Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a procédé hier au siège d'Algérie Télécom Internet Djaweb à Ben Aknoun, à l'installation du nouveau PDG de Djaweb, M. Ahmed Kehili. Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a procédé hier au siège d'Algérie Télécom Internet Djaweb à Ben Aknoun, à l'installation du nouveau PDG de Djaweb, M. Ahmed Kehili. Le nouveau P-dg succède à Mme Houria Attif. «Conformément aux statuts de l'entreprise et du code du commerce, l'assemblée générale d'Algérie Télécom s'est réunie, pour élire M. Ahmed Kehili au poste de P-DG d'AT Internet», a déclaré M. Kheireddine au cours de la cérémonie d'installation du nouveau P-DG de Djaweb. De son côté, le ministre n'a pas tari d'éloges sur le bilan de l'ancienne responsable, dont les efforts «ont permis d'opérer un bond significatif en termes délargissement et de mise à niveau du réseau, permettant par là l'accroissement du nombre d'abonnés en haut débit». Toutefois, le ministre a fait savoir que la filiale Djaweb souffre d'un déficit managérial et, partant, «une nouvelle stratégie doit être amorcée, dictée par une nouvelle approche en vue de poursuivre le développement de l'Internet en Algérie». «Djaweb doit passer à une deuxième phase de développement, celle de la maîtrise de la gestion managériale à même de faire face à la concurrence qui bat son plein dans ce secteur», a expliqué le ministre. En clair, le premier responsable du secteur des NTIC a nommé un gestionnaire bien au fait du marché, alors que l'ancienne P-DG, Houria Attif, répondait plus au profil de technicienne de par sa formation (DESS en développement réseau). Le ministre a relevé néanmoins des lacunes sur le plan managérial. «Il n'est pas normal que le P-DG de Djaweb ne soit pas membre du conseil d'administration», a-t-il déploré. Cependant, Haïchour a décidé à maintenir Mme Attif comme conseillère technique auprès du nouveau P-DG. Sitôt désigné à la tête de la filiale Djaweb, M. Kehili dévoile ses objectifs pour l'année 2008. Il sera question, selon lui, «d'unifier l'ensemble des filiales l'accès à internet, à savoir Fawri ADSL, Easy ADSL, filiales d'AT au sein d'une même filiale, à savoir Algérie Télécom Internet «Djaweb» et ce, dans le souci d'atténuer les coûts d'accès au haut débit». Estimant que le haut débit reste en deçà des besoins nationaux et que l'accès à l'ADSL reste cher comparativement à la Tunisie, au Maroc ou encore à l'Egypte, M. Kehili a tenu à inscrire la maîtrise des coûts parmi ses priorités pour l'année 2008. Titulaire d'un diplôme en post-graduation en management public de l'Ecole supérieure des télécommunications de Paris, M. Kehili a exercé de nombreuses responsabilités au sein de l'administration centrale de l'ex-ministère des Postes et Télécommunications, à l'ARPT puis à AT où il occupait le poste de directeur général adjoint, avant d'être promu P-DG de Djaweb. En outre, M. Haïchour a fait savoir que 2008 verra l'ouverture du capital de la filiale Djaweb en vue de répondre aux besoins en ressources financières devant permettre d'atteindre les objectifs fixés, dont la pénétration en haut débit des 1.541 communes avant la fin du premier trimestre 2008 ainsi qu'un plan de développement de services hors accès à internet, à l'exemple du programme de formation à distance «e-école». Le nouveau P-dg succède à Mme Houria Attif. «Conformément aux statuts de l'entreprise et du code du commerce, l'assemblée générale d'Algérie Télécom s'est réunie, pour élire M. Ahmed Kehili au poste de P-DG d'AT Internet», a déclaré M. Kheireddine au cours de la cérémonie d'installation du nouveau P-DG de Djaweb. De son côté, le ministre n'a pas tari d'éloges sur le bilan de l'ancienne responsable, dont les efforts «ont permis d'opérer un bond significatif en termes délargissement et de mise à niveau du réseau, permettant par là l'accroissement du nombre d'abonnés en haut débit». Toutefois, le ministre a fait savoir que la filiale Djaweb souffre d'un déficit managérial et, partant, «une nouvelle stratégie doit être amorcée, dictée par une nouvelle approche en vue de poursuivre le développement de l'Internet en Algérie». «Djaweb doit passer à une deuxième phase de développement, celle de la maîtrise de la gestion managériale à même de faire face à la concurrence qui bat son plein dans ce secteur», a expliqué le ministre. En clair, le premier responsable du secteur des NTIC a nommé un gestionnaire bien au fait du marché, alors que l'ancienne P-DG, Houria Attif, répondait plus au profil de technicienne de par sa formation (DESS en développement réseau). Le ministre a relevé néanmoins des lacunes sur le plan managérial. «Il n'est pas normal que le P-DG de Djaweb ne soit pas membre du conseil d'administration», a-t-il déploré. Cependant, Haïchour a décidé à maintenir Mme Attif comme conseillère technique auprès du nouveau P-DG. Sitôt désigné à la tête de la filiale Djaweb, M. Kehili dévoile ses objectifs pour l'année 2008. Il sera question, selon lui, «d'unifier l'ensemble des filiales l'accès à internet, à savoir Fawri ADSL, Easy ADSL, filiales d'AT au sein d'une même filiale, à savoir Algérie Télécom Internet «Djaweb» et ce, dans le souci d'atténuer les coûts d'accès au haut débit». Estimant que le haut débit reste en deçà des besoins nationaux et que l'accès à l'ADSL reste cher comparativement à la Tunisie, au Maroc ou encore à l'Egypte, M. Kehili a tenu à inscrire la maîtrise des coûts parmi ses priorités pour l'année 2008. Titulaire d'un diplôme en post-graduation en management public de l'Ecole supérieure des télécommunications de Paris, M. Kehili a exercé de nombreuses responsabilités au sein de l'administration centrale de l'ex-ministère des Postes et Télécommunications, à l'ARPT puis à AT où il occupait le poste de directeur général adjoint, avant d'être promu P-DG de Djaweb. En outre, M. Haïchour a fait savoir que 2008 verra l'ouverture du capital de la filiale Djaweb en vue de répondre aux besoins en ressources financières devant permettre d'atteindre les objectifs fixés, dont la pénétration en haut débit des 1.541 communes avant la fin du premier trimestre 2008 ainsi qu'un plan de développement de services hors accès à internet, à l'exemple du programme de formation à distance «e-école».