Tout de blanc vêtue, la juge-arbitre camerounaise Sylvie Akamba, ne passe pas inaperçue à la salle Harcha d'Alger: elle dirige haut la main les combats de boxe comptant pour le tournoi africain-AIBA qualificatif aux Jeux olympiques 2008 de Pékin. Sereine et confiante, la jeune Camerounaise qui a bouclé ses 33 ans lundi dernier en plein déroulement de la compétition, s'acquitte à merveille de sa tâche, à l'instar de ses confrères d'Afrique et des cinq juges neutres de Moldavie, Mongolie, Chine, Inde et France, délégués par l'Association internationale de la boxe amateur (AIBA). "Ma passion pour la boxe est grande. Je m'y retrouve pleinement, même si cela est peu habituel en Afrique", a indiqué Sylvie Akamba, qui exerce le métier de professeur d'éducation physique et sportive "option boxe" à l'Université Yaoundé 1. Fervente des sports de combats, notamment la boxe, Sylvie a embrassé "avec plaisir" cette discipline. "J'ai toujours été attirée par les sports de combat, d'autant plus que la gent féminine n'y est pas très présente contrairement aux autres sports", a expliqué la juge-arbitre internationale, ancienne pratiquante de boxe également. Actuellement au sein de la Fédération camerounaise de boxe (Fecaboxe), Akamba oeuvre à la promotion de la boxe féminine dans son pays, encouragée par le premier responsable de la Fecaboxe , M. Akono Ze Jean Marie. "J'ai réussi mon objectif en contribuant à la constitution de la sélection féminine camerounaise qui a pris part à la 1ère coupe d'Afrique des nations à Libreville (Gabon) en 2006", a-t-elle fait savoir. Persévérante et ambitieuse, elle enchaîne les stages de formation au point de devenir la première femme entraîneur national au Cameroun et ensuite la première juge-arbitre femme dans son pays. "J'ai voulu maîtriser la boxe dans son sens le plus complet. Modestement, je crois avoir atteint un peu cet objectif". Sylvie Akamba possède déjà une carte de visite enjolivée en qualité de juge-arbitre, pour avoir officié dans de nombreuses compétitions internationales. Elle a dirigé des combats au championnat d'Afrique de Casablanca en 2005, aux Jeux de la Francophonie au Niger la même année, à la Coupe d'Afrique de Libreville en 2006, aux Jeux Africains d'Alger en 2007 et récemment aux championnats du monde de Chicago. Un parcours éloquent pour une jeune africaine, qui veut encore faire du chemin dans son sport roi: la boxe. Tout de blanc vêtue, la juge-arbitre camerounaise Sylvie Akamba, ne passe pas inaperçue à la salle Harcha d'Alger: elle dirige haut la main les combats de boxe comptant pour le tournoi africain-AIBA qualificatif aux Jeux olympiques 2008 de Pékin. Sereine et confiante, la jeune Camerounaise qui a bouclé ses 33 ans lundi dernier en plein déroulement de la compétition, s'acquitte à merveille de sa tâche, à l'instar de ses confrères d'Afrique et des cinq juges neutres de Moldavie, Mongolie, Chine, Inde et France, délégués par l'Association internationale de la boxe amateur (AIBA). "Ma passion pour la boxe est grande. Je m'y retrouve pleinement, même si cela est peu habituel en Afrique", a indiqué Sylvie Akamba, qui exerce le métier de professeur d'éducation physique et sportive "option boxe" à l'Université Yaoundé 1. Fervente des sports de combats, notamment la boxe, Sylvie a embrassé "avec plaisir" cette discipline. "J'ai toujours été attirée par les sports de combat, d'autant plus que la gent féminine n'y est pas très présente contrairement aux autres sports", a expliqué la juge-arbitre internationale, ancienne pratiquante de boxe également. Actuellement au sein de la Fédération camerounaise de boxe (Fecaboxe), Akamba oeuvre à la promotion de la boxe féminine dans son pays, encouragée par le premier responsable de la Fecaboxe , M. Akono Ze Jean Marie. "J'ai réussi mon objectif en contribuant à la constitution de la sélection féminine camerounaise qui a pris part à la 1ère coupe d'Afrique des nations à Libreville (Gabon) en 2006", a-t-elle fait savoir. Persévérante et ambitieuse, elle enchaîne les stages de formation au point de devenir la première femme entraîneur national au Cameroun et ensuite la première juge-arbitre femme dans son pays. "J'ai voulu maîtriser la boxe dans son sens le plus complet. Modestement, je crois avoir atteint un peu cet objectif". Sylvie Akamba possède déjà une carte de visite enjolivée en qualité de juge-arbitre, pour avoir officié dans de nombreuses compétitions internationales. Elle a dirigé des combats au championnat d'Afrique de Casablanca en 2005, aux Jeux de la Francophonie au Niger la même année, à la Coupe d'Afrique de Libreville en 2006, aux Jeux Africains d'Alger en 2007 et récemment aux championnats du monde de Chicago. Un parcours éloquent pour une jeune africaine, qui veut encore faire du chemin dans son sport roi: la boxe.