Des perturbations dans l'approvisionnement des boulangeries en farine, enregistrées dans plusieurs wilayas du pays, n'ont pas manqué de provoquer des remous au sein des boulangers. Des perturbations dans l'approvisionnement des boulangeries en farine, enregistrées dans plusieurs wilayas du pays, n'ont pas manqué de provoquer des remous au sein des boulangers. La question d'une hausse des prix du pain revient sur la scène. Suite à la flambée des prix du blé tendre sur les marchés mondiaux, les boulangers ont immédiatement répliqué par la révision des prix de la baguette pratiqués jusque-là. L'intervention du gouvernement, en proposant le quintal de la farine à 2000 DA pour les boulangers, a apaisé quelque peu les professionnels du métier sur le court terme mais ne semble pas les rassur quant à une véritable stabilité à long terme. En effet, des dysfonctionnements dans la politique de subvention de l'Etat sont rapportés par les professionnels du pain ces derniers temps. Des perturbations dans l'approvisionnement des boulangeries en farine, enregistrées dans plusieurs wilayas du pays n'ont pas manqué de provoquer des remous au sein des boulangers, dont certains ont dû fermer définitivement ou temporairement leur commerce. Cela dit, cette augmentation est provoquée essentiellement par la rareté de la matière première, à savoir la farine de blé tendre, sur le marché intérieur. Cependant, la farine n'est pas l'unique souci des boulangers. Les coûts de l'énergie et des matières premières ajoutés aux intrants dans la production du pain, à savoir, le sucre et la levure, alourdissent la facture du pain. En attendant les solutions que pourrait apporter le gouvernement dans sa réunion avec le comité national des boulangers, prévue pour aujourd'hui, certains d'entre eux n'ont pas hésité à pratiquer de nouveaux prix. Sur le marché mondial, le prix de la tonne de blé poursuit sa hausse. De même que la production mondiale de blé et autres céréales ne cesse de chuter, notamment chez les 5 premiers pays producteurs au monde, à leur tête les Etats-Unis, premier fournisseur de blé au monde. Les représentants des boulangers, notamment au sein de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) sont confrontés à un vrai dilemme : laisser les boulangers augmenter le prix du pain ou bien exiger qu'il soit mis fin aux tensions et aux spéculations qui caractérisent la sphère de l'approvisionnement des boulangers en farine panifiable. La question d'une hausse des prix du pain revient sur la scène. Suite à la flambée des prix du blé tendre sur les marchés mondiaux, les boulangers ont immédiatement répliqué par la révision des prix de la baguette pratiqués jusque-là. L'intervention du gouvernement, en proposant le quintal de la farine à 2000 DA pour les boulangers, a apaisé quelque peu les professionnels du métier sur le court terme mais ne semble pas les rassur quant à une véritable stabilité à long terme. En effet, des dysfonctionnements dans la politique de subvention de l'Etat sont rapportés par les professionnels du pain ces derniers temps. Des perturbations dans l'approvisionnement des boulangeries en farine, enregistrées dans plusieurs wilayas du pays n'ont pas manqué de provoquer des remous au sein des boulangers, dont certains ont dû fermer définitivement ou temporairement leur commerce. Cela dit, cette augmentation est provoquée essentiellement par la rareté de la matière première, à savoir la farine de blé tendre, sur le marché intérieur. Cependant, la farine n'est pas l'unique souci des boulangers. Les coûts de l'énergie et des matières premières ajoutés aux intrants dans la production du pain, à savoir, le sucre et la levure, alourdissent la facture du pain. En attendant les solutions que pourrait apporter le gouvernement dans sa réunion avec le comité national des boulangers, prévue pour aujourd'hui, certains d'entre eux n'ont pas hésité à pratiquer de nouveaux prix. Sur le marché mondial, le prix de la tonne de blé poursuit sa hausse. De même que la production mondiale de blé et autres céréales ne cesse de chuter, notamment chez les 5 premiers pays producteurs au monde, à leur tête les Etats-Unis, premier fournisseur de blé au monde. Les représentants des boulangers, notamment au sein de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) sont confrontés à un vrai dilemme : laisser les boulangers augmenter le prix du pain ou bien exiger qu'il soit mis fin aux tensions et aux spéculations qui caractérisent la sphère de l'approvisionnement des boulangers en farine panifiable.