Les 80 employés de Digromed Annaba n'ont pas reçu de salaires depuis trois mois. Cette unité de distribution de produits pharmaceutiques est à l'arrêt par manque d'approvisionnement en médicamment. La même situation est vécue par l'ensemble des travailleurs des autres unités implantées sur le territoire national et ceci depuis une année. L'unité Digromed de Annaba se trouve dans une situation délicate et les travailleurs n'ont pas perçu leurs salaires depuis la fête de l'Aïd El Adha. Selon le président du comité de participation (CP) l'unité dispose d'un hangar de 87.000 m2 implanté dans la commune de Berrahal et une autre entreprise publique l'exploite depuis des années en location. Les représentants des travailleurs affirment tout ignorer de cette transaction et se demandent qu'est devenu l'argent de cette transaction relative à la location. D'après les syndicalistes, la mise en application d'un volet social est la seule alternative. C'est du moins ce que laisse entendre le président du CP en proposant "le départ volontaire, l'admission à la caisse de chômage ou la retraite proportionnelle". Les options proposées seront choisies par les salariés, mais la tutelle fait la sourde oreille et rien n'indique que la crise sera dénouée bientôt. Les 80 employés de Digromed Annaba n'ont pas reçu de salaires depuis trois mois. Cette unité de distribution de produits pharmaceutiques est à l'arrêt par manque d'approvisionnement en médicamment. La même situation est vécue par l'ensemble des travailleurs des autres unités implantées sur le territoire national et ceci depuis une année. L'unité Digromed de Annaba se trouve dans une situation délicate et les travailleurs n'ont pas perçu leurs salaires depuis la fête de l'Aïd El Adha. Selon le président du comité de participation (CP) l'unité dispose d'un hangar de 87.000 m2 implanté dans la commune de Berrahal et une autre entreprise publique l'exploite depuis des années en location. Les représentants des travailleurs affirment tout ignorer de cette transaction et se demandent qu'est devenu l'argent de cette transaction relative à la location. D'après les syndicalistes, la mise en application d'un volet social est la seule alternative. C'est du moins ce que laisse entendre le président du CP en proposant "le départ volontaire, l'admission à la caisse de chômage ou la retraite proportionnelle". Les options proposées seront choisies par les salariés, mais la tutelle fait la sourde oreille et rien n'indique que la crise sera dénouée bientôt.