L'Entreprise nationale de forage (Enafor) vient de prendre la décision de lancer une nouvelle opération boursière par le biais d'un emprunt obligataire. En effet, l'assemblée générale de cette entreprise a donné son accord pour l'émission d'un nouvel emprunt obligataire d'un montant de 6 milliards de DA (600 milliards de centimes). Filiale du groupe Sonatrach, l'Enafor a corroboré l'action de cet emprunt en direction des banques et des institutions financières nationales pour le financement d'une partie du programme de ses investissements durant l'année en cours. Le capital social de cette entreprise pétrolière est de l'ordre de 4 milliards de DA. Rappelons qu'en 2005, déjà elle avait contracté une somme s'élevant à 7,98 milliards de DA à travers un emprunt obligataire ayant pour but de financer un plan d'investissement portant principalement sur l'acquisition de quatre appareils technologiques de forage. Evalué à environ 160 milliards de DA, le marché obligataire national englobe à présent pas moins de neuf entreprises émettrices d'obligations en Bourse, à savoir Sonatrach, Sonelgaz, Air Algérie, Algérie Télécom, la Société de refinancement hypothécaire (SRH), ENTP (travaux pétroliers), deux entreprises privées, Cevital (agroalimentaire) et ALC et bien sûr Enafor. Il convient de rappeler que l'Enafor a subi un préjudice de plus de 50 milliards de centimes issus de dépôts bancaires auprès de Khalifa Bank en 2002 et 2003. Cette filiale de Sonatrach a placé la somme faramineuse de 130 milliards de centimes et contracté un crédit de 70 milliards auprès de la banque privée en banqueroute, aujourd'hui disparue. L'Entreprise nationale de forage (Enafor) vient de prendre la décision de lancer une nouvelle opération boursière par le biais d'un emprunt obligataire. En effet, l'assemblée générale de cette entreprise a donné son accord pour l'émission d'un nouvel emprunt obligataire d'un montant de 6 milliards de DA (600 milliards de centimes). Filiale du groupe Sonatrach, l'Enafor a corroboré l'action de cet emprunt en direction des banques et des institutions financières nationales pour le financement d'une partie du programme de ses investissements durant l'année en cours. Le capital social de cette entreprise pétrolière est de l'ordre de 4 milliards de DA. Rappelons qu'en 2005, déjà elle avait contracté une somme s'élevant à 7,98 milliards de DA à travers un emprunt obligataire ayant pour but de financer un plan d'investissement portant principalement sur l'acquisition de quatre appareils technologiques de forage. Evalué à environ 160 milliards de DA, le marché obligataire national englobe à présent pas moins de neuf entreprises émettrices d'obligations en Bourse, à savoir Sonatrach, Sonelgaz, Air Algérie, Algérie Télécom, la Société de refinancement hypothécaire (SRH), ENTP (travaux pétroliers), deux entreprises privées, Cevital (agroalimentaire) et ALC et bien sûr Enafor. Il convient de rappeler que l'Enafor a subi un préjudice de plus de 50 milliards de centimes issus de dépôts bancaires auprès de Khalifa Bank en 2002 et 2003. Cette filiale de Sonatrach a placé la somme faramineuse de 130 milliards de centimes et contracté un crédit de 70 milliards auprès de la banque privée en banqueroute, aujourd'hui disparue.