que jamais d'actualité. Elle appelle vigilance et mobilisation des citoyens, clarté des positions et détermination dans l'engagement des responsables », note le communiqué, ajoutant que le RCD demeure toujours persuadé que les avancées socioéconomiques et la crédibilité institutionnelle sont les meilleures garanties contre les périls qui accablent notre pays. Lui emboîtant le pas, le parti des travailleurs (PT), condamne les attentats, les qualifiants d'ignobles sans omettre d'appeler « à la mobilisation » pour faire barrage aux « ennemis » du pays. L'objectif de l'attentat perpétré contre l'institution de l'ONU « répond à une stratégie de ces criminels pour tenter d'internationaliser les événements vécu par notre pays ». En réponse aux propos des autorités sur la démobilisation des citoyens, le PT s'interroge : « Comment mobiliser la rue à nouveau contre le terrorisme, au moment où les autorités gèrent cette question avec ambiguïté ? Le terrorisme profite de toutes les défaillances pour reprendre du terrain et frapper … Un sursaut national est capital. Il ne peut s'appuyer que sur une nouvelle dynamique politique qui combat l'immobilisme, le renoncement et toutes formes de faiblesse », conclut le communiqué. De son côté, le Front de libération nationale (FLN) a exprimé sa vive indignation et condamné avec fermeté l'acte terroriste, œuvre « des forces du mal qui ne veulent pas que l'Algérie vive dans la sécurité et la stabilité et que notre peuple accède au progrès et à la prospérité ». Le plus vieux parti du paysage politique algérien souligne que ceux qui « pratiquent le terrorisme et tuent des citoyens sont un groupe de mercenaires et des ennemis de la nation et du pays qui ont choisi les fêtes nationales et religieuses pour frapper, tuer et détruire. Ils n'atteindront pas leurs visées qui sont, l'anarchie et le trouble ». Son partenaire de l'Alliance, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), dénonce ces attentats les qualifiant d'actes « lâches et ignobles dont les instigateurs n'ont aucun avenir » soulignant «que cela ne fait que dévoiler leurs plans et desseins devant l'opinion nationale et internationale». Pour sa part, le Rassemblement national démocratique (RND) a indiqué que les deux attentats perpétrés à Alger appellent à « la vigilance et à la mobilisation de tous les citoyens et interpellent les responsables quant à la nécessité davantage de rigueur tout en soulignant l'impératif d'une coopération régionale et internationale claire et honnête entre les pays concernés par la lutte antiterroriste ». Après s'être recueilli à la mémoire des victimes, le RND a exprimé son entière « solidarité » avec leurs familles. Le front national algérien (FNA), quant à lui, condamne cet acte qui « vise la déstabilisation de l'Etat et à semer la peur et la haine entre les Algériens ». Pour le FNA, les attentats de la capitale ont pour objectif la « prolongation des lois d'exception et la poursuite de la démoralisation du peuple dans la réappropriation de ses droits dans l'exercice de sa souveraineté ». Le mouvement Ennahda a dénoncé de son côté cet acte criminel qui fait fi « de la religion, de la morale et des mois sacrés » appelant tous les enfants de la nation à « une coopération sérieuse et à la mobilisation de tous les moyens afin de parvenir à une stabilité politique et sécuritaire durables ».