Le secteur du textile et du cuir, jadis considéré comme un fleuron de l'industrie nationale, est en voie de disprition dans l'indifférence totale des responsables concernés. Sinon, quelle explication donner à la situation dans laquelle se débattent près de 1.200 travailleurs qui n'ont pas perçu leur salaire depuis six mois, sans que cela suscite la moindre réaction des pouvoirs publics. Et pour cause, la fédération des travailleurs du textile et du cuir, affiliée à l'UGTA, vient de tirer la sonnette d'alarme à propos de ces travailleurs qui exercent au niveau de plusieurs unités situées à Bab-Ezzouar, El Harrach, Boufarik, Tlemcen et Souk Ahras. A cela, il faudra ajouter l'unité Mac Style de Chéraga, spécialisée dans la fabrication de chaussures, et dont les travailleurs se trouvent dans une situation presque identique. Selon le premier responsable de la Fédération-UGTA, M. Takdjout, l'intervention des pouvoirs publics pour désamorcer cette crise, est devenu "indispensable", pour pouvoir préserver, a-t-il dit, les postes d'emploi dans ce secteur qui compte quelque 26.000 employés. Le même responsable n'a pas pour autant, écarté la possibilité pour ces travailleurs de recourir à la rue pour faire valoir leurs droits si cela s'avère nécessaire. Les syndicalistes du secteur attribuent cette situation qui dure depuis plusieurs années, à l'absence d'une stratégie "clairement définie" de la part du gouvernement pour sauver le secteur du textile et du cuir d'une disparition quasi-certaine. De nombreuses unités se trouvent, en effet, accablées par des dettes se chiffrant à des dizaines, voire des centaines de milliards de centimes, auxquelles se greffent d'autres problèmes liés au manque de matière première et à l'absence de perspectives d'investissement. C'est la raison pour laquelle, les pouvoirs publics sont appelés à la rescousse de ces entreprises, plus que jamais menacées, et permettre à des milliers de travailleurs de reprendre espoir. Le secteur du textile et du cuir, jadis considéré comme un fleuron de l'industrie nationale, est en voie de disprition dans l'indifférence totale des responsables concernés. Sinon, quelle explication donner à la situation dans laquelle se débattent près de 1.200 travailleurs qui n'ont pas perçu leur salaire depuis six mois, sans que cela suscite la moindre réaction des pouvoirs publics. Et pour cause, la fédération des travailleurs du textile et du cuir, affiliée à l'UGTA, vient de tirer la sonnette d'alarme à propos de ces travailleurs qui exercent au niveau de plusieurs unités situées à Bab-Ezzouar, El Harrach, Boufarik, Tlemcen et Souk Ahras. A cela, il faudra ajouter l'unité Mac Style de Chéraga, spécialisée dans la fabrication de chaussures, et dont les travailleurs se trouvent dans une situation presque identique. Selon le premier responsable de la Fédération-UGTA, M. Takdjout, l'intervention des pouvoirs publics pour désamorcer cette crise, est devenu "indispensable", pour pouvoir préserver, a-t-il dit, les postes d'emploi dans ce secteur qui compte quelque 26.000 employés. Le même responsable n'a pas pour autant, écarté la possibilité pour ces travailleurs de recourir à la rue pour faire valoir leurs droits si cela s'avère nécessaire. Les syndicalistes du secteur attribuent cette situation qui dure depuis plusieurs années, à l'absence d'une stratégie "clairement définie" de la part du gouvernement pour sauver le secteur du textile et du cuir d'une disparition quasi-certaine. De nombreuses unités se trouvent, en effet, accablées par des dettes se chiffrant à des dizaines, voire des centaines de milliards de centimes, auxquelles se greffent d'autres problèmes liés au manque de matière première et à l'absence de perspectives d'investissement. C'est la raison pour laquelle, les pouvoirs publics sont appelés à la rescousse de ces entreprises, plus que jamais menacées, et permettre à des milliers de travailleurs de reprendre espoir.