Les différentes fédérations de l'UGTA sont engagées dans une véritable course contre la montre pour finaliser les statuts des différents secteurs de la Fonction publique. Les différentes fédérations de l'UGTA sont engagées dans une véritable course contre la montre pour finaliser les statuts des différents secteurs de la Fonction publique. «Les grilles des salaires de la Fonction publique sont fin prêtes et les différentes fédérations de l'UGTA activant dans le ce secteur sont appelées à soumettre les statuts particuliers avant le 10 février prochain», a affirmé M. Malki, secrétaire national aux relations extérieures de l'UGTA, en marge de la cérémonie de recueillement organisée au siège de la centrale syndicale à l'occasion du 11e anniversaire de l'assassinat de Abdelhak Benhamouda. Les différentes fédérations de l'UGTA sont engagées dans une véritable course contre la montre pour finaliser les statuts des différents secteurs de la Fonction publique. En face, il y a la grogne des travailleurs. Ces derniers expriment une certaine lassitude, par rapport à l'attente d'une hausse de salaire qui se fait désirer. A cet état de fait, il faut ajouter l'offensive des syndicats autonomes de la Fonction publique qui occupent le terrain de la protestation depuis la rentrée sociale. Il faut croire que ce n'est pas demain que les travailleurs verront la couleur de l'augmentation promise. Il reste, au dossier des statuts particuliers, un long cheminement à faire. Le responsable de l'UGTA a ainsi souligné, à ce sujet, que lorsque les fédérations termineront leurs travaux avec les différents ministères, le dossier sera soumis à la direction de la Fonction publique avant qu'il ne soit transmis au gouvernement. Il est donc peu probable que la date avancée par Abdelkader Malki, le (10 février prochain) soit respectée, sachant qu'«il subsiste encore des problèmes relatifs à quelques indemnités et primes», soutient le secrétaire national aux relations extérieures de l'UGTA. M.Malki souligne, cependant, que «ces problèmes seront réglés avec le gouvernement» à défaut, a-t-il dit, «il sera fait appel à l'arbitrage du président de la République». Il est aisé de dire que l'on s'achemine vers une saisine de la présidence de la République pour trancher cette question qui tient en haleine les fonctionnaires. Abordant les récents débrayages organisés par les syndicats autonomes, Abdelkader Malki a jugé que ces organisations «sont dans leur droit» de recourir à la grève, soulignant, néanmoins, que «l'UGTA préfère le dialogue, tant que le gouvernement continue à privilégier cette voie». Un dialogue réclamé fort à propos par les syndicats autonomes, mais dont ils disent être exclus. A propos du pouvoir d'achat du citoyen, le responsable de l'UGTA a indiqué que la centrale syndicale avait estimé, l'année passée, un budget type à 25.000 DA. Dans ce cadre, jugeant que ce budget type est dépassé a-t-il rappelé, il a souligné que l'UGTA a formé un groupe de travail pour évaluer celui d'une famille moyenne à la lumière des hausses des prix des produits de consommation, révélant que les propositions de ce groupe de travail seront soumises au gouvernement. «Les grilles des salaires de la Fonction publique sont fin prêtes et les différentes fédérations de l'UGTA activant dans le ce secteur sont appelées à soumettre les statuts particuliers avant le 10 février prochain», a affirmé M. Malki, secrétaire national aux relations extérieures de l'UGTA, en marge de la cérémonie de recueillement organisée au siège de la centrale syndicale à l'occasion du 11e anniversaire de l'assassinat de Abdelhak Benhamouda. Les différentes fédérations de l'UGTA sont engagées dans une véritable course contre la montre pour finaliser les statuts des différents secteurs de la Fonction publique. En face, il y a la grogne des travailleurs. Ces derniers expriment une certaine lassitude, par rapport à l'attente d'une hausse de salaire qui se fait désirer. A cet état de fait, il faut ajouter l'offensive des syndicats autonomes de la Fonction publique qui occupent le terrain de la protestation depuis la rentrée sociale. Il faut croire que ce n'est pas demain que les travailleurs verront la couleur de l'augmentation promise. Il reste, au dossier des statuts particuliers, un long cheminement à faire. Le responsable de l'UGTA a ainsi souligné, à ce sujet, que lorsque les fédérations termineront leurs travaux avec les différents ministères, le dossier sera soumis à la direction de la Fonction publique avant qu'il ne soit transmis au gouvernement. Il est donc peu probable que la date avancée par Abdelkader Malki, le (10 février prochain) soit respectée, sachant qu'«il subsiste encore des problèmes relatifs à quelques indemnités et primes», soutient le secrétaire national aux relations extérieures de l'UGTA. M.Malki souligne, cependant, que «ces problèmes seront réglés avec le gouvernement» à défaut, a-t-il dit, «il sera fait appel à l'arbitrage du président de la République». Il est aisé de dire que l'on s'achemine vers une saisine de la présidence de la République pour trancher cette question qui tient en haleine les fonctionnaires. Abordant les récents débrayages organisés par les syndicats autonomes, Abdelkader Malki a jugé que ces organisations «sont dans leur droit» de recourir à la grève, soulignant, néanmoins, que «l'UGTA préfère le dialogue, tant que le gouvernement continue à privilégier cette voie». Un dialogue réclamé fort à propos par les syndicats autonomes, mais dont ils disent être exclus. A propos du pouvoir d'achat du citoyen, le responsable de l'UGTA a indiqué que la centrale syndicale avait estimé, l'année passée, un budget type à 25.000 DA. Dans ce cadre, jugeant que ce budget type est dépassé a-t-il rappelé, il a souligné que l'UGTA a formé un groupe de travail pour évaluer celui d'une famille moyenne à la lumière des hausses des prix des produits de consommation, révélant que les propositions de ce groupe de travail seront soumises au gouvernement.