Le traitement du diabétique revient à 10.000 DA par mois, a souligné jeudi dernier à Alger le chef de service de diabétologie à l'hôpital Mustapha Pacha, le professeur Aissa Boudiba. Lors du 10e congrès national de diabétologie auquel ont pris part plus de 600 participants, M. Boudiba a estimé que le diabète est l'une des maladies qui revient cher à l'Etat. Selon le spécialiste, le taux de prévalence de cette pathologie est de 7 à 8% et nécessite une prise en charge particulière aussi bien sur le plan du traitement que celui de la sensbilisation des malades aux complications. Les différentes interventions ont polarisé autour, notamment de l'élargissement d'un traitement efficace et la prise en charge du diabète et de l'hypertension afin d'atteindre les objectifs escomptés. Le Pr Boudiba a, par ailleurs, souligné que "les pouvoirspublics prennent en charge le diabète en le classant parmi les maladies chroniques et en assurant le remboursement des médicaments par la caisse nationale des assurances sociales (CNAS). De son côté, M. Daoud Abdelaziz, secrétaire général de la Société algérienne de diabétologie a indiqué que "la prise en charge totale du diabète en assurant des médicaments remboursables, constitue un des acquis de l'Algérie en matière de santé". Il a appelé les pouvoirs publics à élargir l'éventail de la prise en charge en assurant la disponibilité de l'appareil d'injection d'insuline sous forme de stylo, le glucomètre et le tensiomètre. M. Daoud s'est félicité de l'ouverture de centres de prise en charge des diabétiques supervisés par des équipes médicales spécialisées en diabétologie et en dépistage précoce. Pour sa part, le directeur général de l'institut national de la santé publique (INSP), M. Kamel Kellou, a annoncé le lancement prochain du programme national de prévention et de prise en charge du diabète par les autorités publiques. Le traitement du diabétique revient à 10.000 DA par mois, a souligné jeudi dernier à Alger le chef de service de diabétologie à l'hôpital Mustapha Pacha, le professeur Aissa Boudiba. Lors du 10e congrès national de diabétologie auquel ont pris part plus de 600 participants, M. Boudiba a estimé que le diabète est l'une des maladies qui revient cher à l'Etat. Selon le spécialiste, le taux de prévalence de cette pathologie est de 7 à 8% et nécessite une prise en charge particulière aussi bien sur le plan du traitement que celui de la sensbilisation des malades aux complications. Les différentes interventions ont polarisé autour, notamment de l'élargissement d'un traitement efficace et la prise en charge du diabète et de l'hypertension afin d'atteindre les objectifs escomptés. Le Pr Boudiba a, par ailleurs, souligné que "les pouvoirspublics prennent en charge le diabète en le classant parmi les maladies chroniques et en assurant le remboursement des médicaments par la caisse nationale des assurances sociales (CNAS). De son côté, M. Daoud Abdelaziz, secrétaire général de la Société algérienne de diabétologie a indiqué que "la prise en charge totale du diabète en assurant des médicaments remboursables, constitue un des acquis de l'Algérie en matière de santé". Il a appelé les pouvoirs publics à élargir l'éventail de la prise en charge en assurant la disponibilité de l'appareil d'injection d'insuline sous forme de stylo, le glucomètre et le tensiomètre. M. Daoud s'est félicité de l'ouverture de centres de prise en charge des diabétiques supervisés par des équipes médicales spécialisées en diabétologie et en dépistage précoce. Pour sa part, le directeur général de l'institut national de la santé publique (INSP), M. Kamel Kellou, a annoncé le lancement prochain du programme national de prévention et de prise en charge du diabète par les autorités publiques.