Ces 47.000 malheureux postulants se retrouvent aujourd'hui dans l'expectative la plus totale, en l'absence d'une issue favorable à leur mésaventure. Si l'AADL s'en lave les mains, la CNEP elle, s'est désengagée, sous prétexte d'absence d'assiettes foncières pour réaliser ces projets. Ces 47.000 malheureux postulants se retrouvent aujourd'hui dans l'expectative la plus totale, en l'absence d'une issue favorable à leur mésaventure. Si l'AADL s'en lave les mains, la CNEP elle, s'est désengagée, sous prétexte d'absence d'assiettes foncières pour réaliser ces projets. L'AADL semble prononcer définitivement sa sentence quant au sort des dossiers de souscripteurs aux logements transférés vers la CNEP. « Je ne répondrai pas à la place de la CNEP », a déclaré hier sur les ondes de Radio El-Bahdja, Anis Bendaoud, directeur de la promotion immobilière au sein de l'AADL. Ce dernier jettera carrément la balle dans le camp de cette banque, en indiquant qu'il n'y a aucun acte signé entre les deux entités, appuyant ses propos par les récentes déclarations du ministre de l'Habitat. Ainsi donc, le calvaire des postulants aux logements de formule location-vente, transférés par l'Agence algérienne de développement du logement (AADL) vers la Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (CNEP), ne semble pas connaître son dénouement. En effet, ils sont 47.000 dossiers à être transférés, suite à une convention signée en 2002 entre les ministères de l'Habitat et des Finances. L'opération avait soulevé, rappelons-le, un vaste mouvement de protestation chez les bénéficiaires qui avaient organisé un sit-in devant le siège de l'AADL à Alger. Ces malheureux postulants se retrouvent aujourd'hui dans l'expectative la plus totale, en l'absence d'une issue favorable à leur mésaventure. Si l'AADL s'en lave les mains, la CNEP elle, s'est désengagée, sous prétexte d'absence d'assiettes foncières pour réaliser ces projets. Cette dernière annonce était faite par Nourdine Moussa premier responsable du département de l'Habitat, lors du point de presse qu'il a tenu le 29 janvier dernier, en compagnie du ministre de la Communication Abderrachid Boukerzaza. Par ailleurs, le directeur de la promotion immobilière au sein de l'AADL a tenu à rassurer les bénéficiaires des programmes de 2001 et de 2002. « En 2009, tous les postulants auront leurs logements et y habiteront », a-t-il annoncé à la radio. Cette agence qui s'est assignée le défi de réaliser 55.000 logements sous formule de location-vente, dans le cadre du programme présidentiel de un million de logements d'ici à l'horizon 2009, en a déjà livrés 33.000, soit 60 % de la totalité des projets. La grande majorité des 22.000 logements restant dans ce cadre sera livrée avant la fin de l'année en cours, pour ne laisser qu'un maigre lot à réceptionner en 2009, selon l'invité de la radio. En effet, plusieurs sites seront livrés cette année, notamment à Alger qui s'est taillée la part du lion de la globalité du programme AADL. De son côté, Chébli directeur de la gestion immobilière a énuméré une série de mesures tendant à absorber les carences signalées dans les différents sites et enrayer les agissements illicites de certains bénéficiaires. Pour ce faire, des commissions de contrôle ont été dépêchées sur les lieux, sur injonction du ministère, afin de contrecarrer le phénomène de sous-location interdit par la loi, mais aussi lever toutes les contraintes susceptibles de ralentir ou de freiner la cadence des travaux dans les projets en chantier, a-t-il expliqué. L'AADL semble prononcer définitivement sa sentence quant au sort des dossiers de souscripteurs aux logements transférés vers la CNEP. « Je ne répondrai pas à la place de la CNEP », a déclaré hier sur les ondes de Radio El-Bahdja, Anis Bendaoud, directeur de la promotion immobilière au sein de l'AADL. Ce dernier jettera carrément la balle dans le camp de cette banque, en indiquant qu'il n'y a aucun acte signé entre les deux entités, appuyant ses propos par les récentes déclarations du ministre de l'Habitat. Ainsi donc, le calvaire des postulants aux logements de formule location-vente, transférés par l'Agence algérienne de développement du logement (AADL) vers la Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (CNEP), ne semble pas connaître son dénouement. En effet, ils sont 47.000 dossiers à être transférés, suite à une convention signée en 2002 entre les ministères de l'Habitat et des Finances. L'opération avait soulevé, rappelons-le, un vaste mouvement de protestation chez les bénéficiaires qui avaient organisé un sit-in devant le siège de l'AADL à Alger. Ces malheureux postulants se retrouvent aujourd'hui dans l'expectative la plus totale, en l'absence d'une issue favorable à leur mésaventure. Si l'AADL s'en lave les mains, la CNEP elle, s'est désengagée, sous prétexte d'absence d'assiettes foncières pour réaliser ces projets. Cette dernière annonce était faite par Nourdine Moussa premier responsable du département de l'Habitat, lors du point de presse qu'il a tenu le 29 janvier dernier, en compagnie du ministre de la Communication Abderrachid Boukerzaza. Par ailleurs, le directeur de la promotion immobilière au sein de l'AADL a tenu à rassurer les bénéficiaires des programmes de 2001 et de 2002. « En 2009, tous les postulants auront leurs logements et y habiteront », a-t-il annoncé à la radio. Cette agence qui s'est assignée le défi de réaliser 55.000 logements sous formule de location-vente, dans le cadre du programme présidentiel de un million de logements d'ici à l'horizon 2009, en a déjà livrés 33.000, soit 60 % de la totalité des projets. La grande majorité des 22.000 logements restant dans ce cadre sera livrée avant la fin de l'année en cours, pour ne laisser qu'un maigre lot à réceptionner en 2009, selon l'invité de la radio. En effet, plusieurs sites seront livrés cette année, notamment à Alger qui s'est taillée la part du lion de la globalité du programme AADL. De son côté, Chébli directeur de la gestion immobilière a énuméré une série de mesures tendant à absorber les carences signalées dans les différents sites et enrayer les agissements illicites de certains bénéficiaires. Pour ce faire, des commissions de contrôle ont été dépêchées sur les lieux, sur injonction du ministère, afin de contrecarrer le phénomène de sous-location interdit par la loi, mais aussi lever toutes les contraintes susceptibles de ralentir ou de freiner la cadence des travaux dans les projets en chantier, a-t-il expliqué.