Votre enfant passe la totalité de son temps figé devant son ordinateur en s'adonnant à son loisir favori : les jeux vidéo. Vous ne semblez pas satisfaite de son comportement, mais vous n'arrivez pas à agir efficacement. Vous préférez qu'il reste mobilisé devant son micro que de fréquenter la rue. Et si vous découvrez que votre enfant court des risques bien plus graves que vous ne le croyez, vous réagirez comment ? L'influence néfaste de la dépendance aux jeux vidéo a été le sujet de nombreuses recherches scientifiques qui ont tenté de démontrer le lien préjudiciable entre ces derniers et le fonctionnement des jeunes au sein de la société. L'incidence d'une grande exposition au monde virtuel véhiculé par les jeux vidéo n'est pas moindre. Comme les jeux vidéo permettent une immersion plus ou moins complète dans un univers différent et relativement intime, ils sont souvent regardés avec une attention particulière. Ils plongent le jeune dans une autre dimension, celle du virtuel qui prend souvent, lors d'une surexposition, le dessus sur le réel. Le diagnostic de dépendance aux jeux vidéo ne peut être émit que si le fonctionnement social, professionnel, ou quotidien de la personne est altéré. Ceci dit, une personne qui s'adonne à des jeux vidéo de temps à autre n'est jamais considéré comme dépendante. Ce n'est qu'en fonction du temps consacré à ce loisir que nous pouvons estimer la dangerosité de ce lien sur la personne. L'envahissement des jeux vidéo du temps de la personne se manifeste souvent par la négligence de cette dernière des autres loisirs bien plus intéressants et constructeurs comme la lecture, le sport ou la musique. Des lésions cérébrales peuvent, sur le long terme être observées en cas de surexposition à l'ordinateur et aux jeux vidéo, selon des études neurologiques. La dépendance aux jeux vidéo est aussi responsable de l'accroissement de la violence réelle. En effet, le jeune exposé, face à ses jeux, à un degré important de violence simulé risque lui-même de reproduire cela dans la vraie vie. Cependant, bien que certaines études tentent de minimiser le lien entre les jeux vidéo et les agressions, une étude récente rapporte que jouer à un jeu vidéo violent rend significativement plus agressif que jouer à un jeu non-violent. L'identification au personnage du jeu vidéo risque d'anticiper le passage à l'acte. Il est important de signaler que certaines études essayent de minimiser la dangerosité des jeux vidéo sur la personne. Cependant, les parents ne doivent en aucun cas omettre qu'un enfant est un être vulnérable et surtout influençable dont les réactions risquent d'être imprévisibles. Ainsi, Il ne faut jamais hésiter de réagir si vous remarquez que votre enfant développe un quelconque comportement de dépendance. Votre enfant passe la totalité de son temps figé devant son ordinateur en s'adonnant à son loisir favori : les jeux vidéo. Vous ne semblez pas satisfaite de son comportement, mais vous n'arrivez pas à agir efficacement. Vous préférez qu'il reste mobilisé devant son micro que de fréquenter la rue. Et si vous découvrez que votre enfant court des risques bien plus graves que vous ne le croyez, vous réagirez comment ? L'influence néfaste de la dépendance aux jeux vidéo a été le sujet de nombreuses recherches scientifiques qui ont tenté de démontrer le lien préjudiciable entre ces derniers et le fonctionnement des jeunes au sein de la société. L'incidence d'une grande exposition au monde virtuel véhiculé par les jeux vidéo n'est pas moindre. Comme les jeux vidéo permettent une immersion plus ou moins complète dans un univers différent et relativement intime, ils sont souvent regardés avec une attention particulière. Ils plongent le jeune dans une autre dimension, celle du virtuel qui prend souvent, lors d'une surexposition, le dessus sur le réel. Le diagnostic de dépendance aux jeux vidéo ne peut être émit que si le fonctionnement social, professionnel, ou quotidien de la personne est altéré. Ceci dit, une personne qui s'adonne à des jeux vidéo de temps à autre n'est jamais considéré comme dépendante. Ce n'est qu'en fonction du temps consacré à ce loisir que nous pouvons estimer la dangerosité de ce lien sur la personne. L'envahissement des jeux vidéo du temps de la personne se manifeste souvent par la négligence de cette dernière des autres loisirs bien plus intéressants et constructeurs comme la lecture, le sport ou la musique. Des lésions cérébrales peuvent, sur le long terme être observées en cas de surexposition à l'ordinateur et aux jeux vidéo, selon des études neurologiques. La dépendance aux jeux vidéo est aussi responsable de l'accroissement de la violence réelle. En effet, le jeune exposé, face à ses jeux, à un degré important de violence simulé risque lui-même de reproduire cela dans la vraie vie. Cependant, bien que certaines études tentent de minimiser le lien entre les jeux vidéo et les agressions, une étude récente rapporte que jouer à un jeu vidéo violent rend significativement plus agressif que jouer à un jeu non-violent. L'identification au personnage du jeu vidéo risque d'anticiper le passage à l'acte. Il est important de signaler que certaines études essayent de minimiser la dangerosité des jeux vidéo sur la personne. Cependant, les parents ne doivent en aucun cas omettre qu'un enfant est un être vulnérable et surtout influençable dont les réactions risquent d'être imprévisibles. Ainsi, Il ne faut jamais hésiter de réagir si vous remarquez que votre enfant développe un quelconque comportement de dépendance.