Les recherches d'éventuels corps sont arrêtées hier, à Hydra, où 13 employés de l'ONU ont été tués, car « Il y a peu de chance de retrouver des survivants, trois jours après l'attentat ». Les recherches d'éventuels corps sont arrêtées hier, à Hydra, où 13 employés de l'ONU ont été tués, car « Il y a peu de chance de retrouver des survivants, trois jours après l'attentat ». La liste des victimes des attentas de mardi dernier s'est allongée. Le dernier bilan communiqué par les services du ministère de l'Intérieur fait état de 37 morts et de plusieurs blessés. Les éléments de la Protection civile ont dégagé trois autres corps, jeudi soir, des décombres de l'édifice du HCR à Hydra, détruit par la déflagration. Pour rappel, quatre corps en vie ont été extirpés grâce au travail salutaire et la mobilisation spectaculaire des pompiers. A présent, les efforts se concentrent sur l'effacement des dernières traces du sinistre, où les éléments de la Protection civile en étroite collaboration avec toutes les parties concernées, s'affairent à évacuer les décombres et les détritus des différentes bâtisses effondrées. Les recherches d'éventuels corps sont arrêtées hier, à Hydra où 13 employés de l'ONU ont été tués, car « Il y a peu de chance de retrouver des survivants, trois jours après l'attentat », a déclaré à la radio le lieutenant Nacer Boucherifa, chef d'unité de la protection civile. Jeudi, le ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbes, a annoncé le relogement de 12 familles sinistrées par les attentats, à Ain Bénian. Ceci dit, les récents attentats terroristes, en plus des pertes humaines qu'ils ont occasionnées, ont provoqué des dégâts matériels très considérables. A Hydra, deux immeubles avoisinant le siège du Haut commissariat aux réfugiés (HCR), ont été sévèrement ébranlés par la déflagration et menacent de s'effondrer, selon les propos d'un responsable de la Protection civile de la capitale s'exprimant, hier, sur les ondes de la radio nationale. En outre, sur le plan de la prise en charge des blessés et autres victimes de ce double attentat terroriste, Djamel Ould Abbès a indiqué que « l'Etat prendra en charge toute personne présentant un handicap suite à ce double attentat dans le cadre de la loi relative à la prise en charge des victimes du terrorisme ». En plus du numéro vert 15-27 mis à la disposition des victimes, toujours dans le cadre de la solidarité, un suivi psychologique est assuré par la mobilisation de pas moins de 60 psychologues pour une prise en charge efficace des traumatisés et des victimes des attentats. Par ailleurs, la tristesse et la consternation marquent manifestement de leur empreinte la rue algéroise en ces journées glaciales, quelques jours après le triste souvenir du 11 décembre. La psychose et la suspicion sont également de mise, de crainte que d'autres attentats ne viennent encore faucher des vies humaines innocentes. Ces attentats rappellent avec amertume ceux perpétrés le 11 avril contre le Palais du gouvernement et le Commissariat de Bab Ezzouar, et celui contre une caserne de l'ANP le 11 juillet, mais aussi les années de sang et de terreur vécues par les populations durant la décennie rouge et dont les plaies se sont à peine cicatrisées. La liste des victimes des attentas de mardi dernier s'est allongée. Le dernier bilan communiqué par les services du ministère de l'Intérieur fait état de 37 morts et de plusieurs blessés. Les éléments de la Protection civile ont dégagé trois autres corps, jeudi soir, des décombres de l'édifice du HCR à Hydra, détruit par la déflagration. Pour rappel, quatre corps en vie ont été extirpés grâce au travail salutaire et la mobilisation spectaculaire des pompiers. A présent, les efforts se concentrent sur l'effacement des dernières traces du sinistre, où les éléments de la Protection civile en étroite collaboration avec toutes les parties concernées, s'affairent à évacuer les décombres et les détritus des différentes bâtisses effondrées. Les recherches d'éventuels corps sont arrêtées hier, à Hydra où 13 employés de l'ONU ont été tués, car « Il y a peu de chance de retrouver des survivants, trois jours après l'attentat », a déclaré à la radio le lieutenant Nacer Boucherifa, chef d'unité de la protection civile. Jeudi, le ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbes, a annoncé le relogement de 12 familles sinistrées par les attentats, à Ain Bénian. Ceci dit, les récents attentats terroristes, en plus des pertes humaines qu'ils ont occasionnées, ont provoqué des dégâts matériels très considérables. A Hydra, deux immeubles avoisinant le siège du Haut commissariat aux réfugiés (HCR), ont été sévèrement ébranlés par la déflagration et menacent de s'effondrer, selon les propos d'un responsable de la Protection civile de la capitale s'exprimant, hier, sur les ondes de la radio nationale. En outre, sur le plan de la prise en charge des blessés et autres victimes de ce double attentat terroriste, Djamel Ould Abbès a indiqué que « l'Etat prendra en charge toute personne présentant un handicap suite à ce double attentat dans le cadre de la loi relative à la prise en charge des victimes du terrorisme ». En plus du numéro vert 15-27 mis à la disposition des victimes, toujours dans le cadre de la solidarité, un suivi psychologique est assuré par la mobilisation de pas moins de 60 psychologues pour une prise en charge efficace des traumatisés et des victimes des attentats. Par ailleurs, la tristesse et la consternation marquent manifestement de leur empreinte la rue algéroise en ces journées glaciales, quelques jours après le triste souvenir du 11 décembre. La psychose et la suspicion sont également de mise, de crainte que d'autres attentats ne viennent encore faucher des vies humaines innocentes. Ces attentats rappellent avec amertume ceux perpétrés le 11 avril contre le Palais du gouvernement et le Commissariat de Bab Ezzouar, et celui contre une caserne de l'ANP le 11 juillet, mais aussi les années de sang et de terreur vécues par les populations durant la décennie rouge et dont les plaies se sont à peine cicatrisées.