Aux limites du règlement : Le Namibien Brian Brendell a reçu un avertissement après son but contre la Guinée (1-1). Il n'a pourtant pas ôté son maillot - ce qui vaut un carton jaune, selon les instructions de la Fifa - mais en a juste remonté le col verticalement comme pour s'en faire une coiffe d'homme du désert (un des déserts les plus arides du monde, le Kalahari, se trouve à cheval sur l'Afrique du Sud et la Namibie ). Mais l'arbitre ougandais Muhmed Segonga est lui à dada sur le règlement et a quand même adressé un avertissement à Brendell. Le milieu de terrain des Civics Windhoek, auteur des deux buts de son équipe dans le tournoi, se consolera en se disant qu'il a peut-être capté l'attention des recruteurs européens. Lemerre tance les journalistes : Le sélectionneur de la Tunisie, Roger Lemerre, a toujours des rapports difficiles avec la presse. Après son premier match, contre le Sénégal (2-2), il avait attendu longtemps son tour de parler, avant de quitter la salle, énervé par le bruit et l'agitation des journalistes sénégalais et tunisiens. Après une longue mise en route, les questions fusèrent enfin, mais les premières furent pour Henri Kasperczak, l'entraîneur des Lions. Lemerre a fini par s'en aller avant de dire quoi que ce soit. Quand un journaliste lui a demandé, à la conférence suivante, après le match contre l'Afrique du Sud (3-1): "Pourquoi êtes-vous parti?", l'ancien sélectionneur de l'équipe de France a répondu, dans son style de vieil instituteur: "A partir du moment où on a une conférence de presse, c'est la moindre des choses qu'on puisse s'exprimer dans le respect, sans violence. Je suis resté 35 minutes ici sans broncher, dans le brouhaha. On ne respecte pas mon travail, je ne respecte pas le travail des autres". Prêche : Un des plus célèbres télé-prêcheurs du Ghana, Dr. Lawrence Tetteh, un Evangéliste très écouté, a demandé à ses fidèles "d'encourager l'équipe nationale jusqu'à ce qu'elle conquière la victoire, pour tout le pays. Nous devrions encourager sans cesse les Black Stars". Puma prolonge avec les Black Stars : L'équipementier allemand Puma a prolongé son contrat avec la sélection du Ghana jusqu'en 2012, pour un montant d'environ 25 millions de cedis (quelque 17 millions d'euros). Le contrat actuel courait jusqu'à janvier 2009. Puma est l'équipementier majoritaire à la CAN-2008, neuf sélections portant ses maillots (l'Egypte, l'Angola, le Cameroun, la Côte d'Ivoire, le Maroc, le Sénégal, la Tunisie et la Namibie , en plus du Ghana). Les autres firmes représentées sont Airness (Guinée, Mali, Bénin), Adidas (Nigeria, Soudan, Afrique du Sud) et Nike (Zambie). La mystérieuse mascotte de la Guinée : Le Sily national est venu au Ghana avec sa "mascotte", comme l'appelle le sélectionneur Robert Nouzaret: un jeune garçon d'une dizaine d'années, Amadou Ouribarry, un albinos au corps frêle qui défiait le capitaine Pascal Feindouno dans des concours de dribbles en marge de l'entraînement, avant le match contre la Namibie. Superstitieux , l'encadrement guinéen reste très discret sur sa mascotte. Tout juste apprend-on qu'il est fils de tailleur et que son père vend des colifichets à la gloire du onze guinéen. Aux limites du règlement : Le Namibien Brian Brendell a reçu un avertissement après son but contre la Guinée (1-1). Il n'a pourtant pas ôté son maillot - ce qui vaut un carton jaune, selon les instructions de la Fifa - mais en a juste remonté le col verticalement comme pour s'en faire une coiffe d'homme du désert (un des déserts les plus arides du monde, le Kalahari, se trouve à cheval sur l'Afrique du Sud et la Namibie ). Mais l'arbitre ougandais Muhmed Segonga est lui à dada sur le règlement et a quand même adressé un avertissement à Brendell. Le milieu de terrain des Civics Windhoek, auteur des deux buts de son équipe dans le tournoi, se consolera en se disant qu'il a peut-être capté l'attention des recruteurs européens. Lemerre tance les journalistes : Le sélectionneur de la Tunisie, Roger Lemerre, a toujours des rapports difficiles avec la presse. Après son premier match, contre le Sénégal (2-2), il avait attendu longtemps son tour de parler, avant de quitter la salle, énervé par le bruit et l'agitation des journalistes sénégalais et tunisiens. Après une longue mise en route, les questions fusèrent enfin, mais les premières furent pour Henri Kasperczak, l'entraîneur des Lions. Lemerre a fini par s'en aller avant de dire quoi que ce soit. Quand un journaliste lui a demandé, à la conférence suivante, après le match contre l'Afrique du Sud (3-1): "Pourquoi êtes-vous parti?", l'ancien sélectionneur de l'équipe de France a répondu, dans son style de vieil instituteur: "A partir du moment où on a une conférence de presse, c'est la moindre des choses qu'on puisse s'exprimer dans le respect, sans violence. Je suis resté 35 minutes ici sans broncher, dans le brouhaha. On ne respecte pas mon travail, je ne respecte pas le travail des autres". Prêche : Un des plus célèbres télé-prêcheurs du Ghana, Dr. Lawrence Tetteh, un Evangéliste très écouté, a demandé à ses fidèles "d'encourager l'équipe nationale jusqu'à ce qu'elle conquière la victoire, pour tout le pays. Nous devrions encourager sans cesse les Black Stars". Puma prolonge avec les Black Stars : L'équipementier allemand Puma a prolongé son contrat avec la sélection du Ghana jusqu'en 2012, pour un montant d'environ 25 millions de cedis (quelque 17 millions d'euros). Le contrat actuel courait jusqu'à janvier 2009. Puma est l'équipementier majoritaire à la CAN-2008, neuf sélections portant ses maillots (l'Egypte, l'Angola, le Cameroun, la Côte d'Ivoire, le Maroc, le Sénégal, la Tunisie et la Namibie , en plus du Ghana). Les autres firmes représentées sont Airness (Guinée, Mali, Bénin), Adidas (Nigeria, Soudan, Afrique du Sud) et Nike (Zambie). La mystérieuse mascotte de la Guinée : Le Sily national est venu au Ghana avec sa "mascotte", comme l'appelle le sélectionneur Robert Nouzaret: un jeune garçon d'une dizaine d'années, Amadou Ouribarry, un albinos au corps frêle qui défiait le capitaine Pascal Feindouno dans des concours de dribbles en marge de l'entraînement, avant le match contre la Namibie. Superstitieux , l'encadrement guinéen reste très discret sur sa mascotte. Tout juste apprend-on qu'il est fils de tailleur et que son père vend des colifichets à la gloire du onze guinéen.