Une convention type a été présentée jeudi dernier lors d'une rencontre qui s'est tenue à l'hôtel El Aurassi et qui a réuni les représentants du secteur des banques et celui des assurances. Une convention type a été présentée jeudi dernier lors d'une rencontre qui s'est tenue à l'hôtel El Aurassi et qui a réuni les représentants du secteur des banques et celui des assurances. Désormais, les banques et les établissements financiers pourront commercialiser des produits d'assurances. A cet effet, une convention type a été présentée jeudi dernier lors d'une rencontre qui s'est tenue à l'hôtel El-Aurassi et qui a réuni les représentants du secteur des banques et celui des assurances. Cette convention concerne les branches de l'assistance risque-maladie, assurance risques-décès, risque-crédit, multirisques habitation, risque-catastrophes naturelles ou encore l'assurance risques agricoles. Cette liste sera également élargie à l'assurance automobile dans un proche avenir, a indiqué Ahmed Bacha, directeur exécutif de l'Union des sociétés d'assurance et de réassurance (UAR). Et d'expliquer : «En vertu de cette convention, les établissements financiers que ce soit les banques publiques ou privées, pourront contracter des contrats au nom des compagnies d'assurance et pour leur compte». Outre le fait d'améliorer les prestations de service et réduire un tant soit peu les délais de remboursement qui restent assez longs actuellement, cette mesure d'élargir l'offre de services des assurances aux banques est motivée par le souci de développer la notion d'assurance qui demeure méconnue et augmenter par là même le taux de couverture au demeurant très insignifiant, dépassant à peine 1%, ce qui correspond à quelque 1.200 agences à travers tout le pays. A ce propos, le directeur des assurances au ministère des Finances, Kamel Merami, a expliqué que cette nouvelle stratégie s'inscrit dans le but de « capter la clientèle des banques et de densifier le réseau de distribution des produits d'assurance et ce, conformément à la loi sur les assurances promulguée en 2006 ». Abondant dans le même sens, Ahmed Bacha explique que « la collaboration avec les banques a été retenue dans la perspective de bénéficier de leur réseau assez dense et de surcroît en pleine expansion. D'autant plus que les assurables ont une relation fréquente avec les banquiers, généralement une fois par mois, et en cas de besoin d'un service de la banque, que ce soit pour les crédits ou autre opération, le banquier exige à chaque fois une couverture pour récupérer son argent », a-t-il indiqué. Précisant que l'opération en question devra être mise en branle dès que les banques auront signé de manière effective les conventions avec les compagnies d'assurances qui devront former au préalable les agents des banques aux techniques de vente propres aux produits d'assurances. Désormais, les banques et les établissements financiers pourront commercialiser des produits d'assurances. A cet effet, une convention type a été présentée jeudi dernier lors d'une rencontre qui s'est tenue à l'hôtel El-Aurassi et qui a réuni les représentants du secteur des banques et celui des assurances. Cette convention concerne les branches de l'assistance risque-maladie, assurance risques-décès, risque-crédit, multirisques habitation, risque-catastrophes naturelles ou encore l'assurance risques agricoles. Cette liste sera également élargie à l'assurance automobile dans un proche avenir, a indiqué Ahmed Bacha, directeur exécutif de l'Union des sociétés d'assurance et de réassurance (UAR). Et d'expliquer : «En vertu de cette convention, les établissements financiers que ce soit les banques publiques ou privées, pourront contracter des contrats au nom des compagnies d'assurance et pour leur compte». Outre le fait d'améliorer les prestations de service et réduire un tant soit peu les délais de remboursement qui restent assez longs actuellement, cette mesure d'élargir l'offre de services des assurances aux banques est motivée par le souci de développer la notion d'assurance qui demeure méconnue et augmenter par là même le taux de couverture au demeurant très insignifiant, dépassant à peine 1%, ce qui correspond à quelque 1.200 agences à travers tout le pays. A ce propos, le directeur des assurances au ministère des Finances, Kamel Merami, a expliqué que cette nouvelle stratégie s'inscrit dans le but de « capter la clientèle des banques et de densifier le réseau de distribution des produits d'assurance et ce, conformément à la loi sur les assurances promulguée en 2006 ». Abondant dans le même sens, Ahmed Bacha explique que « la collaboration avec les banques a été retenue dans la perspective de bénéficier de leur réseau assez dense et de surcroît en pleine expansion. D'autant plus que les assurables ont une relation fréquente avec les banquiers, généralement une fois par mois, et en cas de besoin d'un service de la banque, que ce soit pour les crédits ou autre opération, le banquier exige à chaque fois une couverture pour récupérer son argent », a-t-il indiqué. Précisant que l'opération en question devra être mise en branle dès que les banques auront signé de manière effective les conventions avec les compagnies d'assurances qui devront former au préalable les agents des banques aux techniques de vente propres aux produits d'assurances.