Huile de table, semoule, poudre de lait, concentré de tomates, margarine, pomme de terre, etc., l'Algérien s'est vu, en réalité, asphyxié de toutes parts par les prix de plus en plus exorbitants de ces aliments de base incontournables dans le panier. Huile de table, semoule, poudre de lait, concentré de tomates, margarine, pomme de terre, etc., l'Algérien s'est vu, en réalité, asphyxié de toutes parts par les prix de plus en plus exorbitants de ces aliments de base incontournables dans le panier. L'année 2007 sera, à coup sûr une année inoubliable pour les ménages algériens. Et pour cause, tous les produits de première nécessité ont connu une hausse des prix très alarmante, provoquant la panique chez les citoyens. Huile de table, semoule, poudre de lait, concentré de tomates, margarine, pomme de terre, etc., l'Algérien s'est vu, en réalité, asphyxié de toutes parts par les prix de plus en plus exorbitants de ces aliments de base incontournables dans le panier. Dans ce contexte, les bourses modestes n'ont de cesse de répéter les appels au secours, espérant une quelconque réaction de l'Etat pour leur venir en aide. Le récent épisode relatif à l'huile de table a ébranlé encore plus le moral des Algériens. En effet, principal ingrédient dans l'ordinaire familial, son prix ne cesse d'augmenter, atteignant un coût inabordable pour de nombreux citoyens. A ce propos, il serait certainement utile de signaler que les prix des trois produits de Cevital, à savoir Fleurial, Fridor et Elio se négocient, actuellement, entre 510 et 670 DA. Ainsi, de 450 DA, la Fleurial a vu son prix atteindre 500 DA, puis 560 et enfin 650, au minimum. Et pour compléter le tableau, on annonce encore, dès janvier, une hausse de 75 DA sur le bidon de cinq litre ! Comme quoi, même en 2008, le cauchemar risque de perdurer. Autre produit touché par la flambée et devenu un luxe pour les ménages, en cette année 2007, la semoule dont le prix a plus que doublé en l'espace d'une année : le sac de 25 kg est cédé à 1.400 DA alors qu'il coûtait à peine 700 DA en 2006 ! Ultime issue pour desserrer cet étau, l'Etat qui a promis des subventions conséquentes dès le début de 2008. Soulignons, aussi, que les citoyens ont constaté la cherté de la poudre de lait, dont le coût s'est vu également, pousser des ailes en 2007. De 225 DA, il est monté brusquement à 280 DA le paquet de 500 gr pour certains fabriquants, et ce, en quelques jours. Idem pour celui du concentré de tomates qui, « saute » de 65 à 75 DA, voire 80 DA la boîte de 500 gr, pour ce qui est d'une variété produite à l'Est du pays. Cependant, le feuilleton de la pomme de terre restera incontestablement gravé dans les mémoires de nos citoyens. Le prix du tubercule a varié entre 50 et 65 DA dans les principaux marchés de la capitale, atteignant même des pics à 70 DA, en plein Ramadan. C'est dire que le kilogramme de pomme de terre a franchi, à maintes reprises, le seuil du tolérable. Face à pareille situation, le recours à l'importation, du Canada notamment, semblait être le remède miracle. Malheureusement, ce choix n'a fait qu'amplifier la polémique et provoquer un scandale concernant une variété de pomme de terre canadienne infectée par la maladie de la pourriture bactérienne circulaire et ramenée en l'Algérie par un importateur. Si aujourd'hui, les prix du tubercule sont, certes, plus stables, l'angoisse des citoyens demeure encore vive, car, étant en permanence sous la menace des fluctuations du marché, ils craignent plus que jamais l'effritement de leur pouvoir d'achat. L'Etat multiplie les actions, en mettant en place une batterie de subventions et d'observatoires de régulation du marché. Gageons que ces solutions d'urgence seront accompagnées d'une véritable veille sur des produits stratégiques pour la stabilité des ménages et de la société. L'année 2007 sera, à coup sûr une année inoubliable pour les ménages algériens. Et pour cause, tous les produits de première nécessité ont connu une hausse des prix très alarmante, provoquant la panique chez les citoyens. Huile de table, semoule, poudre de lait, concentré de tomates, margarine, pomme de terre, etc., l'Algérien s'est vu, en réalité, asphyxié de toutes parts par les prix de plus en plus exorbitants de ces aliments de base incontournables dans le panier. Dans ce contexte, les bourses modestes n'ont de cesse de répéter les appels au secours, espérant une quelconque réaction de l'Etat pour leur venir en aide. Le récent épisode relatif à l'huile de table a ébranlé encore plus le moral des Algériens. En effet, principal ingrédient dans l'ordinaire familial, son prix ne cesse d'augmenter, atteignant un coût inabordable pour de nombreux citoyens. A ce propos, il serait certainement utile de signaler que les prix des trois produits de Cevital, à savoir Fleurial, Fridor et Elio se négocient, actuellement, entre 510 et 670 DA. Ainsi, de 450 DA, la Fleurial a vu son prix atteindre 500 DA, puis 560 et enfin 650, au minimum. Et pour compléter le tableau, on annonce encore, dès janvier, une hausse de 75 DA sur le bidon de cinq litre ! Comme quoi, même en 2008, le cauchemar risque de perdurer. Autre produit touché par la flambée et devenu un luxe pour les ménages, en cette année 2007, la semoule dont le prix a plus que doublé en l'espace d'une année : le sac de 25 kg est cédé à 1.400 DA alors qu'il coûtait à peine 700 DA en 2006 ! Ultime issue pour desserrer cet étau, l'Etat qui a promis des subventions conséquentes dès le début de 2008. Soulignons, aussi, que les citoyens ont constaté la cherté de la poudre de lait, dont le coût s'est vu également, pousser des ailes en 2007. De 225 DA, il est monté brusquement à 280 DA le paquet de 500 gr pour certains fabriquants, et ce, en quelques jours. Idem pour celui du concentré de tomates qui, « saute » de 65 à 75 DA, voire 80 DA la boîte de 500 gr, pour ce qui est d'une variété produite à l'Est du pays. Cependant, le feuilleton de la pomme de terre restera incontestablement gravé dans les mémoires de nos citoyens. Le prix du tubercule a varié entre 50 et 65 DA dans les principaux marchés de la capitale, atteignant même des pics à 70 DA, en plein Ramadan. C'est dire que le kilogramme de pomme de terre a franchi, à maintes reprises, le seuil du tolérable. Face à pareille situation, le recours à l'importation, du Canada notamment, semblait être le remède miracle. Malheureusement, ce choix n'a fait qu'amplifier la polémique et provoquer un scandale concernant une variété de pomme de terre canadienne infectée par la maladie de la pourriture bactérienne circulaire et ramenée en l'Algérie par un importateur. Si aujourd'hui, les prix du tubercule sont, certes, plus stables, l'angoisse des citoyens demeure encore vive, car, étant en permanence sous la menace des fluctuations du marché, ils craignent plus que jamais l'effritement de leur pouvoir d'achat. L'Etat multiplie les actions, en mettant en place une batterie de subventions et d'observatoires de régulation du marché. Gageons que ces solutions d'urgence seront accompagnées d'une véritable veille sur des produits stratégiques pour la stabilité des ménages et de la société.