Cent responsables d'entreprises algériennes prendront part, en tant qu'invités et congressistes, à la 7e convention France-Maghreb (CFM) qui aura lieu les 5 et 6 février prochain à Paris. Il y aura également cinq entreprises exposantes en tant que partenaires parmi les 45 sociétés des pays du Maghreb. Lors des séances plénières de la 7e convention, il sera notamment question des perspectives économiques pour l'année 2008 et des enjeux de la mobilité dans l'espace France-Maghreb. Concernant les conférences, une session spéciale sera consacrée au thème «Investir en Algérie», où les séminaristes passeront en revue l'Opteam-export, le nouveau programme des petites et moyennes entreprises algériennes à l'export. On peut également citer la communication ayant trait aux grands travaux et aux projets d'infrastructures. Lors d'une conférence de presse, organisée hier, à Alger, le président de la Convention France-Maghreb, Mohamed El Ouahdoudi, a mis en exergue la portée et les objectifs de cette 7e CFM en déclarant que «le marché maghrébin constitue un énorme espace dans lequel les multinationales françaises, en particulier, et européennes en général, pourront lancer d'ambitieux projets d'investissement. Ainsi le marché algérien, ceux de Tunisie, du Maroc, de la Libye et de la Mauritanie, et également de l'Afrique, sont porteurs et considérés d'avenir pour les entreprises de la rive nord de la Méditerranée», selon ce conférencier. Il estime que les contrats signés par la France avec l'Algérie (5 milliards d'euros), la Tunisie (4 milliards) et la Libye (7 milliards) dépassent largement le montant de celui ramené par le président Sarkozy lors de sa visite officielle en Chine, considéré comme l'une des puissances économiques mondiales. Cependant, pour favoriser le flux des investissements au Maghreb, le président de la CFM préconise l'amélioration de l'environnement institutionnel et juridique pour accueillir les investisseurs étrangers et offrir un meilleur climat d'affaires. Il dira aussi que les opérateurs français sont de plus en plus attirés par la réalisation de projets en Algérie. «Les entreprises françaises se battent à couteaux tirés sur les parts de marché au Maghreb, et particulièrement en Algérie où la croissance économique prévisionnelle est de l'ordre de 4 à 5 % alors qu'en France elle est de 0,1 à 0,2 %» selon El Ouahdoudi. L'objectif principal de la CFM consiste à proposer, au début de chaque année, un bilan et des perspectives pour l'économie et les ressources humaines dans l'espace France-Maghreb. Pas moins de 2.500 visiteurs professionnels sont attendus lors de cette 7e édition de la CFM qui peut apporter de nombreux avantages aux entreprises algériennes. Pour El Ouahdoudi, «toute entreprise algérienne structurée et ambitieuse recherchant des partenaires, des clients, des fournisseurs, des compétences rares et de nouvelles idées pour l'avenir, trouve dans la CFM des solutions adaptées». Des dizaines de contacts et de mises en relations d'affaires avec des multinationales françaises, des entrepreneurs, industriels et investisseurs algériens établis en France sont concrétisés lors de la convention annuelle France-Maghreb. Cent responsables d'entreprises algériennes prendront part, en tant qu'invités et congressistes, à la 7e convention France-Maghreb (CFM) qui aura lieu les 5 et 6 février prochain à Paris. Il y aura également cinq entreprises exposantes en tant que partenaires parmi les 45 sociétés des pays du Maghreb. Lors des séances plénières de la 7e convention, il sera notamment question des perspectives économiques pour l'année 2008 et des enjeux de la mobilité dans l'espace France-Maghreb. Concernant les conférences, une session spéciale sera consacrée au thème «Investir en Algérie», où les séminaristes passeront en revue l'Opteam-export, le nouveau programme des petites et moyennes entreprises algériennes à l'export. On peut également citer la communication ayant trait aux grands travaux et aux projets d'infrastructures. Lors d'une conférence de presse, organisée hier, à Alger, le président de la Convention France-Maghreb, Mohamed El Ouahdoudi, a mis en exergue la portée et les objectifs de cette 7e CFM en déclarant que «le marché maghrébin constitue un énorme espace dans lequel les multinationales françaises, en particulier, et européennes en général, pourront lancer d'ambitieux projets d'investissement. Ainsi le marché algérien, ceux de Tunisie, du Maroc, de la Libye et de la Mauritanie, et également de l'Afrique, sont porteurs et considérés d'avenir pour les entreprises de la rive nord de la Méditerranée», selon ce conférencier. Il estime que les contrats signés par la France avec l'Algérie (5 milliards d'euros), la Tunisie (4 milliards) et la Libye (7 milliards) dépassent largement le montant de celui ramené par le président Sarkozy lors de sa visite officielle en Chine, considéré comme l'une des puissances économiques mondiales. Cependant, pour favoriser le flux des investissements au Maghreb, le président de la CFM préconise l'amélioration de l'environnement institutionnel et juridique pour accueillir les investisseurs étrangers et offrir un meilleur climat d'affaires. Il dira aussi que les opérateurs français sont de plus en plus attirés par la réalisation de projets en Algérie. «Les entreprises françaises se battent à couteaux tirés sur les parts de marché au Maghreb, et particulièrement en Algérie où la croissance économique prévisionnelle est de l'ordre de 4 à 5 % alors qu'en France elle est de 0,1 à 0,2 %» selon El Ouahdoudi. L'objectif principal de la CFM consiste à proposer, au début de chaque année, un bilan et des perspectives pour l'économie et les ressources humaines dans l'espace France-Maghreb. Pas moins de 2.500 visiteurs professionnels sont attendus lors de cette 7e édition de la CFM qui peut apporter de nombreux avantages aux entreprises algériennes. Pour El Ouahdoudi, «toute entreprise algérienne structurée et ambitieuse recherchant des partenaires, des clients, des fournisseurs, des compétences rares et de nouvelles idées pour l'avenir, trouve dans la CFM des solutions adaptées». Des dizaines de contacts et de mises en relations d'affaires avec des multinationales françaises, des entrepreneurs, industriels et investisseurs algériens établis en France sont concrétisés lors de la convention annuelle France-Maghreb.