Les travailleurs de certains secteurs sont déjà quasiment certains d'obtenir incessamment une augmentation de leurs salaires. Des majorations salariales qui oscilleraient entre 10 et 25%. C'est en effet le cas, à titre d'exemple, dans les secteurs bancaire, des mines et des textiles. Les travailleurs de certains secteurs sont déjà quasiment certains d'obtenir incessamment une augmentation de leurs salaires. Des majorations salariales qui oscilleraient entre 10 et 25%. C'est en effet le cas, à titre d'exemple, dans les secteurs bancaire, des mines et des textiles. Dans d'autres secteurs d'activité, des centaines de milliers de travailleurs attendent patiemment l'issue des négociations en cours sur les conventions de branches. Des négociations qui semblent piétiner puisqu'elles n'avancent pas, en effet, au rythme souhaité par le secrétaire général de l'UGTA. Sidi Saïd espérait que les négociations, engagées par les vingt-cinq fédérations affiliées à l'UGTA avec les sociétés de gestion des participations de l'Etat (SGP) ou avec les organisations patronales pour ce qui est du secteur privé, aboutissent avant la Fête mondiale du travail, soit le 1er Mai .C'est en tout cas ce qui a été exprimé de vive voix par la majorité des fédérations de l'UGTA lors de la réunion d'évaluation du processus de négociations qui s'est tenue hier à la Maison du peuple et qui, en l'absence du premier responsable de la centrale syndicale, a été présidée par Achour Telli, membre du secrétariat national. Ainsi donc le secrétaire général de la Fédération des banques, qui a annoncé que la convention de branches sera prête le 29 avril courant et que le seul problème auquel font face les négociateurs a trait au secteur des assurances. L'intervenant, qui a estimé que les augmentations des salaires tournent autour de 25% a cependant indiqué qu'une réunion est prévue les dimanches et lundis pour aplanir toutes les divergences avec les représentants des SGP. C'est presque le même cas pour la Fédération des mines, dont le secrétaire général a annoncé la finalisation des négociations relatives au volet des salaires ajoutant toutefois que sur d'autres questions les deux partenaires ne sont pas encore parvenus à des accords. Il n'a pas indiqué le pourcentage relatif à la hausse des salaires et ce contrairement au secrétaire général de la Fédération des textiles cuirs. En effet, Amar Takdjout a précisé, dans son intervention, qu'un terrain d'entente a été trouvé avec la SGP. "Nous avons décidé une augmentation de salaire de 12% et de 8% pour certaines indemnités. Nous avons retenu également le principe d'un système de stimulation ou d'indemnités de performance. Le compromis entre intérêts des entreprises et ceux des salariés est correcte", a-t-il indiqué. Il a aussi précisé que les indemnités revalorisées sont celles du panier, qui augmentent de 50 dinars par jour et de la femme au foyer, fixée désormais à mille dinars. De plus, le système de stimulation varie, dira-t-il encore, de 5 à 70% du salaire et ce, selon la bonne santé des entreprises. Cela dit d'autres fédérations peinent encore et les négociations sont au point zéro. Le secrétaire général de la Fédération des cheminots a souligné, à ce titre, que la direction générale de l'entreprise les a informés qu'au vu de ses difficultés financières elle ne peut faire face à d'éventuelles augmentations de salaires. L'UGTA est désormais engagé dans une véritable course contre la contre tant elle espère finaliser la signature de quelques conventions au début du mois de mai. "On souhaite la signature d'au moins 12 à 14 conventions", a indiqué Achour Telli à cet effet. M. Telli, qui a recommandé aux fédérations d'être flexibles dans les négociations a reconnu que le délai de six mois fixé par Sidi Saïd pour finaliser le processus de négociations des conventions de branches engagé au mois de janvier, s'est montré insuffisant. Mais cela n'a pas empêché M. Telli de demander aux fédérations d'envoyer des rapports détaillés sur les négociations dimanche prochain à la centrale syndicale. Il est vrai que ce dossier sera au menu de la réunion du secrétariat national de l'UGTA , lundi prochain. Dans d'autres secteurs d'activité, des centaines de milliers de travailleurs attendent patiemment l'issue des négociations en cours sur les conventions de branches. Des négociations qui semblent piétiner puisqu'elles n'avancent pas, en effet, au rythme souhaité par le secrétaire général de l'UGTA. Sidi Saïd espérait que les négociations, engagées par les vingt-cinq fédérations affiliées à l'UGTA avec les sociétés de gestion des participations de l'Etat (SGP) ou avec les organisations patronales pour ce qui est du secteur privé, aboutissent avant la Fête mondiale du travail, soit le 1er Mai .C'est en tout cas ce qui a été exprimé de vive voix par la majorité des fédérations de l'UGTA lors de la réunion d'évaluation du processus de négociations qui s'est tenue hier à la Maison du peuple et qui, en l'absence du premier responsable de la centrale syndicale, a été présidée par Achour Telli, membre du secrétariat national. Ainsi donc le secrétaire général de la Fédération des banques, qui a annoncé que la convention de branches sera prête le 29 avril courant et que le seul problème auquel font face les négociateurs a trait au secteur des assurances. L'intervenant, qui a estimé que les augmentations des salaires tournent autour de 25% a cependant indiqué qu'une réunion est prévue les dimanches et lundis pour aplanir toutes les divergences avec les représentants des SGP. C'est presque le même cas pour la Fédération des mines, dont le secrétaire général a annoncé la finalisation des négociations relatives au volet des salaires ajoutant toutefois que sur d'autres questions les deux partenaires ne sont pas encore parvenus à des accords. Il n'a pas indiqué le pourcentage relatif à la hausse des salaires et ce contrairement au secrétaire général de la Fédération des textiles cuirs. En effet, Amar Takdjout a précisé, dans son intervention, qu'un terrain d'entente a été trouvé avec la SGP. "Nous avons décidé une augmentation de salaire de 12% et de 8% pour certaines indemnités. Nous avons retenu également le principe d'un système de stimulation ou d'indemnités de performance. Le compromis entre intérêts des entreprises et ceux des salariés est correcte", a-t-il indiqué. Il a aussi précisé que les indemnités revalorisées sont celles du panier, qui augmentent de 50 dinars par jour et de la femme au foyer, fixée désormais à mille dinars. De plus, le système de stimulation varie, dira-t-il encore, de 5 à 70% du salaire et ce, selon la bonne santé des entreprises. Cela dit d'autres fédérations peinent encore et les négociations sont au point zéro. Le secrétaire général de la Fédération des cheminots a souligné, à ce titre, que la direction générale de l'entreprise les a informés qu'au vu de ses difficultés financières elle ne peut faire face à d'éventuelles augmentations de salaires. L'UGTA est désormais engagé dans une véritable course contre la contre tant elle espère finaliser la signature de quelques conventions au début du mois de mai. "On souhaite la signature d'au moins 12 à 14 conventions", a indiqué Achour Telli à cet effet. M. Telli, qui a recommandé aux fédérations d'être flexibles dans les négociations a reconnu que le délai de six mois fixé par Sidi Saïd pour finaliser le processus de négociations des conventions de branches engagé au mois de janvier, s'est montré insuffisant. Mais cela n'a pas empêché M. Telli de demander aux fédérations d'envoyer des rapports détaillés sur les négociations dimanche prochain à la centrale syndicale. Il est vrai que ce dossier sera au menu de la réunion du secrétariat national de l'UGTA , lundi prochain.