Le pont enjambant l'oued Beni Messous et reliant Ain-Benian à Staoueli dans l'ouest d'Alger, a été rouvert, hier, à la circulation. Présent sur le site, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a insisté sur la nécessité de canaliser les eaux de l'oued Beni Messous afin d'éviter d'autres dégâts provoqués par des débordements de cet oued en cas d'intempéries, d'autant plus que le sol de cette région n'est pas solide (sablonneux). 18 jours ont été nécessaires pour la réalisation de cette infrastructure qui a remplacé, faut-il le rappeler, le pont qui a été détruit par les inondations de novembre 2001. Pour rappel, cet ouvrage d'art s'est affaissé, suite aux crues dues à l'abondance des pluies qui se sont abattues sur l'Algérois. Ce pont, jouxtant la nouvelle station d'épuration des eaux usées, érigée sur l'oued Beni-Messous, a suscité une vive polémique, après les déclarations du Chef du gouvernement et du directeur des travaux publics de la wilaya d'Alger. Ces responsables ont ainsi expliqué que l'ouvrage de Aïn-Bénian n'était, en fait, pas un pont mais une réalisation provisoire destinée à relier les deux côtés de la route. Il a été ainsi réalisé suite aux importantes inondations enregistrées en novembre 2001 : «A l'époque, toutes les voies menant au centre de la capitale du côté de Bab-El-Oued étaient fermées et il fallait au plus vite rétablir la circulation du côté de Aïn-Bénian. Nous avions, à cet effet, réalisé l'infrastructure provisoire, c'est-à-dire ce qu'on appelle un passage busé en vingt jours et dans l'extrême urgence. Elle devait être remplacée par la suite.» L'ouvrage, une fois terminé, sera dédoublé et la route sera surélevée de trois mètres. Ceci alors que le pont provisoire servira par la suite en cas d'urgence, avait alors expliqué le DTP d'Alger. Lors de sa descente à Alger, le ministre a également visité le projet du carrefour de Ain-Allah où il a, comme d'habitude, déploré le retard accusé dans les travaux de réalisation. Ghoul a sommé les responsables du projet, à savoir l'Entreprise nationale des grands ouvrages d'art (ENGOA), de rattraper les retards pour livrer cette importante infrastructure avant la fin du mois, faute de quoi, a-t-il ajouté, « des sanctions sévères seront prises à l'encontre de cette entreprise ». Composé d'un pont et d'une trémie reliant Beni-Messous à El Achour, le projet du carrefour de Ain Allah devait être partiellement ouvert à la circulation en octobre dernier. Mais les responsables de l'ENGOA ont imputé ce retard aux études techniques effectuées par un autre opérateur, et qui sont toujours, d'après eux, «à la traîne». Le pont enjambant l'oued Beni Messous et reliant Ain-Benian à Staoueli dans l'ouest d'Alger, a été rouvert, hier, à la circulation. Présent sur le site, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a insisté sur la nécessité de canaliser les eaux de l'oued Beni Messous afin d'éviter d'autres dégâts provoqués par des débordements de cet oued en cas d'intempéries, d'autant plus que le sol de cette région n'est pas solide (sablonneux). 18 jours ont été nécessaires pour la réalisation de cette infrastructure qui a remplacé, faut-il le rappeler, le pont qui a été détruit par les inondations de novembre 2001. Pour rappel, cet ouvrage d'art s'est affaissé, suite aux crues dues à l'abondance des pluies qui se sont abattues sur l'Algérois. Ce pont, jouxtant la nouvelle station d'épuration des eaux usées, érigée sur l'oued Beni-Messous, a suscité une vive polémique, après les déclarations du Chef du gouvernement et du directeur des travaux publics de la wilaya d'Alger. Ces responsables ont ainsi expliqué que l'ouvrage de Aïn-Bénian n'était, en fait, pas un pont mais une réalisation provisoire destinée à relier les deux côtés de la route. Il a été ainsi réalisé suite aux importantes inondations enregistrées en novembre 2001 : «A l'époque, toutes les voies menant au centre de la capitale du côté de Bab-El-Oued étaient fermées et il fallait au plus vite rétablir la circulation du côté de Aïn-Bénian. Nous avions, à cet effet, réalisé l'infrastructure provisoire, c'est-à-dire ce qu'on appelle un passage busé en vingt jours et dans l'extrême urgence. Elle devait être remplacée par la suite.» L'ouvrage, une fois terminé, sera dédoublé et la route sera surélevée de trois mètres. Ceci alors que le pont provisoire servira par la suite en cas d'urgence, avait alors expliqué le DTP d'Alger. Lors de sa descente à Alger, le ministre a également visité le projet du carrefour de Ain-Allah où il a, comme d'habitude, déploré le retard accusé dans les travaux de réalisation. Ghoul a sommé les responsables du projet, à savoir l'Entreprise nationale des grands ouvrages d'art (ENGOA), de rattraper les retards pour livrer cette importante infrastructure avant la fin du mois, faute de quoi, a-t-il ajouté, « des sanctions sévères seront prises à l'encontre de cette entreprise ». Composé d'un pont et d'une trémie reliant Beni-Messous à El Achour, le projet du carrefour de Ain Allah devait être partiellement ouvert à la circulation en octobre dernier. Mais les responsables de l'ENGOA ont imputé ce retard aux études techniques effectuées par un autre opérateur, et qui sont toujours, d'après eux, «à la traîne».