Si le FLN de Abdelaziz Belkhadem affiche nettement son appui au président de la République pour briguer un 3e mandat, d'autres organisations viennent lui emboîter le pas, donnant un avant-goût de ce que sera faite la nouvelle année 2008. Si le FLN de Abdelaziz Belkhadem affiche nettement son appui au président de la République pour briguer un 3e mandat, d'autres organisations viennent lui emboîter le pas, donnant un avant-goût de ce que sera faite la nouvelle année 2008. Le front de soutien à un troisième mandat pour Bouteflika s'élargit de plus en plus à l'approche de 2009. Si le FLN de Abdelaziz Belkhadem affiche nettement son appui et ne rate aucune occasion pour crier haut et fort son appel au président de la République pour briguer un 3° mandat à travers la révision de la Constitution, d'autres organisations, non moins importantes, viennent lui emboîter le pas, donnant un avant-goût de ce que sera faite la nouvelle année 2008, qui vient juste de signer ses premiers jours. Après l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) et l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), une autre organisation très importante de par sa large représentativité qu'est l'UGTA, s'ajoute au lot et souhaite une troisième mandature pour l'actuel président. La Centrale syndicale et son secrétaire général Abdelmadjid Sidi Saïd, en se ralliant au côté du FLN dans ce sens, constituent un bloc puissant, et laissent présager une sérieuse option de voir aboutir leurs ambitions de par leur poids sur la scène nationale. En effet, le FLN est la première force politique sur la scène, et l'UGTA représente une large frange d'ouvriers et de syndicalistes. Le soutien de l'UGTA pour un troisième mandat de Bouteflika est très significatif, non pas parce qu'il représente un allié de grande voltige et d'un poids considérable, mais il dessine les contours d'un scénario caractérisé par cette sensation de déjà vu, les récentes expériences servant de leçon. La Centrale syndicale est un allié de taille pour le président de la République depuis son investiture à la Magistrature suprême en 1999. D'abord lors du référendum sur la concorde civile, puis son soutien à sa réélection en 2004, ensuite à l'occasion du référendum sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. L'UGTA et son SG Abdelmadjid Sidi Saïd ont cautionné admirablement tous les projets du Président Bouteflika, son programme et ses différentes démarches économiques, sociales et politiques, en témoigne la signature du pacte économique et sociale qui n'est autre que la consécration de cette caution. Visiblement, la Centrale syndicale a tous arguments du monde pour convaincre ses syndiqués du bien-fondé et de la justesse de son alignement favorable à la révision constitutionnelle et un troisième mandat de Bouteflika. En effet, l'UGTA avance les acquis socioprofessionnels réalisés au profit du monde du travail, essentiellement la hausse des salaires qui est désormais effective depuis hier. Cette hausse, bien que controversée car contestée par plusieurs parties, notamment les syndicats autonomes qui y voient un trompe-l'œil à la lumière des hausses spectaculaires des prix de produits de première nécessité, constitue un argument de taille mis en avant par les syndicalistes de l'UGTA. Le patron de cette dernière, depuis Djelfa, avait annoncé que 90% des propositions de l'UGTA ont été retenues dans le cadre de l'élaboration du nouveau statut de la Fonction publique, en plus des 54 statuts particuliers traitant des relations individuelles et des indemnités, en attendant l'aval de celui des corps communs, et ce afin d'illustrer les efforts consentis, et surtout les acquis glanés sous le règne du Président Bouteflika. L'apport de l'UGTA pour un troisième mandat constitue, en ce sens, la pierre angulaire de cette entreprise. Le front de soutien à un troisième mandat pour Bouteflika s'élargit de plus en plus à l'approche de 2009. Si le FLN de Abdelaziz Belkhadem affiche nettement son appui et ne rate aucune occasion pour crier haut et fort son appel au président de la République pour briguer un 3° mandat à travers la révision de la Constitution, d'autres organisations, non moins importantes, viennent lui emboîter le pas, donnant un avant-goût de ce que sera faite la nouvelle année 2008, qui vient juste de signer ses premiers jours. Après l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) et l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), une autre organisation très importante de par sa large représentativité qu'est l'UGTA, s'ajoute au lot et souhaite une troisième mandature pour l'actuel président. La Centrale syndicale et son secrétaire général Abdelmadjid Sidi Saïd, en se ralliant au côté du FLN dans ce sens, constituent un bloc puissant, et laissent présager une sérieuse option de voir aboutir leurs ambitions de par leur poids sur la scène nationale. En effet, le FLN est la première force politique sur la scène, et l'UGTA représente une large frange d'ouvriers et de syndicalistes. Le soutien de l'UGTA pour un troisième mandat de Bouteflika est très significatif, non pas parce qu'il représente un allié de grande voltige et d'un poids considérable, mais il dessine les contours d'un scénario caractérisé par cette sensation de déjà vu, les récentes expériences servant de leçon. La Centrale syndicale est un allié de taille pour le président de la République depuis son investiture à la Magistrature suprême en 1999. D'abord lors du référendum sur la concorde civile, puis son soutien à sa réélection en 2004, ensuite à l'occasion du référendum sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. L'UGTA et son SG Abdelmadjid Sidi Saïd ont cautionné admirablement tous les projets du Président Bouteflika, son programme et ses différentes démarches économiques, sociales et politiques, en témoigne la signature du pacte économique et sociale qui n'est autre que la consécration de cette caution. Visiblement, la Centrale syndicale a tous arguments du monde pour convaincre ses syndiqués du bien-fondé et de la justesse de son alignement favorable à la révision constitutionnelle et un troisième mandat de Bouteflika. En effet, l'UGTA avance les acquis socioprofessionnels réalisés au profit du monde du travail, essentiellement la hausse des salaires qui est désormais effective depuis hier. Cette hausse, bien que controversée car contestée par plusieurs parties, notamment les syndicats autonomes qui y voient un trompe-l'œil à la lumière des hausses spectaculaires des prix de produits de première nécessité, constitue un argument de taille mis en avant par les syndicalistes de l'UGTA. Le patron de cette dernière, depuis Djelfa, avait annoncé que 90% des propositions de l'UGTA ont été retenues dans le cadre de l'élaboration du nouveau statut de la Fonction publique, en plus des 54 statuts particuliers traitant des relations individuelles et des indemnités, en attendant l'aval de celui des corps communs, et ce afin d'illustrer les efforts consentis, et surtout les acquis glanés sous le règne du Président Bouteflika. L'apport de l'UGTA pour un troisième mandat constitue, en ce sens, la pierre angulaire de cette entreprise.