La quatrième édition des journées internationales du film d'animation prévoit aussi, en marge des projections, des rencontres entre professionnels. La première est consacrée à l'usage de la langue dans le cinéma d'animation. La quatrième édition des journées internationales du film d'animation prévoit aussi, en marge des projections, des rencontres entre professionnels. La première est consacrée à l'usage de la langue dans le cinéma d'animation. Les 22, 23 et 24 décembre prochains, Alger accueillera la quatrième édition des Journées internationales du film d'animation d'Alger à la salle Ibn Zeydoun. Même si les précédentes éditions sont passées, presque, inaperçues, il s'avère que cette année, le ministère de la Culture, en partenariat avec l'association culturelle Patrimoine, MD Ciné et l'ambassade de France en Algérie, la délégation Wallonie Bruxelles, TV5 Monde, Unifrance et MediAlgérie, a fait des efforts considérables pour préparer la quatrième édition des journées internationales du film d'animation. M. Mohamed Meziani, commissaire des JIFAA nous a confié que «des professionnels, algériens, tunisiens, marocains, français et belges, sont attendus à cette quatrième édition.», ajoutant «comme chaque année, les JIFAA dédiées lors de cette édition au film d'animation maghrébin.» Le programme des projections est incontestablement de qualité, car il contient des chefs-d'œuvre récents, On citera «Persépolis» de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (prix du Jury au dernier Festival de Cannes), «Le naufrage de Carthage» en présence du réalisateur Abdelkrim Belhadi, «Azur et Asmar» réalisé en arabe et en français, et sera présenté par son réalisateur Michel Ocelot et de la comédienne Hiam Abbas, «Renaissance» de Christian Volckman, la toute dernière réalisation du Tunisien Mohamed Houcine Grayaa, intitulée «L'Enfant roi» (animation ombre chinoise), et enfin «une sélection de l'association Patrimoine, en présence des réalisateurs et de Mohamed Aram, un pionnier du film d'animation en Algérie» déclare M. Meziani. La quatrième édition des journées internationales du film d'animation, prévoit aussi en marge des projections, des rencontres entre professionnels. La première est consacrée à l'usage de la langue dans le cinéma d'animation. Le débat sera animé par l'actrice Hiam Abbas et Zina Berrahal de TV5Monde. La seconde rencontre animée par Olivier Catherin et en présence de Slim et de Mohamed Sancho a trait à l'histoire du cinéma d'animation au Maghreb. Il est également prévu des ateliers pédagogiques, animés par des spécialistes confirmés, qui seront consacrés à la réalisation de story-board (communément dénommé scénarimage). Cet atelier retiendra l'attention, car destiné aux professionnels, pour les aider à élaboration des story-board, en respectant les normes internationales des studios de film d'animation. Aussi, différentes intervenants viendront nous éclairer sur le film d'animation. M. Meziani déclare que «l'Algérie sera représentée par Tewfik Fadel (président de l'association Patrimoine), son atelier comportera plusieurs projections. Tewfik Fadel ira chercher dès le début des années quatre-vingt et jusqu'en 2007, les créations algériennes, comme «Le train de Bouzid» (Slim), «La cigale et la fourmi » (Matelh Abdellatif), «Lie» (Chihab Khaled), ou encore «Krash (Zakour Kamel), «Kallila oua Dimna» et le récent «Numedia», des créations des membres de l'association Patrimoine». Pour sa part, la Tunisie représentée par Florence Pisher (directrice de production à Audimage), mettra en exergue les caractéristiques du cinéma d'animation tunisien. Tandis que le Marocain Mohamed Beyoud, (directeur artistique du Festival international du cinéma d'animation de Meknès) parlera plus des films produits au Maroc. D'autre part, la Belgique sera représentée par Vincent Gilot, qui débattra, en enchaînant des films, des particularités du film d'animation. La France présentera des débats animés par trois écoles : les Gobelins, une école d'enseignement supérieur, spécialisée dans le multimédia, la communication graphique et le cinéma d'animation. Les 22, 23 et 24 décembre prochains, Alger accueillera la quatrième édition des Journées internationales du film d'animation d'Alger à la salle Ibn Zeydoun. Même si les précédentes éditions sont passées, presque, inaperçues, il s'avère que cette année, le ministère de la Culture, en partenariat avec l'association culturelle Patrimoine, MD Ciné et l'ambassade de France en Algérie, la délégation Wallonie Bruxelles, TV5 Monde, Unifrance et MediAlgérie, a fait des efforts considérables pour préparer la quatrième édition des journées internationales du film d'animation. M. Mohamed Meziani, commissaire des JIFAA nous a confié que «des professionnels, algériens, tunisiens, marocains, français et belges, sont attendus à cette quatrième édition.», ajoutant «comme chaque année, les JIFAA dédiées lors de cette édition au film d'animation maghrébin.» Le programme des projections est incontestablement de qualité, car il contient des chefs-d'œuvre récents, On citera «Persépolis» de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (prix du Jury au dernier Festival de Cannes), «Le naufrage de Carthage» en présence du réalisateur Abdelkrim Belhadi, «Azur et Asmar» réalisé en arabe et en français, et sera présenté par son réalisateur Michel Ocelot et de la comédienne Hiam Abbas, «Renaissance» de Christian Volckman, la toute dernière réalisation du Tunisien Mohamed Houcine Grayaa, intitulée «L'Enfant roi» (animation ombre chinoise), et enfin «une sélection de l'association Patrimoine, en présence des réalisateurs et de Mohamed Aram, un pionnier du film d'animation en Algérie» déclare M. Meziani. La quatrième édition des journées internationales du film d'animation, prévoit aussi en marge des projections, des rencontres entre professionnels. La première est consacrée à l'usage de la langue dans le cinéma d'animation. Le débat sera animé par l'actrice Hiam Abbas et Zina Berrahal de TV5Monde. La seconde rencontre animée par Olivier Catherin et en présence de Slim et de Mohamed Sancho a trait à l'histoire du cinéma d'animation au Maghreb. Il est également prévu des ateliers pédagogiques, animés par des spécialistes confirmés, qui seront consacrés à la réalisation de story-board (communément dénommé scénarimage). Cet atelier retiendra l'attention, car destiné aux professionnels, pour les aider à élaboration des story-board, en respectant les normes internationales des studios de film d'animation. Aussi, différentes intervenants viendront nous éclairer sur le film d'animation. M. Meziani déclare que «l'Algérie sera représentée par Tewfik Fadel (président de l'association Patrimoine), son atelier comportera plusieurs projections. Tewfik Fadel ira chercher dès le début des années quatre-vingt et jusqu'en 2007, les créations algériennes, comme «Le train de Bouzid» (Slim), «La cigale et la fourmi » (Matelh Abdellatif), «Lie» (Chihab Khaled), ou encore «Krash (Zakour Kamel), «Kallila oua Dimna» et le récent «Numedia», des créations des membres de l'association Patrimoine». Pour sa part, la Tunisie représentée par Florence Pisher (directrice de production à Audimage), mettra en exergue les caractéristiques du cinéma d'animation tunisien. Tandis que le Marocain Mohamed Beyoud, (directeur artistique du Festival international du cinéma d'animation de Meknès) parlera plus des films produits au Maroc. D'autre part, la Belgique sera représentée par Vincent Gilot, qui débattra, en enchaînant des films, des particularités du film d'animation. La France présentera des débats animés par trois écoles : les Gobelins, une école d'enseignement supérieur, spécialisée dans le multimédia, la communication graphique et le cinéma d'animation.