La production industrielle du secteur public national a enregistré une baisse de 0,9% au cours des neuf premiers mois de l'année 2007, par rapport à la même période de 2006, selon les chiffres de l'Office national des statistiques (ONS). Dans le détail, la production industrielle a connu des difficultés sérieuses qui ont freiné son évolution. Les industries le plus touchées durant l'année écoulée ont été celles de la chimie qui ont accusé un recul de 12,3%, suivies de l'agroalimentaire dont la production a chuté de 8,1%, et enfin des cuirs et chaussures ainsi que des bois et papiers qui ont enregistré une régression de leurs productions respectives de l'ordre de 9,4% et 8,7%. Les textiles, eux, ont été, selon les statistiques de l'ONS, touchés de plein fouet par une régression nette de la production de l'ordre de 17,6%. Cette régression de la production estimée par l'ONS à 3,7%, est intervenue particulièrement au troisième trimestre de 2007, après que l'année eut été favorable à la production durant les six premiers mois. La tendance à la hausse a été de 0,1% puis de 0,9% pendant cette période avant d'être interrompue au troisième trimestre, durant lequel il a été enregistré une baisse importante due, notamment, aux contre-performances des industries manufacturières qui ont accusé une chute libre, à cette période, de l'ordre de 12,9 %. Cette chute s'est vite répercutée sur le niveau de la production globale touchant l'ensemble des secteurs d'activité et dont les plus concernés ont été ceux des industries, sidérurgiques métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) qui ont enregistré une baisse de 19,6%, venant juste après les industries chimiques le plus touchées avec une baisse de l'ordre de 21,6%. L'Ons, qui s'en tient à des statistiques froides concernant la masse de la production, n'aborde pas dans son bulletin les raisons de cette contre-performance qui ne saurait être étrangère à l'envolée des prix des intrants sur les marchés mondiaux, mais aussi à la situation d'attente des entreprises publiques des actions du gouvernement devant découler de la nouvelle stratégie industrielle et du processus de privatisation en cours qui concerne notamment les entreprises manufacturières. La production industrielle du secteur public national a enregistré une baisse de 0,9% au cours des neuf premiers mois de l'année 2007, par rapport à la même période de 2006, selon les chiffres de l'Office national des statistiques (ONS). Dans le détail, la production industrielle a connu des difficultés sérieuses qui ont freiné son évolution. Les industries le plus touchées durant l'année écoulée ont été celles de la chimie qui ont accusé un recul de 12,3%, suivies de l'agroalimentaire dont la production a chuté de 8,1%, et enfin des cuirs et chaussures ainsi que des bois et papiers qui ont enregistré une régression de leurs productions respectives de l'ordre de 9,4% et 8,7%. Les textiles, eux, ont été, selon les statistiques de l'ONS, touchés de plein fouet par une régression nette de la production de l'ordre de 17,6%. Cette régression de la production estimée par l'ONS à 3,7%, est intervenue particulièrement au troisième trimestre de 2007, après que l'année eut été favorable à la production durant les six premiers mois. La tendance à la hausse a été de 0,1% puis de 0,9% pendant cette période avant d'être interrompue au troisième trimestre, durant lequel il a été enregistré une baisse importante due, notamment, aux contre-performances des industries manufacturières qui ont accusé une chute libre, à cette période, de l'ordre de 12,9 %. Cette chute s'est vite répercutée sur le niveau de la production globale touchant l'ensemble des secteurs d'activité et dont les plus concernés ont été ceux des industries, sidérurgiques métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) qui ont enregistré une baisse de 19,6%, venant juste après les industries chimiques le plus touchées avec une baisse de l'ordre de 21,6%. L'Ons, qui s'en tient à des statistiques froides concernant la masse de la production, n'aborde pas dans son bulletin les raisons de cette contre-performance qui ne saurait être étrangère à l'envolée des prix des intrants sur les marchés mondiaux, mais aussi à la situation d'attente des entreprises publiques des actions du gouvernement devant découler de la nouvelle stratégie industrielle et du processus de privatisation en cours qui concerne notamment les entreprises manufacturières.